La Suisse veut donner 120 millions pour reconstruire Gaza

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La Suisse envisage de placer 120 millions de francs en quatre ans dans la reconstruction de la bande de Gaza. Mais elle réclame des garanties de toutes les parties, aussi bien d'Israël que du Hamas.

topelement

Berne a déjà accordé depuis juillet une aide d'urgence de 4'250'000 francs aux populations de l'enclave palestinienne.

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8 commentaires

  1. Posté par Leb le

    « ……….Le Hamas a repris la fabrication de roquettes à Gaza, révèle le chef du de la Défense aérienne de l’armée de l’air israélienne.
    « Les lignes de production sont en cours d’exécution à nouveau, mais le contrôle de ce qui se passe à Gaza est plus hermétique, c’est donc plus difficile pour eux, » a déclaré Shachar Shohat au Times of Israel.
    Il a expliqué que la capacité interne des groupes terroristes à construire des roquettes sera également déterminée par la mesure dans laquelle ils détournent des matériaux de constructions pour leur machine de guerre………… »
    http://fr.timesofisrael.com/le-hamas-a-repris-la-fabrication-de-roquettes-a-gaza/
    DAVID HOROVITZ 5 octobre 2014, 20

  2. Posté par Leb le

    La double face de « l’Autorité palestinienne » qui ennoblit les meurtriers des trois adolescents israéliens !, par Claude Salomon LAGRANGE.
    oct 01, 20145
    Nous apprenons que « l’Autorité palestinienne », donc Mahmoud Abbas, a décidé d’élever les deux ravisseurs assassins au statut de « martyr » qui est le rang le plus élevé dans l’islam et indique « le plus haut niveau de la récompense céleste dans l’islam », en même qu’il délégitime l’élimination par Israël de ces deux barbares en la qualifiant de « violation grave du droit international ».
    Pour rappel, des membres du Hamas avaient kidnappé, puis lâchement massacré le 12 juin 2014, trois adolescents : Eyal Yifrach, Gilad Shaar et Naftali Frenkel.
    Ce n’est qu’après des semaines de recherches d’une opération nommée « Gardiens de nos frères » menée par l’armée israélienne, que les corps des trois adolescents furent retrouvés en Judée-Samarie, non loin de Hébron, territoire sous administration de « l’Autorité palestinienne ».
    Après des mois d’actives recherches, deux des ravisseurs assassins – Marwan Qawasmeh et Amer Saadi Abu Aisha -, membres du Hamas, furent éliminés durant la nuit à Hébron après qu’ils eurent refusé de se rendre et après avoir tiré sur les forces de l’ordre israéliennes.
    Que tels actes soient commis par les nazislamistes du Hamas, il n’y a là rien de surprenant. Nous y sommes habitués, du moins pour ceux qui ont les yeux et la conscience ouvertes. C’est la nature et la raison d’être de ce groupe terroriste : Tuer des Juifs !
    Ce massacre a d’abord été revendiqué par Hamas depuis la Turquie il y a quelques semaines, tout comme récemment le bureau politique du Hamas dirigé par Khaled Mashaal admis à « Yahoo Nouvelles » que ces meurtres ont été effectivement réalisées par les terroristes de cette organisation.
    Il suffit de consulter la charte du Hamas pour y lire que l’objectif de cette organisation Hamas est de « mener le jihad contre Israël jusqu’à sa destruction » ; « d’expulser et/ou d’assassiner les Juifs » qui sont comparés à « des singes ou des porcs ».
    Pour le mouvement nazislamiste, « Israël existe et continuera d’exister jusqu’à ce que l’islam l’efface, tout comme il a effacé d’autres (nations, ndlr, comme nous le voyons à l’œuvre présentement en Syrie et en Irak contre les Chrétiens, les Êzidî, les Kurdes, les femmes, etc. Les Juifs ayant déjà été « épurés » ethniquement de ces régions, la question pour eux ne se posent plus) avant lui » et il considère que « le conflit avec Israël comme une lutte religieuse et que « Le Mouvement de la Résistance islamique puise sa ligne directrice de l’islam ».
    On peut reconnaître au Hamas, comme au Jihad islamique à Gaza, un rôle de précurseur dans l’exercice du Jihad conquérant et éradicateur qui prolifère sous nos yeux, comme celui que conduit actuellement « l’Etat islamique » (ou disons « Daech », pour faire plaisir à Laurent Fabius, Ministre français étranger à la logique génocidaire de l’islam) en Irak et en Syrie.
    Mais que dire alors de « l’Autorité palestinienne » conduite par Mahmoud Abbas ?
    Nous apprenons que « l’Autorité palestinienne », donc Mahmoud Abbas, a décidé d’élever les deux ravisseurs assassins au statut de « martyr » (« shahids ») qui est le rang le plus élevé dans l’islam et indique « le plus haut niveau de la récompense céleste dans l’islam », en même qu’il délégitime l’élimination par Israël de ces deux barbares en la qualifiant de « violation grave du droit international ».
    Le ministre des Affaires religieuses de « l’Autorité palestinienne », Yusuf Ida’is, désigne également les assassins des trois jeunes juifs des « ‘’martyrs’’ qui (selon lui) ont été ‘’ assassinés’’ par Israël. »
    Quant au ministre des Affaires religieuses de l’AP, Mahmoud Al-Habbash, « après la prophétie et la justice, il n’existe pas de statut plus élevé que la « shahada » (martyr). »
    Car pour les arabo-islamistes, assassiner des Juifs correspond dans leur logique à l’exercice d’un « droit international » !
    Peut-être même qu’en France ou ailleurs, il se trouvera encore des municipalités de gauche mal inspirées qui élèveront ces deux monstres au rang de citoyens « d’honneur », ce qu’ils le font déjà pour Marwan Barghouti et d’autres assassins de Juifs.
    Ainsi, Mahmoud Abbas joue de sa double nature : Il y a le Mahmoud Abbas côté relations internationales, et il y a l’Abou Mazen (de son nom de guerre) qui, côté obscur, agit comme un digne successeur d’Arafat en cela qu’il excelle comme personnage mystificateur.
    Selon les circonstances, Mahmoud Abbas est au service du terroriste Abou Mazen, et inversement Abou Mazen est à disposition du politicien Mahmoud Abbas.
    Mahmoud Abbas réussit ainsi à être trompeur en jouant de son personnage double, n’ignorant aucun aspect de sa double nature, sachant tromper et manipuler ceux qui consentent à être abusés et qui, à force prendre langue avec lui, finissent par intégrer son propre discours et ses objectifs, allant jusqu’à le considérer comme un « interlocuteur pour la paix » !
    Mais alors, l’OLP (« l’Organisation de libération de la ‘’Palestine’’), dont sa branche le Fatah (signifie en arabe « Mouvement de Libération de la ‘’Palestine’’ ») qui est membre de plein droit de l’Internationale socialiste (sans rire !) et le Hamas, c’est donc kif-kif bourricot ?
    Non, pas tout-à-fait.
    Ils ont certes en commun un goût prononcé pour le népotisme, le rejet de la démocratie, un tendance hypertrophiée pour la corruption, un non-respect atavique des minorités quand ils ne les persécutent pas, etc.
    Mais ils ont quand même une différence qui les opposent continuellement sur la méthode et sur la stratégie pour mener un objectif commun qui est la lutte finale contre Israël, jusqu’à sa destruction, l’expulsion ou l’épuration des Juifs vivant sur leur terre.
    C’est pourquoi le dernier discours de Benyamin Netanyahou tenu à l’ONU le 29 septembre 2014 prend un relief particulier, quand il pointe le fait que certains des mêmes pays qui soutiennent aujourd’hui la lutte contre l’État islamique s’opposent à Israël.
    Israël qui lutte contre le Hamas et le Jihad islamique et qui se méfie comme de la peste de son double complémentaire qu’est l’OLP.
    On n’ose pas imaginer ce qui se serait alors produit lors de la dernière guerre contre les organisations terroristes à Gaza en juillet dernier si, dans l’hypothèse où la Judée et la Samarie avait été abandonnées comme le préconise, tant les nations que des tendances suicidaires à l’œuvre en Israël même, l’OLP d’Abbou Mazen avait disposé du même arsenal.
    Mais voilà, vérité en deçà des certitudes des nations, et refus de voir, d’entendre et de concevoir au-delà de ce qu’énonce Israël.
    Même si l’Europe et l’Occident commencent, peut-être trop tardivement, à prendre la mesure d’un danger qu’ils ont contribué à minimiser, à alimenter au Proche et au Moyen-Orient, voire sur leurs propres territoires.
    D’Israël, Claude Salomon LAGRANGE pour Europe-Israël

  3. Posté par Pascal le

    Et pendant ce temps-là, on apprend que chaque habitant de la Suisse (quid des requérants d’asile ?) devra payer, dès le 1er janvier 2016, Fr. 9.00/an pour dépolluer l’eau. Soit pour 8.1 millions d’habitant, la coquette somme de Fr. 72’900’000.00.

    Plutôt que de faire payer le moutontribuable helvétique, on pourrait éviter de gaspiller ces 120 millions à Gaza et les utiliser pour la dépollution de l’eau.

  4. Posté par Leb le

    Quand le contribuable européen paie le salaire du terroriste palestinien
    Voici déjà plus de dix ans que l’Autorité palestinienne a entériné la loi concernant les prisonniers,
    et consacre depuis une partie très conséquente de son budget à payer un salaire mensuel à des terroristes avérés.
    Une décision du cabinet sécuritaire israélien tente de mettre fin au scandale.
    Le meurtre de Juifs et le kidnapping d’enfants semblent être un emploi privilégié au sein de l’Autorité palestinienne. C’est à cette conclusion que l’on est forcé d’aboutir lorsqu’on prend connaissance des salaires incroyables versés par l’A.P. aux terroristes palestiniens enfermés dans les prisons israéliennes (voir tableau).
    L’administration dirigée par Mahmoud Abbas consacre en effet plus de 6 % de son budget à l’octroi d’allocations versées aux terroristes et à leurs familles, considérés comme des « héros » par la rue palestinienne. Pour rappel : les finances de l’A.P. sont bien mal en point et elle ne survit que grâce aux aides versées généreusement par les pays de l’Union européenne et les États-Unis.
    Selon la loi des prisonniers et des prisonniers libérés entérinée en 2003 par le cabinet palestinien, tout Palestinien ou Arabe israélien purgeant une peine de prison suite à son implication dans la « lutte contre l’occupation » a droit à un salaire. Si, en 2003, ces salaires s’élevaient à 4 000 shekels au maximum, un amendement a été voté en 2013, triplant parfois cette rémunération. Ainsi, un terroriste emprisonné depuis moins de cinq ans en Israël reçoit désormais une paye de 2 000 shekels, l’équivalent du salaire moyen palestinien. Un autre qui, suite à l’assassinat d’Israéliens, se trouverait en prison depuis plus de trente ans, reçoit chaque mois 12 000 shekels de la part de l’Autorité palestinienne.
    L’A.P. n’établit pas de distinction quant à la gravité des actes perpétrés par les terroristes, ni à leur appartenance à telle ou telle organisation : Fatah, Hamas, Djihad islamique, FPLP, tous ont droit aux faveurs d’une administration au bord de la faillite.
    versée par des pays comme les États-Unis, la France, la Grande-Bretagne, l’Irlande, la Norvège, le Japon, l’Inde et la Banque mondiale qui constitue la source de financement de ces salaires. Lorsqu’en 2013, la Norvège et la Grande-Bretagne ont demandé des éclaircissements quant à la destination de leur aide financière, l’A.P a décidé de procéder à une modification de sa terminologie, les « salaires » devenant désormais des « aides ». Cette modification a immédiatement entraîné une vague de protestation parmi les organisations de soutien aux prisonniers, qui considéraient comme « humiliant » le fait que les terroristes reçoivent une allocation et non un salaire pour leurs hauts faits. Le ministre palestinien chargé du dossier des prisonniers a donc très vite publié un éclaircissement selon lequel il ne s’agissait là que d’un changement « cosmétique ».
    Au début du mois de juin de cette année, l’AP a procédé à un nouveau changement cosmétique puisque désormais, ce n’est plus elle qui verse directement les salaires, mais le Fatah. L’argent européen a donc été contraint d’utiliser une route de contournement, mais le résultat est le même : jusqu’à aujourd’hui, les chancelleries européennes continuent de payer indirectement des émoluments à des terroristes ayant trempé dans des attentats ayant coûté la vie à de très nombreux Israéliens.
    Le 25 juin, le ministre de l’Économie, Naftali Bennett (Bayit Hayéhoudi), a annoncé que cet état de fait, toléré depuis plus d’une décennie par l’Europe, mais aussi par Israël, devait prendre fin et, dès le lendemain, le cabinet sécuritaire a décidé de trouver une solution acceptable du point de vue juridique. Une des démarches envisagées consisterait à retirer 44 millions (la somme dépensée chaque mois par l’A.P. pour payer ces « salaires ») des impôts transmis par Israël aux Palestiniens.
    « Par cet argent versé aux terroristes palestiniens, Mahmoud Abbas encourage de facto le terrorisme : celui qui finance le terrorisme est lui-même un terroriste », a déclaré Bennett, qui a ajouté que les prisonniers continuaient de recevoir une pension après leur libération : « Ziyad Awad, qui a été libéré lors de la transaction Shalit, puis assassiné Barouh Mizrahi, recevait un salaire de l’AP lors de son séjour en prison. Libéré, il a continué de recevoir une pension en tant que prisonnier libéré. Le meurtre de Barou’h Mizra’hi va le faire retourner en prison, où il va recevoir à nouveau un salaire de l’administration palestinienne… »
    Par Laly Derai, No 09 juillet 2014 http://www.hamodia.fr/article.php?id=5190

    Les tunnels de la terreur financés par l’Union Européenne
    Depuis son arrivée au pouvoir en janvier 2006, le Hamas a lancé plus de 10,000 missiles et ro- quettes sur la population civile d’Israël. Le Hamas, est considéré par le Quartet (Etats-Unis, Russie, G.B. et Union européenne, Australie, Canada, Ja- pon) comme un mouvement terroriste. L’idéologie et les objectifs de ce mouvement sont contenus dans sa charte, adoptée le 18 août 1988. Les buts du Hamas sont la destruction de l’Etat d’Israël et la création d’un Etat islamique en Pales- tine, avec Jérusalem comme capitale. Le Hamas se base entièrement sur l’islam et considère que le territoire palestinien dans son ensemble, ce qui inclut donc l’Etat d’Israël, est une terre islamique. La population de Gaza a voté majoritairement pour le Hamas, ils ont choisi des leaders terroristes et irresponsables. La population civile paie la note du Hamas qu’elle a élu massivement.
    99.9% des gazaouïs approuvent toutes les actions du Hamas, le 0.10% est au cimetière.
    L’UE est le principal bailleur de fonds de l’Autorité palestinienne et fournit chaque année plus de 450 millions de dollars d’aide directe. Sans compter les aides “privées” des Etats et des collectivités et sans compter également les dons faits aux or- ganisations islamiques et arabes qui pullulent en France en faveur des palestiniens.
    L’offensive terrestre décidée par le gouvernement israélien vise à “frapper les tunnels de la terreur allant de Gaza jusqu’en Israël” et protéger ses citoyens.
    A l’origine destinés à la contrebande des marchandises, les tunnels ont très vite été utilisés par les terroristes islamistes pour faire passer des armes de guerre via la frontière avec l’Egypte. En 2013, l’armée égyptienne sous l’égide de Mohamed Morsi, a décidé d’inonder les tunnels de contrebande pour “renforcer la sécurité à la frontière”. Une véritable foutaise de la part des autorités égyptiennes, alors issues comme le Hamas de la confrérie des Frères musulmans.
    Avec donc l’argent des contribuables européens, le Hamas a pu construire de nombreux tunnels re- liant la bande de Gaza à Israël. L’objectif était de déjouer les systèmes de surveillance israéliens pour infiltrer des terroristes en vue de commettre des attentats dans des localités et prendre des otages Israéliens. Plusieurs tunnels pénétraient “de plusieurs centaines de mètres en territoire israélien” construits pour mener des “attaques terroristes”.
    Les tunnels étaient construits avec des dalles de béton et à une profondeur de 5 à 10 mètres.
    Le réseau souterrain du Hamas est très sophistiqué, très bien entretenu, il relie des ateliers de construction de missiles et roquettes, des rampes de lancement et des postes de commandement. Plus de 600.000 tonnes de béton et de fer qui auraient pu servir à construire des écoles, des routes, des hôpitaux ont servi au Hamas à construire des tunnels en dessous des écoles, mosquées et Hôpitaux et en territoire Israélien.
    Pendant que des millions d’Européens vivent dans la misère, l’UE préfère financer les tunnels du terrorisme palestinien…/…Jean Vercors http://www.radiofutee.com/product/gaza-les-tunnels-de-la-terreur-finances-par-lunion-europeenne/

  5. Posté par Pierre H. le

    Tout ça pour ne pas se faire égorger quand ils seront supérieurs en nombre chez nous? On voit que nos “élites” n’ont toujours rien compris à l’islam ! Ou pire encore ! Ils ont compris mais sont eux-mêmes payés pour fermer les yeux. Nous avons très probablement, nous le peuple, été vendus.

  6. Posté par Aude le

    Tiens donc…et les millions sinon milliards engrangés par Gaza et dont l’ONU est très très généreux donateur depuis des années. La Suisse ne fait-elle pas partie de l’ONU? Pourquoi en rajouter?

  7. Posté par Philippe le

    Faut-il aider nos seniors les plus pauvres après un dur labeur pour le bien de notre pays….non non non… mieux vaut jouer sur la scène internationale les grand donateurs….faut dire…on est forcément coupable d’être plus riche (pour combien de temps encore).Donc allons bosser et pas d’inquiétude…on s’occupe de nous.

  8. Posté par Pierre H. le

    Il faut cesser de payer nos impôts !!!

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