Les policiers vivent mal le zèle du procureur général
par Jérôme Faas - Depuis deux ans, le nombre de procédures visant des agents genevois a explosé. Mais ces derniers sont peu condamnés.
«Sous pression», «abandonnés», «présumés coupables». Voici les mots qu’utilise un jeune gendarme, Boris*, pour décrire le ressenti de sa corporation. Le 9 décembre, une quinzaine de ses collègues défilaient en voiture dans la ville. Manifestation spontanée. Le week-end précédent, un policier s’était donné la mort. Il était sous le coup d’une instruction judiciaire faisant suite au décès d’un individu psychotique durant une intervention à Meyrin, en octobre 2013.
Une justice de gauche qui criminalise les victimes et qui victimise les criminels !
Comme en France il faut que ça soit les Gendarmes , les Policiers et l’Armée qui allument l’étincelle Avec le PEUPLE , en 1500 tous ces gens de la haute auraient été brulés sur le bûché pour trahison , maintenant en 2014 on est a leurs pieds , eux qui nous imposent d’être les victimes des envahisseurs , des nuisibles et nous restons tranquillement chez nous en regardant le peuple se faire massacrer au quotidien , comme disait l’autre ” je sais pas ce qui me retient , certainement la peur “
Le nouveau droit de procédure pénale, et les jours amende, sont caractéristiques d’une justice de gauche.
Messieurs les policiers, cessez de protéger et d’intervenir pour protéger les “huiles”, les “élites”, les politiciens, les journalistes, etc… Laissez-les se débrouiller avec le monde qu’ils ont façonné. Ils vont très vite avoir une toute autre attitude envers vous !