(...)
Mercredi, Mr. Le commissaire européen, irrité par des questions insistantes d’un journaliste animateur d’un talk-show où il était invité, a fait une gaffe. Pressé de questions sur certains aspects “émotionnels” de son discours de juillet et notamment ce point où il avait décrit hypothétiquement les futures victimes terrorisées et désespérées se disant adieu alors que l’avion allait vers sa tragique destinée, Mr. le Commissaire européen fut irrité et répondit, guidé par cette humeur un peu leste, en dévoilant un détail qui ne figure évidemment pas dans le rapport impartial et antirusse rédigé par les Hollandais à propos du MH17. Le présentateur lui demandait comment il avait pu évoquer cette scène émouvante des victimes dans leurs derniers instants et sachant le sort qui les attendait, alors que le MH17 a été détruit comme on le sait puisqu'on le dit officiellement, quasi-instantanément à l'impact ; vraiment irrité, et on le comprend, Mr. le Commissaire répondit en clouant le bec à l’autre, en lui demandant comment il expliquait qu’on avait retrouvé des preuves que l’un ou l’autre passager portait un de ces masques à oxygène que l’équipage demande aux passagers de porter en cas d’urgence, ce qui impliquait effectivement du temps entre la connaissance du drame imminent et l’accomplissement du drame. L’argument est péremptoire, mais il révèle ce qu’on nomme un pot-aux-roses, – ou aux-tulipes en l’occurrence. Si l’avion a été détruit par un missile (selon le rapport : «“high-energy objects from outside the aircraft” struck the airplane as it flew at an altitude of 33,000 feet, suggesting it had been struck by a missile»), personne ne pouvait savoir que l’avion allait être détruit avant qu’il le soit quasi-instantanément, ce qui exclut que les passagers aient pu échanger leurs terribles dernières impressions après avoir, pour certains, effectué le geste mesuré et complexe de se saisir d'un masque à oxygène ... Alors, on en serait plutôt conduit à examiner la version, par ailleurs substantivée par divers constats dont le rapport officiel ne s’est guère embarrassé, que le MH17 aurait pu fort bien avoir été attaqué et abattu par un ou deux avions de combat, qui ne pouvaient être qu’ukrainiens, – et là, effectivement, l’équipage et les passagers avaient le temps de réaliser ce qui les attendait...
(...)
@Pierre-Henri Reymond
“Sans que l’on entende le moindre soupir de Bruxelles, de la Haye et de l’armada des parangons de justice!”
—
Ils sont tous dans le coup ou au moins ils savent. Je crois que nous, citoyens, devons avoir une vision plus large des évènements. Voir de plus haut, au dessus de la mêlée.
Cette information repartira-t-elle comme elle est arrivée, sur la pointe des pieds? Sas que l’on entende le moindre soupir de Bruxelles, de la Haye et de l’armada des parangons de justice!
C’est une chance que nous ayons Internet aujourd’hui !!! Autrement, si l’on en était qu’aux news officielles, il y a déjà longtemps que nous serions totalement lobotomisés et soumis comme dans le film THX 1138
La vérité ne pourra être éternellement enfermée . Car la vérité nous rend libre.