La femme voilée insulte les forces de l’ordre
La police décide de faire un contrôle pour appliquer la loi en verbalisant la femme. C’est à ce moment-là que les choses dégénèrent : Halima, Française originaire d’Algérie, «s’impatiente, devient hautaine et outrage les policiers» rapporte Nice Matin, à tel point que la femme a été placée en garde à vue.
Halima multiplie les provocations durant son procès
Halima comparaissait hier devant le tribunal correctionnel de Nice. Et créé un nouvel incident : par pure provocation, alors privée de son niqab dans la salle d’audience, la femme défait le gilet qu’elle porte sur elle«pour le remonter ostensiblement sur ses cheveux». La présidente suspend immédiatement la séance. Après cinq minutes de flottement, le procès reprend. Les propos tenus par la femme originaire d’Algérie sont à peine croyables.
«Sans ton arme, tu n’es rien. Je ne reconnais que la loi d’Allah»
La présidente du tribunal relit les propos qu’Halima a tenus devant les policiers. Ces propos se passent de tout commentaire: «Tu ne vaux pas mieux que la semelle de ma chaussure, sans ton arme tu n’es rien. Je ne reconnais aucune loi. La loi c’est moi. Je ne reconnais que la loi universelle, celle d’Allah».
Ultime provocation, à la lecture de ses propos par la présidente du tribunal, Halima reste «souriante dans le box», même lorsque la présidente lui rappelle qu’il y a déjà sept procédures en cours pour les mêmes types de faits…
Le procureur Corinne Savonne requiert lors de l’audience quatre mois de prison dont trois avec sursis et un mandat de dépôt en répression de l’outrage, en plus d’une amende de 60 euros. Finalement… le tribunal a tranché : Halima devra effectuer un stage de citoyenneté, avec en plus trois mois de sursis, 100 euros d’amende et des dommages et intérêts à verser au policier.
Un “stage de citoyenneté” . On croit rêver en lisant ces mots. Pauvre pauvre France.
L’expulsion de la France