Une université américaine estime que si le violeur n’atteint pas l’orgasme, il ne s’agit pas d’un viol.L’Université de Californie du Sud fait l’objet d’une enquête fédérale pour de prétendus manquements de la part de ses autorités et de la police du campus dans plusieurs affaires de viol, rapporte le Huffington Post.
Encore une imbécilité qui nous vient des USA !
Aujourd’hui, tout n’est plus qu’insulte aux victimes, à l’intelligence, à nos libertés, à notre souveraineté… Ecoeurant !
Une insulte pour les victimes, et un scandale d’oser publier de telles « études »
Ils sont … Pathétiques !
Si leur filles ou femmes étaient victimes ces ramollis du cerveau penseraient différemment, le gouvernement américain finance et ces universités et ces recherches. Cherchez l’erreur…
Sûrement des socialistes… Ils aiment l’islam pour pouvoir avoir 4 femmes, les répudier quand ils veulent, et violer toutes les esclaves (les domestiques). Les socialistes sont des barbares.
Le liquide de jouissance n’étant pas un indice en soi, difficile de prouver l’orgasme, à moins de brancher le violeur sur monitoring effectuant un encéphalogramme durant l’acte….. Peu poser quelques problèmes techniques. Non, non, le viol naturellement ne peut être prouvé que dans un seul cas : lorsque la victime tombe enceinte et après des tests ADN poussés. Pour être plus sûr, il serait sage d’ajouter une clause exigeant les aveux intégraux du violeur, deux preuves valant mieux qu’une. Ceci excluant derechef les viols homosexuels, ce type de criminalité est naturellement absent des hauts lieux de l’intelligentsia américaine. Aah, le progrès n’a pas de limites….. même pas celles de l’indécence.