Les garçons sont en général plus turbulents que les filles, c’est bien connu. Mais d’après une tribune parue dans Libération, cela pourrait relever « d’un trouble du comportement », ou, bien plus grave, « d’un problème lié à la construction même de l’identité masculine ».
Ainsi, le problème n’est pas de « sauver » les garçons, ni de lutter pour l’égalité entre les filles et les garçons, ni même de combattre une homophobie qui structure leur construction identitaire. Le problème est d’en finir avec la fabrique des garçons. D’explorer la manière dont familles, école et société projettent sur les « petits mâles » des rêves, des désirs ou des fantasmes qui influent sur leurs identités et leurs carrières. – Sylvie Ayral et Yves Raibaud, Libération, 06/11/2014
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Aussi étrange que puissent paraître certaines de ses créatures, la vie n’obéit qu’à une seule loi universelle, sa conservation. La diversité des espèces en est un des fondements, et elle est assurée par la reproduction sexuée. Tout le patacaisse actuel autour du genre illustre le malaise d’individus qui n’assument pas leur déviance en tant que telle. On peut compatir sans pour autant concéder le moindre crédit à leurs élucubrations.
Il faut en finir avec ces attaques constantes sur le masculin et l’envie, promue par des imbeciles qui ont troqué leur envie du quart d’heure de célébrité contre leur virilité, de castrer du mâle à tout-va.
Remarquons que la téorie du genre ne met jamais en avant les conséquences potentiellement négatives sur le vivre ensemble générées par des attitudes typiquement féminines telles que l’inconstance dans l’expression (“oui” signifie oui, ou “non”?), la tendance à la rancune dans les rapports interpresonnels, la création de clans quant le groupe compte des hommes et plus de troi femmes.
Certes, cela est caricatural et il serait absolument ridicule de vouloir imposer aux filles d’en changer en rason d’un excès de progestérone.
L’inverse doit aussi être vrai.
Y a vraiment des désaxé(e)s sur cette planète. Si on les écoutait, il faudrait que tant les garçons que les filles jouent à la poupée et portent des jupes. C’est lamentable! Cela ne me dérange absolument pas que des femmes portent des pantalons ou enfilent un costard (avec une coupe féminine), mais là faut pas pousser. On cherche à effacer nos différences et à nous faire perdre nos repères. C’est contre-nature. Mais c’est quoi cette époque à la con ??? Y a déjà pas assez de misère dans le monde sans encore inventer ces délires ?
On notera qu’ils prétendent que ce comportement est dicté par la société alors qu’ils veulent imposer eux-mêmes un procédé de »dé-mâlisation ». Non non, ce n’est pas du tout contradictoire chez les cons!