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Un excellent article sur le blog à Lupus, concernant la situation actuelle de l’UBS par rapport à l’Euro et l’adhésion rampante à l’UE que nous concocte notre élite politique depuis des années malgré le refus clair du Souverain.
Le résultat du 9 février ne leur a pas plut du tout, d’autant plus qu’ils ne s’y attendaient pas, comme nous avons pu le constater lors des réactions outrées et agressives de cette élite européiste et européenne.
Que neni!
Une fois la surprise passée et la représentation théâtrale de nos “merdias” terminée, les négociations des accords indispensables à l’UE, pour qu’elle puisse nous mettre définitivement dans son panier, ont continué en catimini. Notamment celui de la reprise automatique du droit européen qui nous mettra définitivement sous la tutelle politique et économique de la commission européenne.
Comme nous le voyons actuellement avec la création de ces mouvements pro-adhésion à l’UE – du type révolution démocratique… – nous ne pourrons jamais appliquer le contrôle de l’immigration de masse, principalement européenne, parce que ceux qui ont le pouvoir ne le veulent pas.
La Suisse, son territoire, ses infrastructures et ses richesses doivent appartenir à l’UE coûte que coûte comme expliqué dans cet article. Et sa démocratie semi-directe, qui fait tache dans cette UE totalitaire, doit disparaître. Point final!
Préparez-vous! Ce sera bientôt 200 000 personnes par année qui viendront chercher leur salut économique ici. Et comme il est impossible pour les infrastructures d’absorber aussi rapidement une telle immigration de masse, le modèle suisse implosera parce que devenu ingérable.
La Banque nationale suisse est elle en route vers l’adoption de l’euro?
Partie 1. Par Liliane Held-Khawam
Extrait:
“La politique monétaire de la Banque nationale suisse (BNS) inquiète de plus en plus de monde. Son bilan met son indépendance et son avenir immédiat en danger. De plus, elle devrait être soumise selon la Constitution à la Confédération mais dans les faits, elle n’est auditée que par une entreprise américaine privée qu’elle paie elle-même.
Cette inquiétude légitime côté suisse prend un autre sens lorsque l’on se place à la BCE à Francfort. On pourrait dire que la BNS est depuis 2011 le lieutenant de la banque centrale européenne. Son bilan reflète cet attachement qui pour l’instant semble plus idéologique que monétariste. Près de 50% du bilan est en euros et chargé de dettes européennes. Chaque fois qu’un pays de la zone euro voit sa note se dégrader, le bilan de la BNS se dégrade automatiquement avec elle. Si la BNS détient par ex. 50 milliards de dettes françaises qui passent de AAA à AA-, la structure du bilan change. Si on ajoutait une dette de 10 milliards finlandaises qui passe de AAA à AA+, le bilan de la BNS est touché. ETC.Or, l’économie de la zone euro est toujours engluée avec des risques évidents de défauts de paiements qui ne manqueraient pas d’impacter le bilan de la BNS et le porte-monnaie du contribuable suisse.
Donc, la question qui se pose est que va faire la BNS avec tous ces euros et ces dettes européennes dont certaines sont clairement pourries? De plus, elle va poursuivre dans un avenir proche son soutien à la BCE qui a annoncé la mise à disposition de 1000 milliards d’euros pour relancer l’économie. Une réponse expliquerait à elle seule ce comportement aberrant : la BNS va adopter l’euro et joindre officiellement la zone euro.
Cela nous ramène à l’histoire de l’adhésion de la Suisse à l’UE voulue par les élites au grand dam du peuple. Il est impossible de comprendre la stratégie de la BNS et autre FINMA sans mettre en perspective ce psychodrame qui se joue depuis 1992 entre le peuple et ses dirigeants. Ron Paul, influent politicien américain, résumait la chose de la manière suivante: « (…) Tout comme les États-Unis et l’UE, la Suisse au niveau fédéral est dirigée par un groupe d’élites qui est plus préoccupé par son propre statut, sa réputation internationale que du bien-être du pays… » (1)
La Suisse est certes un petit pays mais dont les avantages comparatifs sont excessivement importants voire indispensables à la construction de l’Union européenne. Rappelons à ce stade que la Suisse est championne de compétitivité dotée d’une économie et technologie de pointe. A ceci s’ajoute une position géographique stratégique soutenue par une infrastructure routière, autoroutière, fluviale et ferroviaire centrale et indispensable au projet européen. Cet inventaire sommaire de ses atouts ne doit pas omettre le véritable trésor helvétique qu’est sa réserve d’eau, qui représente 8% de l’eau potable du continent européen… Enfin, au milieu de cette richesse industriels et naturels se trouvait dans les années 2000 une banque centrale forte, dotée d’une monnaie de référence internationale et riche d’environ 2’500 tonnes d’or.
Mais voilà, Une adhésion silencieuse est en cours depuis la votation en 1992. Les dirigeants successifs ont signé plus d’une centaine d’accords de toute sorte avec Bruxelles. Ce faisant, ils lui ont transféré toujours plus de souveraineté mettant le droit communautaire en primauté par rapport au droit suisse dans les domaines abordés (2). C’est dans ce contexte global que la problématique de la BNS (sa politique et son bilan) et de l’avenir du franc suisse doit être étudiée.
Il est important de rappeler à ce stade que l’Union européenne est une union douanière soumise au marché unique dont l’objectif ultime est le suivant: la fusion de tous ses Etats-membres en un vaste marché unique appelé le « marché intérieur » réparti en régions (NUTS). Celui-ci est défini par les 4 libertés: la libre circulation des marchandises, des capitaux, des services et des personnes qui sont en priorités les personnes morales (entreprises) et les travailleurs. Ce marché unique est doté d’une banque centrale unique (la BCE) et d’une monnaie unique (l’euro).”
La suite:
http://leblogalupus.com/2014/10/14/la-banque-nationale-suisse-est-elle-en-route-vers-ladoption-de-leuro-partie-1-par-liliane-held-khawam/