La Fédération des Eglises protestantes (FEPS) a adopté une résolution demandant au Conseil fédéral d'augmenter le contingent de réfugiés que la Suisse accueille.
L'Assemblée des délégués, réunie à Berne, a adopté une résolution qui vise à augmenter à 5000 le nombre de réfugiés enregistrés par le HCR venant de Syrie et d«autres pays du Moyen-Orient ou du monde, écrit mercredi la FEPS dans un communiqué.
Rappel: C'est une autre association protestante qui a manifesté sa joie lorsque la Susse a été condamnée par la CEDH, nous forçant à accueillir et payer pour une famille afghane de 8 personnes.
Si c’est pour payer des juristes qui nous agrippent toute cette racaille qu’ils rendent inexpulsable quand je laisse 20 balles dans sébile aux enterrements et bien terminé embargo sur l’Eglise réformée. J’irai les boire à leur santé. Ras-le-bol
Notre négligence est en cause. “Les églises” continuent à parler et agir en notre nom et à prétendre un nombre d’adhérents parce que personne ne se donne la peine d’aller à l’administration communale pour demander d’être rayés des registres.
C’est pourquoi les églises comptent encore tant de membres. Il est nécessaire de s’en faire rayer officiellement. Cela n’a rien à voir avec la foi que chaque personne peut avoir dans son for intérieur.
Cela n’empêche pas non plus de faire des dons à titre personnel.
pour ne plus contribuer à l’impôt religieux il suffit d’aller à la comune déclarer que vous ne faites pas partie de l’église et ne voulez pas payer cet impôt – il faut aussi obliger ceux qui veulent des réfugiés à les prendre chez eux, à les héberger et à en payer les frais – voici ce qu’écrit Le Figaro ce matin http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2014/11/05/01016-20141105ARTFIG00350-un-rapport-choc-sur-les-derives-du-droit-d-asile.php
Des centres d’accueil débordés
L’hébergement des demandeurs d’asile est devenu une charge «insupportable» en ces temps de crise, explique en substance le député Éric Ciotti. Certes, «en dix ans, la capacité en places des centres d’accueil pour demandeur d’asile (Cada) a quadruplé, passant de 5282 places en 2001 à 24.689 places à la fin du premier semestre 2014». Coût de l’hébergement: «220 millions d’euros», sur un total de plus de 600 millions d’euros alloués par l’État au programme «immigration et asile» pour 2014. Et pourtant, face à l’insuffisance de ce dispositif d’accueil, dont la gestion est confiée à des associations et à la société d’économie mixte Adoma, «l’hébergement d’urgence (auquel est couplé le versement d’une aide temporaire d’attente), qui ne devait avoir au départ qu’un rôle annexe, est devenu le principe», se désole l’élu des Alpes-Maritimes.
• Une facture hôtelière exponentielle
«Les dépenses d’hébergement d’urgence, en particulier sous la forme de nuitées hôtelières, se sont par voie de conséquence accrues de façon largement incontrôlée», poursuit le rapporteur. «Ce dispositif a pris de l’ampleur, jusqu’à comporter aujourd’hui le même nombre de places qu’en centre d’accueil pour demandeur d’asile (Cada). Près de 22.000 places étaient financées en 2013, contre seulement 13.000 places en 2009, soit une augmentation de près de 70 % des capacités en quatre ans», écrit-il. Éric Ciotti ajoute: «Les dépenses d’hébergement d’urgence ont été multipliées par trois sur la période 2008-2012. Il y a aujourd’hui davantage de personnes prises en charge dans le dispositif d’hébergement d’urgence qu’en Cada.» Son financement autorisé pour 2015 est de 132,5 millions d’euros (+14,8 % ).
• Plus de 870 euros par mois et par personne
Pour Éric Ciotti, «ceci est d’autant plus dommageable que le coût global de la prise en charge en hébergement d’urgence est au moins équivalent, sinon supérieur, à celui de la prise en charge en Cada. Le coût unitaire de la nuitée hôtelière est en effet estimé à 17,17 euros, auxquels s’ajoute une aide temporaire d’attente de 11,45 euros par jour», soit un total mensuel de 870,50 euros par personne. Par comparaison, «le prix de journée moyen national des Cada s’élève à 24,43 euros par personne hébergée», indique-t-il.
• Des inégalités chez les plus démunis
Ces dérives conduisent à une «rupture d’égalité entre les demandeurs d’asile, l’octroi du statut n’étant plus seulement lié au bien-fondé de la demande, mais aussi au mode d’hébergement et d’accompagnement», affirme le député des Alpes-Maritimes. Il va plus loin: selon lui, les demandeurs sont également orientés vers les structures d’ordinaire dédiées aux «personnes en grandes difficultés sociales», les «sans-abri», les «mal logés». Ce qui provoque parfois, écrit-il, «une éviction de fait des publics qui y étaient traditionnellement accueillis».
——————————————————————————–
Le montant des aides aux réfugiés a triplé et l’État dissimule les coûts
Le rapport Ciotti révèle que l’aide temporaire d’attente (ATA), versée aux demandeurs d’asile, a progressé de «367 % entre l’année 2007 et l’année 2013» .
«Elle était versée à 42 115 personnes au 31 décembre 2013, contre 37.600 à la fin de l’année 2012», précise le député des Alpes-Maritimes. La durée moyenne de perception de cette allocation est de 349 jours. Son montant de 11,35 euros par jour et par personne. La dotation budgétaire inscrite au projet de loi de finances pour 2015 en vue du versement de l’aide temporaire d’attente est de 109,9 millions d’euros. Mais «sur la base d’une hypothèse de 25.400 bénéficiaires», une «hypothèse particulièrement optimiste», ironise Éric Ciotti, qui évoque une dotation «sous-budgétisée». En clair: le gouvernement mentirait à l’opinion sur le coût réel de cette dépense inévitable.
Les efforts réalisés sous Manuel Valls pour limiter la fraude à ce type de prestations sont pourtant couronnés de succès. En avril 2013, «près d’un bénéficiaire de l’aide temporaire d’attente (ATA) sur cinq la percevait indûment», tandis que l’on décèle aujourd’hui seulement «2 % de cas d’indus» parmi les quelque 42.000 bénéficiaires de cette aide, concède Éric Ciotti. Après la réforme Valls-Cazeneuve sur l’asile, des critères d’attribution de l’aide temporaire d’attente plus rigoureux seront mis en place. Ce qui pourrait permettre «une économie potentielle de 11 millions d’euros en année pleine», assure le ministère de l’Intérieur.
Il ne manquait plus que ça…reveillez-vous… On est déjà emm par une religion ou pseudo religion, voilà que le Vatican s’en mêle et maintenant les église protestantes… Boycott
J’irais même jusqu’à préconiser de ne plus faire d’achat dans ces centres genre Caritas et autres.
“pardonnez leurs, ils ne savent pas ce qu’ils font!”. Il serait interessant de connaitre le nombre d’immigrés/sans abris qui sont dans les murs des églises, des cures et autres infrastructures? A Zurich certaines églises sont fermée ou à vendre! Notre armés leurs font places et les églises?
Si la FEPS émet une résolution afin d’augmenter le contingent de réfugiés, qu’elle en prenne elle-même la charge. Ce n’est pas aux contribuables d’assumer.
Elle surf apparemment sur le succès de l’EPER et tente d’ouvrir d’autres vannes. Je lui souhaite plein de musulmans intégristes dans ses églises..et elle n’aura plus qu’à fermer boutique.
Y en a qui coupe sciemment la branche sur laquelle ils sont assis. Et en redemande.
Ne faites plus de dons à l’église protestante !
Je me pose la même question que Roland. On ne peut tout de même pas accueillir toute la misère du monde. Et les personnes de chez nous qui n’ont jamais assez pour vivre et qui doivent se rendre dans des endroits où on met à leur disposition nourriture etc etc etc. Je ne suis pas du tout d’accord avec cette manière de faire de l’Eglise protestante. Et je suis en train de réfléchir comment ne plus la soutenir.
Comment faire pour ne plus contribuer au financement de cette église avec mes impôts cantonaux.