Par Ryan McMaken.
Un article du Mises Economics Blog
D’après Guy McPherson, Professeur émérite de l’Université d’Arizona en ressources naturelles, écologie, etc., le changement climatique est « irréversible » et, en gros, nous sommes tous foutus.
Comme je l’ai déjà évoqué, toute personne attachée à la liberté et au progrès devrait saluer les déclarations qualifiant d' »irréversible » le changement climatique. Après tout, s’il n’y a rien à faire pour l’arrêter, alors autant avoir l’esprit tranquille, et laisser l’humanité gérer au cas par cas les problèmes environnementaux qui se présenteront dans le futur, ce qu’a fait homo sapiens pendant des millénaires.
Ainsi, le verdict d' »irréversibilité » dans le verdict de McPherson nous libère d’un énorme poids. Nous pouvons cesser de débattre sur la nécessité, ou non, de casser le développement économique avec un amoncellement de réglementations destinées à réduire le niveau de vie des populations à l’échelle mondiale en limitant les émissions de carbone (enfin, sauf pour les super-riches et les super-proches du pouvoir, évidemment).
Mais ce n’est pas tout ! McPherson a un autre tour dans sa manche. Que l’humanité soit foutue ne signifie pas que l’on peut laisser de côté ce problème et se recentrer, dans le temps qui nous reste, sur l’amélioration rapide de notre niveau de vie. Non non non, apparemment nous avons tout de même le devoir de nous faire hara kiri pour que d’autres animaux prennent notre place sur cette Terre. La méthode choisie ? Nous devons « anéantir la civilisation industrielle ».
Puisque McPherson se considère qualifié pour intervenir dans ce débat, je suppose qu’il se rend compte qu’anéantir la civilisation industrielle causerait quasi-instantanément une famine pour une grande partie de l’humanité. Pour sûr, c’est compatible avec son plan de détruire l’humanité au profit des cerfs et des amibes mais, ensuite, il montre qu’il n’envisage pas (ou du moins, pas correctement) les conséquences de la fin de la civilisation industrielle lorsqu’il déclare que, étant voués à une disparition certaine, le seul choix qu’il nous reste est d’« apprécier et créer des instants de bonheur tant que nous sommes là ».
Alors, qu’en est-il ? Devons-nous anéantir la civilisation industrielle ou « apprécier et créer des instants de bonheur tant que nous sommes là » ? En tout cas, ces deux propositions sont mutuellement exclusives pour la vaste majorité des personnes.
Peut-être que McPherson est de ces gens qui ont la fausse impression qu’avant l’industrialisation, la Terre était un monde merveilleux au parfum bucolique et rempli de joie de vivre. Beaucoup d’écologistes semblent croire à ce mythe ridicule. La réalité de ces bons vieux temps pré-industriels, bien sûr, était celle d’une vie de subsistance passée à gratter la terre du matin au soir en espérant ne pas être frappé par les aléas de la nature.
Pour la plupart des gens, le bonheur vient lorsqu’on dispose de temps libre, dans un confort relatif, en ayant accès à des soins médicaux modernes lorsque quelqu’un tombe malade. Sans la civilisation industrielle, il n’y a pas de médecine moderne, peu de confort, et certainement pas de temps libre. L’origine de ce « bonheur » que nous serions censés atteindre dans la vision de McPherson est un mystère.
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Traduction par Fabrice M. pour Contrepoints de « Global Warming Debate Over: We’re Doomed »
Extrait de: Source et auteur
Que le réchauffement existe, pourquoi pas ! Qu’il soit le seul fait de l’homme est un mensonge. De tout temps la terre s’est réchauffée, puis s’est refroidie, puis à nouveau réchauffée, puis …….
La vie est apparue sur terre il y a env. 500 millions d’année (le genre humain il y a 2 millions d’année). La terre pourrait rester habitable encore 500 millions d’année du fait de l’augmentation de luminosité du soleil qui entraînera la disparition des océans (et donc de toute vie qui a besoin d’eau).
Que peut-on donc espérer gagner avec les mesures prônées par les escrolos ? 10’000 ans ? 100’000 ? 1 million ? Quelle importance à ce niveau-là. L’homme aura de toute manière trouvé une manière de s’anéantir lui-même bien avant cette “deadline”. Comme le dit McMaken, profitons de la vie durant les quelques années que nous passons sur terre et laissons Gaïa s’occuper du climat.
et vlan voilà le retour des catastrophistes qui sont réglés comme les cycles de la lune revenant périodiquement pour rajouter une couche de leurs peurs basées sur des histoires ancestrales qui ont elles aussi été réchauffées grâces aux contes et légendes d’autrefois
La chaine Arte s’en donne à cœur joie pour remplacer la peur des invasions Allemandes par des catastrophes en tous genres. Lesquelles quelques jours plus tard sont remplacées par des reportages beaucoup plus réalistes afin de démystifier ceux programmés auparavant Nous vivons une guerre psychologique basée sur les émotions et les peurs il suffit de voir cette mode de clowns qui a elle seule prouve combien il est facile d’inciter au pire les foules actuelles surtout quand par derrière se trouve des lobbys ou sectes qui manipulent des jeunes .Ces jeunes sont aussi malléables que les foules qui se laissèrent influencer pour crucifier le Christ ce qui en ces temps là était normal les gens ne sachant pas lire alors qu’aujourd’hui il est tout aussi facile d’instrumentaliser ces jeunes qui refusent le dialogue avec leurs proches surtout avec leurs anciens
Notre génération s’effaçait pour aider les plus âgés et aujourd’hui retirée elle écrit pour les jeunes de demain car déjà en son temps les anciens riaient en voyant les jeunes s’énerver disant c’est comme l’amour cela passera bien un jour et tous feront comme nous ils regarderont le temps passé qui passe trop vite surtout quand on croit aux bobards d’illuminés qui eux étant de très gros psychotiques ne rêvent que de catastrophes
De toutes manières la semaine prochaine verra 10 à 15 degrés de chaleur en moins Et comme toute chaleur endort les neurones de l’intelligence, le froid réveillera d’autres ardeurs beaucoup plus stimulantes et vivifiantes
L’homme est un animal religieux.Et l’écologisme et le catasrophisme va remplacer le vide laissé par le christianisme qui se meurt. L’homme a besoin de croire méme si le mythe est aberrant. Voyons l’Islam, les milliers de sectes, la stupidité de Guaia : Une verité qui le dépasse est hélas un besoin.Et de très nombreux chercheurs ont démontré la similitude entre croyance religieuse et l’écologie et ses dogmes.
En parallèle au réchauffement climatique il y a l’exploitation des ressources naturelles. S’ il se trouve encore des illuminés qui nient le réchauffement de la planète, ils ne peuvent nier que les matières premières ne sont pas infinies. La civilisation industrielle va peut être s’écrouler faute de matières premières avant d’être détruite par des catastrophes liées au réchauffement du climat. De toute façon aucune civilisation ne survit indéfiniment. La civilisation de l’aire industrielle disparaitra elle aussi. Ce n’est qu’une question de temps.
Pollution de l’air, des mers, des rivieres, pandemies, rechauffement climatique, surpopulation, accident nucleaire ou guerre : “““’`Tot ou tard, d’une maniere ou d’une autre, l’humanitee sera confrontee au probleme global de sa survie” suivant recit “les corps indecents” . Et si c’etait vrai ?
Les réchauffistes – enfin, ceux qui croient à l’origine anthropique du réchauffement- sont des arnaqueurs. Car il ne faut pas oublier qu’une industrie prospère sur les mensonges du GIEC (de plus en plus contestés par les climatologues sérieux). La paléoclimatologie révèle des alternances de réchauffement et de refroidissement, avec une périodicité de quelque 11 000 ans, et qui n’ont RIEN à voir avec l’activité humaine. Il y a donc un sale coup monté contre l’humanité par les écolos. La raison voudrait qu’on coupe les vivres à ces faux prophètes.