Sixième jour d’audience au procès du gérant de fortune genevois accusé d’avoir fomenté l’assassinat de sa riche épouse avec trois comparses kosovars. Où il est question de portique, de bonté naturelle et d’addiction téléphonique
A l’extérieur, les mesures de sécurité se sont renforcées pour ce procès au casting original. La semaine passée, rien. Pas un seul contrôle à l’entrée. Hier, un portique a été installé pour détecter d’éventuels objets dangereux. Un dispositif «light». Aujourd’hui, les «spectateurs» doivent vider leurs poches. Ça se corse. Signe qu’une menace de règlements de comptes plane. Ce n’est pas vraiment étonnant avec quatre versions divergentes, des Kosovars en pétard et, peut-être, des peines massues à la clé.
Et vous, qu'en pensez vous ?