Les bretteurs socialistes Christian Levrat et Alain Berset ont espéré faire fort en attaquant et diabolisant l’UDC lors de leur dernière assemblée générale samedi dernier ( ATS, 25.10 2014 et Forum, RTS 25.10.2014). La manie n’est pas nouvelle mais c’est sa violence et les prétentions avancées qui sont à relever cette fois. Ces diatribes étaient sans doute destinées à frapper ceux qui sont encore dupes de la politique du PS. Cette fois, l’effet contraire est garanti et ce parti révèle ouvertement sa nature profonde. Il devient autoritaire et anti-démocratique, tout en accusant les autres d’être anti-démocratiques ! Sans rire.
Mieux, Levrat veut dicter la politique aux autres partis, aux partis qui seraient tentés de procéder à des apparentements, même localement, cantonalement, avec l’UDC.
Avec l’arrogance et la démesure propre aux idéologues fanatisés, ils cherchent à faire coup double : tirer à plusieurs et d’endroits stratégiques différents, et être entendus des médias. Sur ce dernier point, aucun souci, les médias sont toujours là pour eux ; même pas nécessaire de les prévenir et ils savent qu’ils seront servis, eux qui adorent l’outrance et l’UDC bashing. Même pas besoin non plus d’écrire un papier. Il suffit de faire du copier-coller avec les formules préparées à l’avance et à eux destinées.
Cette violence, de leader presque maximo, en dit plus sur le socialistes eux-mêmes que sur ceux qu’ils condamnent et calomnient. Premièrement, politiquement ils sont à la peine un peu partout au niveau international et, en Suisse, ils craignent en effet au plus haut point des apparentements, même ponctuels et partiels avec l’UDC, ce qui renforcerait enfin la droite. Au détriment de qui?
L’autre leader, presque maximo, le conseiller fédéral A. Berset, malgré sa haute responsabilité et qui devrait donc faire dans la mesure, a osé : « Ecopop est pire qu’un crime, c’est une faute ». Sacré formule. Qui le croit ? Comme en 1992, cette fois c’est Ecopop qui signifierait la fin de la Suisse. Or on sait quels ont été les effets en 1992 lors du refus de l’EEE : la Suisse est toujours là et même assez bien portante. Ne faudrait- il pas changer le disque ?
Il n’en va pas autrement de l’éventuelle fin des bilatérales ? Qui osera dire que même cette fin-là ne serait nullement dramatique ? Ici le rouleau compresseur du discours dominant n’a laissé aucune place à une contre-argumentation. Le peuple en a encore peur. Et si on regardait une fois concrètement ce que sont l’ensemble de ces bilatérales et leur impact réel en cas de fin : tout sauf catastrophique. Pour l’instant on est dans la menace. Qui, en l’occurrence cherche à faire peur ? A créer des « peurs irrationnelles » ?
Quelques extraits de ces violences appuyées de la part de ces deux dirigeants socialistes. Pour qui se prennent-ils ces socialistes, eux qui ont en leur sein de vastes publics d’extrême gauche et même communistes, de par leurs objectifs, même clairement avoués par les plus jeunes. De ces outrances et propositions destructrices de la part de certains de leurs jeunes membres, leurs dirigeants diront simplement que ce sont des « provocations » propres aux jeunes et qu’il faut cela pour « avancer ». Observons les « avancées » dans le socialisme français au pouvoir depuis quelques années et le résultat calamiteux pour le pays pour comprendre les effets réels de ces « avancées » ( un autre terme de la novlangue socialiste).
La population devrait réaliser les effets politiques réels de cette novlangue et se souvenir de ce à quoi cela a mené.
Christian Levrat à l’assemblée des délégués ce samedi : « Pactiser avec cette UDC-là est une erreur politique et une faute morale ». Faire la morale aux autres ? On croit rêver.
« Une force de résistance doit se lever ».
Oui, mais pplutôt contre le socialisme.
« La droite dure » est en pleine « dérive ».
Qui est en pleine dérive ?
La droite « s’apprête à remettre en cause les fondements mêmes de notre démocratie ».
Là c’est la meilleure : qui a des tendances autoritaires et anti-démocratiques, maintes fois avérées. Qui a expulsé du gouvernement suisse un représentant du plus grand parti politique de Suisse ? Qui conteste systématiquement le résultat de certaines votations populaires ? Qui veut empêcher des enseignants qui ne sont pas de gauche de travailler ?
L’UDC isolerait le pays, affaiblirait les droits humains et décrédibiliserait la démocratie ! Quelle charge ! Or, on ne peut justement pas reprocher à l’UDC un non respect de la démocratie ; elle l’applique même de manière exemplaire.
Après l’UDC c’est le PLR que l’on vilipende et accuse. Et pour cause, c’est effectivement là que réside le vrai danger pour le PS, dans d’éventuels apparentements futurs, évidemment.
Il faut espérer que le PLR, et la droite dans son ensemble, ne se laisseront pas intimider par de telles accusations et diffamations gratuites ; la ficelle est un peu grosse. La solution réside à coup sûr dans des apparentements ponctuels entre la droite élargie sur des thèmes bien précis, limités et particulièrement importants pour le pays, quitte à être en désaccord sur bien d’autres points. Sans de tels accords la gauche continuera à tirer la Suisse vers le socialisme, ce que nous ne voulons plus en aucun cas.
Mais il faut rappeler que cette opération de culpabilisation, où tous les moyens sont bons, a souvent fonctionné. La droite la plus bête du monde…Et quand ça marche on en rit ensuite à gauche.
Il n’y a aucune limite dans ces accusations gratuites, et dans l’autoglorification à laquelle plus grand monde ne croit par ailleurs.
Comme si, par exemple, les socialistes étaient les seuls à s’engager pour une Suisse « ouverte, solidaire et sociale ». En plus de cela, les partis de droite créent les richesses que les socialistes pensent avoir le droit de dépenser à leur guise, et sans y contribuer.
Enfin, qui défend vraiment la Suisse ? Plutôt que la livrer à l’étranger et à l’international sous de plus en plus de dimensions. Qui est vraiment patriote ? Qui défend les valeurs historiques et traditionnelles propres à la Suisse, toujours valables, et même enviées partout ?
Au-delà de la grossièreté, de la vulgarité, des mensonges, et de cette prétention et démagogie crasse, due en partie seulement à l’entrée en année électorale, un seul souhait : que la droite ne se laisse pas intimider une nouvelle fois et qu’elle combatte le vrai ennemi d’une Suisse encore relativement bien portante mais menacée de toutes parts.
Comment peut-on encore se laisser intimider, sermonner… par un socialisme délirant, menaçant, aux abois, et destructeur partout au niveau international des fondements et des valeurs les plus essentiels de nos sociétés et de notre civilisation ?
La formule magique avantage beaucoup trop la gauche et si quelqu’un doit vraiment quitter le gouvernement ce n’est pas l’UDC, bien au contraire. La Suisse est sérieusement en danger si l’alignement de plus en plus large et systématique sur l’international se poursuit.
Toucher à un seul élément fondamental, structurel, vital du système politico-culturel suisse revient à remettre en cause la totalité. Il faut absolument comprendre cela.
Aujourd’hui nous ne sommes plus dans l’adaptation continue et nécessaire, comme nous l’avons toujours fait, mais dans une voie de reniement incessant. Et ce n’est pas là une « peur irrationnelle » mais la réalité présente et à venir si nous ne réagissons pas tant par rapport à l’interne que par rapport à l’international.
Oui il faut un véritable mouvement massif de résistance, mais pas celui prôné par les socialistes. C’est contre ce dernier qu’il faut se battre, avec la plus grande énergie et détermination.
Encore une fois, nous ne voulons pas d’une Suisse bureaucratique, autoritaire, socialiste, dirigée de plus en plus par l’UE et les organisations internationales, et ce n’est pas être réactionnaire ou passéiste que de vouloir cela, mais tout simplement être suisses, comme nous le sommes depuis des siècles et nos ancêtres se sont battus durement, souvent au risque de leur vie, pour ce pays-là.
Uli Windisch, 26 ocotbre 2014
La vrai question est de savoir où sont passés les socialistes. Ils prétendent plein de choses, mais est-ce encore dans la lignée socialiste. Après sur la question de siège UDC, tout dépend du genre de centre que l’on veut y placer. Car là aussi il y a des virages à droites qui ne laisse pas trop de doute sur l’orientation générale.
La démocratie d’un point de vue socialiste = FAITES CE QU’ON DIT !!!
O la la..L’interview du 27.10.14 à la RSR à vous faire grimper les murs! Merci de l’avoir enregistrée.
Le summum de la bêtise. Lorsque le Xème bobo-journaleux interroge P.Roch. Il n’ose le taxer le facho, ce qui paraît un comble..mais tout de même …Conservateur, tiens ça passe mieux.
Imaginez–vous P.Roch, paléontologue ..lui de nature si vive..exubérant..Mais encore..lorsqu’il parle de démographie (galopante?) en Afrique, en Inde ou ailleurs.. Ce qui est vrai…
Réponse du journaleux : Le planning familial dans un autre pays ne nous regarde pas…
Le droit d’ingérence imaginé par un autre bobo n’est pas applicable concernant la population mondiale. YAKA laisser faire. Ben voyons…Et qui est sommé d’entretenir, en Suisse des familles africaines de 4 à 7 enfants? Le St-Esprit? Il est normal qu’étant pauvre et de surcroît musulman on fait beaucoup d’enfants.. Comment les entretenir….ça c’est un autre problème…leur donner une instruction…encore plus difficile.
Enfin, n’importe quoi de préférence..l’essentiel étant de narguer, d’essayer de mettre en échec.. Pour se faire, ils s’y mettent à deux voire à trois contre un….c’est tellement courageux..n’est-ce-pas?
P.Roch a-t-il eu le temps d’exposer tous les points de vue des initiants…pensez donc!
Que ne doivent pas supporter leurs opposants de ces galeux de journalistes pour faire passer un message,
Je suppose qu’il faudra bientôt prendre 1 anti-déprime, un calmant genre valériane avant de pénétrer dans leur studio au risque de faire un klasch à la Bernard Tappie…
Levrat véhicule la peste du 21ème siècle.
Bravo, Monsieur Windish, Mille fois Bravos ! Vous dénoncez brillamment le vice manipulateur de ces idéologues, politiques et journalistes, qui attribuent au Peuple les démons qu’ils refusent justement d’affronter et de terrasser dans leurs propres constructions mentales. Merci, grâce à vous, à votre parole, vous ouvrez une fenêtre où nous osons espérer dans le futur conserver notre libre-arbitre pour nos choix sociaux, nos projets créateurs, notre liberté d’être. Grâce à votre discernement, l’Homme Debout, responsable de sa vie et de ses actes, demain existera encore. Et vous avez raison, si nous ne voulons pas finir comme des hamsters en cage et bien dressés, il faut se réveiller et vite. Alors, avec courage, tous derrière vous quand vous proclamez le cri de ralliement : « Oui il faut un véritable mouvement massif de résistance ».
Vraiment, sur cette photo de Monsieur Levrat, il ne manque plus que la bave sortant de sa bouche pour compléter le tableau psychiatrique ! Un fou furieux !
Le point levé de Levrat est un appel à la haine… j’espère que son point levé il le prendra en pleine figure !
http://www.rts.ch/audio/la-1ere/programmes/forum/6227884-christoph-blocher-propose-de-rendre-publiques-les-seances-du-conseil-federal-26-10-2014.html
plutôt 2 sièges
Excellent ! Et inspirons-nous de l’attitude de Zemmour, qui est combatif et ne se laisse pas intimider par la violence mensongère de la gauche !
Bien envoyé et merci Mr. Windisch.
Juste une mise au point qui me semble indispensable, je vous cite : Comme si, par exemple, les socialistes étaient les seuls à s’engager pour une Suisse « ouverte, solidaire et sociale ».
L’expression infiniment répétée de tous côtés UNE SUISSE « OUVERTE, SOLIDAIRE ET SOCIALE » veut dire tout et son contraire, elle est à proscrire absolument.
Si journaliste moutonnier voulait me « coincer » en m’envoyant cette expression, je lui répondrais probablement ceci:
UNE SUISSE « OUVERTE » a mille cent douze sens possibles, lequel avez-vous choisi ?
UNE SUISSE « SOLIDAIRE » a cinq milles cent vingt sens possibles (SIC, j’ai bien compté deux fois pour être sûr), lequel avez-vous choisi ?
UNE SUISSE « SOCIALE », là je suis trop bête, arrivé 999’999 sens j’ai dû m’arrêter, je ne sais pas compter au-delà!