Nous y revoici déjà. Ce samedi 4 octobre, des dizaines de millions d’agneaux vont être égorgés à la mode halal. La tête tournée vers La Mecque. Les deux millions de pèlerins qui s’y trouvent doivent aussi mettre ou faire mettre à mort un agneau. Dans les pays musulmans, d’innombrables jeunes garçons s’initieront à l’art du coupe-gorge.
Au XXIe siècle, la persistance de ce rite est stupéfiante.
C’est la Fête du Sacrifice? On sacrifie! Selon des règles religieuses séculaires. Ce jour commémore l’épisode biblique dans lequel Dieu demanda à Ibrahim (Abraham pour les juifs et les chrétiens) d’immoler son fils Ismaël (Isaac pour les juifs et les chrétiens). Ibrahim s’apprêtait à l’égorger lorsque Dieu remplaça la victime humaine par un bélier. Et le germe de la Fête du mouton se profila.
Des rivières de sang coulent durant les festivités de l’Aïd.
Les jeunes garçons des pays islamiques sont invités ce jour-là à apprendre ou inaugurer cet art de l’égorgement, car selon la tradition, c’est le chef de famille qui est censé tuer le mouton. Or, il existe un lien indubitable entre cet apprentissage et son application sur les mécréants et autres apostats par les égorgeurs jihadistes. De plus, le Coran d’il y a 1200 ans ne connaissant pas la kalachnikov, c’est la décapitation qui est entre autres prescrite. Et les musulmans ne connaissant pas l’exégèse, ils continuent à décapiter… kalachnikov en bandoulière.
Dans nos sociétés, France en tête, ce mode de tuer a enrichi la palette de la criminalité.
Cette fête de la douleur animale remet en lumière le mode cruel de l’abattage religieux. Or, la souffrance des bêtes est de moins en moins tolérée en Occident. L’on sait que l’égorgement sans étourdissement est beaucoup plus douloureux pour elles, raison pour laquelle plusieurs pays l’ont interdit (mais pas l’importation). Il est probable que cette interdiction se généralisera dans un avenir assez proche.
L’avenir de cette fête sanglante, et du halal en général, sont aussi compromis par les dangers sanitaires.Les abattoirs temporaires aimablement mis au service des sacrificateurs en sont l’exemple le plus frappant. Mais plus généralement, l’abattage rituel comprend un risque de contamination par Escherichia coli, une bactérie responsable d’insuffisance rénale chez les enfants. En France, depuis la fin des années 90, plusieurs organismes officiels ont tiré le signal d’alarme: la Cour des comptes, la Direction générale de l’alimentation, l’Office alimentaire et vétérinaire européen. Sans résultat… pour l’instant.
Abdelwahabb Meddeb :
«Je rêve d’un dépassement de ce rite consenti au sang versé et à la chair dépecée (…) Car je suis sûr que celui qui continue de sacrifier ne peut évoluer. (…) Déjà lorsque j’étais enfant, je vivais le cauchemar de ma propre identification au bélier lorsque le couteau aiguisé lui tranchait la gorge. Comment ne pas penser que ce cérémonial autour du sang versé incline au geste qui coupe le cou de l’homme?»
«Sortir de la malédiction, L’Islam entre civilisation et barbarie», p.128-129
Mireille Vallette, 3 octobre 2014
Valette est monomaniaque et malhonnête. Si elle était cohérente elle dénoncerait également l’abattage rituel juif qui fournit de la viande cachère : La shehita (hébreu : שְׁחִיטָה « occision ») est le rite juif d’abattage par jugulation qui rend les animaux (bétail, gibier et volaille) purs propres à la consommation alimentaire et, anciennement, à être offerts devant Dieu. Les poissons et insectes autorisés à la consommation en sont exemptés.
L’acte est accompli par un shohet, spécialiste dûment autorisé et formé aux lois de la shehita. Il coupe, au moyen d’un couteau particulier, la trachée, l’œsophage, les artères carotides et les veines jugulaires ; la bête abattue est suspendue la tête en bas de façon à ce qu’elle se vide de son sang.
Quand j’ai vu le film “2001, l’Odyssée de l’Espace” qu’on nous a projeté à l’école secondaire en (sauf erreur) 1969, j’étais loin de m’imaginer que l’humanité “évoluerait” dans le sens que l’on voit actuellement.
@Faneco, votre commentaire est à vomir.
Comment ne pas penser que ce cérémonial autour du sang versé incline au geste qui coupe le cou de l’homme?
Allez chercher un peu dans nos cultures dites occidentales et vous trouverez des similitudes entre l’abat d’un animal ou simplement des jeux ancestraux avec des animaux que vous pouvez comparer à ce que fait l’homme de si odieux comme ce que ce qu’il fait dans ces pays arabiques. Pensons à l’inquisition, aux sourcières brulées vives, à l’extermination nazie, la guerre civile espagnole, à l’extermination aux Balkans… en fait, qui sommes nous ? Qui sommes nous pour fermer les yeux lors des corridas espagnoles, portugaises et mexicaines où sur la place publique on tue des animaux pour le simple plaisir, en fait qui sommes nous, pour avoir le pouvoir de juger les autres sans auto-jugement de tout ce qu’on fait. Il faut rappeler que dans certains pays du sud, on tue le cochon de la même manière qu’on tue le mouton chez les arabes, est-ce que vous regardez, exclusivement et seulement ce qui a à voir avec la Mecque. Le reste du monde n’existe pas ? Regardez ce qu’on fait en Chine avec les chiens, ont les abat sur la place publique après les avoir plongé dans l’eau bouillante pour que la viande soit plus tendre et on les tue seulement après; en Islande la tuerie annuelle des dauphins fait en sorte que les eaux des plages du nord sont rouges avec un tel massacre; est-ce que on ne peut pas comparer tous ces actes immondes et contraires à des gens dits civilisés à ce que font les arabes avec leurs moutons ? Mais il a encore Pâques là se sont les chrétiens comme vous et moi qui s’attaque aux moutons et aux cabris…. il faut luter contre tout cela bien sur, mais ce qu’il ne faut pas faire (à mon avis) c’est pour chaque chose méchante la comparer et l’ajuster à tout un peuple jugé de façon abrupte coupable par des erreurs graves de quelques terroristes, surtout si on tiens compte de ce que quelques uns des ces terroristes sont nos enfants, enfants de cette vielle Europe que par ces rituels et coutumes n’a pas de morale suffisamment forte pour, en toute légèreté, juger les autres.
Faneco / 2014
Le lien entre l’islam et le mode d’exécution des otages ne fait aucun doute.
Pourtant la RTS, comme à son habitude, s’était empressée de prendre la défense de l’ islam en rapprochant décapitation et chrétienté!
C’est ici:
http://www.rts.ch/la-1ere/programmes/juste-ciel/6097876-la-decapitation-et-sa-manipulation-a-des-fins-de-terreur-04-09-2014.html