Article larmoyant qui démontre à quel point l'Europe est devenue malade et totalement gangrénée par l'idéologie bien-pensante où le sort de l'agresseur est bien plus important que celui des victimes: Aucun mot sur les cibles, aucun mot sur le dogme musulman à la source de ces massacres, aucun mot sur la mise en danger des autochtones et en particulier des chrétiens. Aucun mot sur les frais de justice à la charge des contribuables, aucun mot sur le fait que ce jihadiste profite d'un pays non musulman pour y vivre du social. Non, les victimes sont les... jihadistes. Nous avons ici le rouage habituel pour dédouaner l'islam, minimiser les faits et victimiser l'extrémiste.
«C'est quelqu'un de particulier»
Le procureur général de la Confédération Michael Lauber a insisté sur ce le fait que les peines prononcées pour d'autres cas ne seraient pas nécessairement identiques. Mais force est de constater que ce premier jugement semble mettre l'accent sur la réinsertion et non la répression.
L'ordonnance «tient parfaitement compte de la personnalité du jeune homme. C'est quelqu'un de particulier, il a un parcours très surprenant. Je trouve que c'est un jugement assez fin, compte tenu de ses possibilités de réinsertions» estime Jean-Paul Rouiller, spécialiste suisse du terrorisme et directeur du Geneva Centre for Training and Analysis of Terrorism (GCTAT), interrogé par Vice.
«La réintégration d'un ancien djihadiste est compliquée. Le suivi psychologique est essentiel, les gamins qui reviennent sont souvent en état de choc post-traumatique. Ensuite, ce sont des réponses sociales qu'il faut apporter. Comment les réinsérer, leur donner un but, un objectif, des raisons de ne pas rebasculer.»
«Des gamins en mal d'idéal»
«Ces gosses, quand ils partent, c'est des gamins en mal d'idéal et d'objectifs et c'est ce qu'on prétend leur donner là bas. Ils ont le sentiment d'appartenir à quelque chose de plus grand, d'important», explique-t-il encore.
D'après l'ordonnance, à laquelle Vice a eu accès, le Vaudois aurait «agi par recherche d'une forme de fraternité d'armes au sein d'une communauté masculine qu'il idéalisait, par faiblesse de caractère, naïveté et fragilité alors qu'il rencontrait certaines difficultés adaptatives et identitaires dans sa vie en Suisse et cherchait un sens à sa vie».
Source
Cette goche liberticide est encore plus puante que le munster.
Avec toute cette racaille qui traine dans les rues et nos juges dingos on attend impatiemment la distribution de fusils à pompe puisque nous ne sommes plus protégés.
Le PTSD est un diagnostic fourre-tout et la psychiatrie suisse l’applique à tort et à travers à toute personne ayant résidé en zone de conflit. Ainsi, durant ma carrière, j’ai vu de nombreux faux PTSD mais de vrais requérants d’asile en mal de permis, sans oublier ceux qui se retrouvent en « milieu psychiatrique » suite à un délit.
Ces faux PTSD, appuyés par des psychiatres de pacotille (à gauche toute), obtiennent moyennant des symptômes simulés, invérifiables, des avantages tel qu’un permis d’établissement ou un adoucissement de peine, … et souvent une rente AI extraordinaire (càd sans cotisations).
Parmi ces psychiatres, beaucoup sont issus des Balkans et du “printemps arabe”, ainsi, « soigner » les PTSD devienne une affaire de famille en quelque sorte….
A 17 ans, je me faisais frapper dans la rue par des adultes parce que j’avais des longs cheveux ! Aujourd’hui, vous partez au jihad, vous tuez, et vous êtes un héros qui souffre de crise existentielle et on vous soutient. N’importe quoi ! C’est pas possible ! Est-ce que les “zélites” vaporisent des gaz hallucinogènes dans l’atmosphère ? Les “chemtrails” ? Des ondes radios suggestives ? Décidément, le monde me dégoûte !
«Des gamins en mal d’idéal»
Le gamin en question, d’après ce site https://news.vice.com/fr/article/djihadiste-suisse-est-condamne-faire-un-reportage aurait quand même TRENTE ANS ! On ne sait pas très bien pourquoi il s’est converti à l’islam, conversion dans une mosquée du canton de Vaud http://www.24heures.ch/suisse/djihadistes-retour-suisse-defi-reinsertion/story/28272572 en 2013. La même année en décembre, il part pour faire le djihad pour revenir en février 2014. Qui lui a lavé le cerveau? L’imam de la mosquée en question, ou n’a-t-il que servi d’intermédiaire pour aiguillé ce gamin de TRENTE ANS vers un recruteur pour l’Etat islamique?
Finalement, que Jean-Paul Rouiller PRENDRAIT les Suisses pour des IMBECILES ne m’étonnerait aucunement!
chaque épisode de ce genre est un pas de plus dans le raz l’bol du peuple qui tôt ou tard finira par exploser
Personne, pas même ce jeune paumé, n’ignorait les atrocités commises par les islamistes. Chercher un sens à sa vie en détruisant celles des autres constitue donc une noble quête aux yeux des juges. Ce jugement ne décrédibilise pas qu’un abruti mais toute la justice Suisse.