PAR MYRET ZAKI Ecopop, forfaits fiscaux, or de la BNS: le producteur de "Genève à Chaud" Pascal Décaillet se fend d’une critique au vitriol de ces « cercles » qui conspuent les initiatives. Interview.
Pascal Décaillet veut régler leurs comptes à ceux qui remettent en cause le droit d’initiative populaire en Suisse.
VOTATION
Pascal Décaillet veut régler leurs comptes à ces « gros jaloux face au succès des initiatives », titre de sa chronique « Sur le vif » du dimanche 16 novembre. Entendez ceux qui remettent en cause le droit d’initiative populaire en Suisse, qu’il s’agisse de parlementaires, de juristes, de juges, d’éditorialistes de la SSR, de Tamedia ou de Ringier. Tout le monde y passe.
Le producteur de "Genève à Chaud", l’émission vedette qu’il anime sur Léman Bleu, se fend d’une critique au vitriol de ces « cercles » qui conspuent les initiatives et cherchent « impérieusement à les limiter, à en restreindre le droit de dépôt, à contrôler et censurer sévèrement leur contenu, à les invalider sans hésitation », dès lors que leurs conséquences leur échappent.
« Faire passer pour sale, déplacé, hors sujet, les initiatives et les référendums » serait leur but, écrit-il, pointant du doigt « ceux qui poussent le culot jusqu’à proclamer que la démocratie directe « nuit aux institutions », alors qu’elle en fait intrinsèquement partie. Il évoque le succès grandissant des initiatives, en particulier celles de l’UDC, pour expliquer que celles-ci soit traitées en « monstre » et se pose en défenseur absolu de la démocratie directe.
Trop absolutiste ? Bilan l’a interrogé sur les faiblesses potentielles des initiatives.
N’est-il pas logique de vouloir relever le seuil du nombre de signatures, dès lors que le droit d’initiative date de 1848, et qu’avec la croissance démographique, seuls 1,5% de la population peuvent désormais changer les lois et la Constitution ?
On pourrait certes en discuter. Mais ceux qui demandent maintenant ce relèvement du nombre de signatures ne le font évidemment pas par « mise à jour démographique » par rapport à 1891, mais bel et bien pour brider le droit d’initiative lui-même. Cela dit, qu’ils lancent une … initiative sur le sujet ! Je me réjouis de voir son accueil, un certain dimanche venu, par le peuple et les cantons.
S’attaquer à la politique monétaire de la BNS (« Sauvez l’or ») ou vouloir modifier en profondeur le système bancaire (« Monnaie pleine ») ne nécessite-t-il pas une haute expertise technique ?
Définie au moment de la Révolution française, mise en place (avec nombre de soubresauts, y compris en Suisse !) dans les deux siècles qui ont suivi, la prise en main des affaires par les citoyens postule que le politique (désolé de le dire aux lecteurs de Bilan) l’emporte sur l’économique. Et que le débat citoyen appartient à tous ceux qui ont le droit de vote, non aux seuls experts. Charge aux médiateurs de traduire en langage simple, accessible à tous, les enjeux d’apparence complexe. Par exemple, la gestion des avoirs d’une Banque nationale.
Source, Bilan, 17 novembre 2014, Lire la suite...
toutes ces initiatives sentent de plus en plus la manipulation mentale avec pour seuls slogans méritoires ,peu importe les moyens seul compte le décompte des voix
Beaucoup émanent de gens qui sont contre le nucléaire mis en œuvre par des gens qui pour beaucoup avaient vécu deux conflits et ceux d’aujourd’hui critiquant tout sans doute pour avoir l’air font exactement la même chose à ceux qu’ils accusent de tous les maux
Et c’est pire car de nos jours aucune menace excepté psychologique ne pèse sur l’humanité ,menace provenant d’ailleurs de la part de tous ceux qui veulent du changement soi disant moins dangereux et qui occultent sciemment qu’à l’époque de la mise en route des centrales c’était l’économie qu’il fallait re-booster
Et quand on voit les taux de chômage actuel on ne peut qu’être heureux d’avoir des centrales en bon état qui permettent de créer des emplois et si danger il y avait il serait et de nombreux scientifiques s’accordent sur ce point , provoqué par ces révolutionnaires de salons et de pacotilles qui veulent tout régenter sans réfléchir plus loin que leur bout de nez
A l’époque pris par le temps et les épidémies pulmonaires peut-être que seuls les résultats comptaient mais les projets émanaient de scientifiques très sérieux ne dépendant d’aucune ONG .Quand on sait que pour ces dernières seuls les résultats comptent peu importe les moyens utilisés le serpent de l’incongruité du raisonnement humain a encore de beaux jours devant lui
Jac Etter, Aude, M. Décaillet, vous avez totalement raison, je vous approuve à 100%.
Il me semble, et j’espère ne pas me tromper, que de plus en plus de suisses ont ouvert ou commencent à ouvrir les yeux et à se rendre compte que notre gouvernement est formé de traîtres et de parvenus, dont beaucoup, venus d’ailleurs, visent à détruire notre pays.
Les citoyens commencent à réaliser que nous sommes honteusement manipulés et bafoués et qu’il est temps de réagir, de dire STOP.
N’oubliez pas de VOTER!
Chers amis suisses, je me propose en toute humilité de vous faire part de mon expérience de vie.
Français de souche de 33 ans, issu d’une 4e génération de famille expatriée, j’ai parcouru le monde 20 ans durant avant de finir ma course dans ce merveilleux pays qui est le vôtre.
Je n’ai passé que 8 ans en France, et je peu vous garantir que je n’y reviendrai jamais !
Je m’y suis senti étranger.
Ce “beau pays” de Lettre et de culture que me narrait mes parents durant ma jeunesse n’existe plus, dévoré par cette idéologie socialiste qui ne cherche qu’à détruire le sentiment de la nation au profit d’un mondialisme déracinant et acculturant.
Pourquoi ai-je choisi la Suisse? Car c’est un refuge démocratique baigné de traditions chrétiennes.
Certains me diront (souvent bien plus les étrangers que les suisses d’ailleurs) que la culture helvétique n’étant pas la mienne, chercher à m’intégrer et inutile car jamais je ne serai vraiment des vôtres.
A ceux- la je répondrai que quand on choisi d’émigrer dans un pays, c’est qu’on est en harmonie avec celui-ci avant même d’y vivre. Si vous n’êtes pas prêt à abandonner votre identité première pour vous assimiler, alors inutile de rester.
C’est à nous, les étrangers, de faire nos preuves et non aux Suisses de s’adapter… voyez le résultat en France.
En espérant que mon modeste témoignage en éclairera certains.
Vive la Suisse!
Excellent Nicolas… “L’autodétermination appartient au peuple..elle n’est pas négociable..”
Observez..au soir de votation..les visages pâles et langues de bois du CF. Ils feignent, sans vergogne aucune et contre leur bon gré..d’accepter sans conteste le vote souverain.
Et dès les lendemains qui ne chantent plus, ignorent ce qu’ils approuvaient la vieille.
“Cause toujours petit peuple , en fin de compte, nous décidons.bien au secret dans nos officines.”
Le temps passant..les citoyens découvrent leur supercherie..
Un rappel de mémoire de la fable du Corbeau et du Renard (J.de la Fontaine.
La vérité finit toujours par les rattraper.
Bravo M. Décaillet, Bravo merveilleux Compatriotes. Car en réalité, toute cette oligarchie n’est pas jalouse, elle tremble. Elle tremble pour ses prérogatives européennes, pour son pouvoir indu volé au peuple, pour ses privilèges exorbitants truandés sur le travail d’autrui, pour ses avantages antidémocratiques usurpés à l’innocence du citoyen. Elle tremble, frémis, flageole car le Peuple se réveille. Il réclame, encore à mots timides et chuchotés, ses droits un peu partout en Europe. Mais sa voix prend de l’ampleur, sa conscience s’éveille et il revendique son droit au libre-arbitre, il revendique le pouvoir dans sa vie. Bientôt plus personne n’acceptera d’être un vassal et chacun voudra s’exprimer en maître sur les options engageant son existence, chacun sera un Homme, conscient de son pouvoir créateur et de sa liberté. Alors bien sûr, la Suisse fait peur, car elle a tracé la voie en incarnant l’essence même du droit de l’homme : le droit d’être dans toute son intégrité, y compris celle de se tromper, car un Homme, un vrai est un homme responsable dans toutes ses créations. Mais on ne peut pas en dire autant de ces oligarques.
Le refus de l’initiative Schwarzenbach est l’origine de la destruction de la Suisse. L’immigration massive a détruit les racines de la Suisse. Les “700 ans ça suffit” et autres “La Suisse n’existe pas” ont gagné. La Suisse n’est plus qu’une zone administrative de l’Empire, un lieu de passage des nomades qui s’en iront quand elle aura sombré …
Ils viennent tous d’ailleurs, de là où le chaos les a poussé et ils prétendent nous interdire les initiatives fort d’une expérience qui devrait les en dissuader. Sont-ils des traitres comme tous ces parlementaires multinationaux qui se trahissent au fil de leurs propositions absurdes ?
.
Encore une pétroleuse du gouvernement mondial. Là où il y a du fric volé au monde entier, il y a la perspective de s’approprier quelques poussières qui se chiffrent en millions. Arrêter une train qui fonce vers le précipice n’est pas sans conséquences financières, ne serait-ce que la perte de l’énergie qui le meut.
.
C’est comme avec Ecopop, on ne fait pas d’omelettes dans casser d’oeufs, mais agir aujourd’hui c’est pour en casser moins demain.
.
S’il y a une quelconque modification a effectuer au sujet du droit d’initiative, c’est de légiférer pour une parfaite maîtrise des coûts et des excès de propagandes mensongères distillées aussi grâce aux redevances obligatoires sur la tv et la radio payées par tous. On a là quelques propositions qui démontrent des défaillances propres à un état qui se dirige vers le totalitarisme.
.
Encore ce matin, j’ai entendu une radio française qui voulait nous faire croire que certains bas revenus avaient baissé et en symétrie ceux des grandes fortunes qui payaient ainsi une augmentation du coût de la vie. Un vrai gag ce coût de la vie pour grandes fortunes, alors que tout ce qui dépasse le nécessaire sert justement à spéculer pour appauvrir encore plus celui qui possède le minimum vital ou qui s’apprête à entrer dans cette catégorie.
Une décision peut paraître folle aujourd’hui et s’avérer d’une grande sagesse demain. Hormis les pseudo-experts arborant comme un étendard leur suffisance imbécile, qui peut dire qui a raison et qui a tort. Et qui payera pour les pots cassés si la décision est mauvaise? Tous ces secondos qui polluent notre paysage politique avec la prétention de nous guider vers un avenir radieux alors qu’ils ne connaissent rien de notre histoire et ne savent pas eux-mêmes qui ils sont ? Certainement pas, ils seront les premiers à déguerpir dès que le vent tournera. Pascal Décaillet fait preuve d’habileté lorsqu’il dévie une question piège en déclarant: Je ne dis jamais « le peuple a toujours raison », mais simplement : « le corps électoral des citoyens décide ». Autrement dit, chacun est maître de son destin et assume ses décisions. Il n’y a pire torture que l’anéantissement ressenti par celui qui subit les conséquences d’un acte qu’il n’a pas maîtrisé parce qu’il a fait confiance à un maraud. C’est tellement extraordinaire que nous, citoyens Suisses, puissions exprimer notre volonté et décider de notre avenir, qu’il importe avant tout de préserver notre bien le plus précieux, la liberté pour laquelle nos ancêtres ont versé sueur et sang. L’autodétermination appartient au Souverain, et elle n’est pas négociable.
Copie du commentaire sur bilan:
“Vous ne pensez pas que les politiques de ce pays n’avaient pas fait preuve de plus d’intégrité et d’éthique en agissant dans l’intérêt de TOUTE la population, vous auriez ce type d’initiative Madame Zaki? La réponse est évidemment NON! Au lieu de trouver en Monsieur Décaillet un responsable, il serait plus constructif que nos politique se mettent “sur le vif” en question! Je ne partages pas toutes les convictions de Monsieur Décaillet, mais il a le mérite de défendre ses convictions versus ses intérêts!”