L’hôtel Modena, situé sur le bord de mer (nord) de Termoli, se prépare à accueillir 116 clandestins qui arriveront dans la petite ville d'ici quelques jours.
L'auberge, propriété de la famille Ribuoli, a été confiée à une société qui travaille avec le Gouvernement et les Préfectures dans le business de l'immigration et qui, en utilisant l'argent public, fournit le gîte et le couvert aux clandestins qui débarquent en Italie et se prétendent tous "réfugiés" pour pouvoir rester en Italie.
Cet hôtel historique, est situé face à la plage et, comme il est spécifié sur son site internet, possède "des chambres dotées de tout le confort (salle de bain privée avec douche, air climatisé, TV, téléphone). Il réunit toutes les conditions pour offrir un séjour formidable à nos hôtes".
La titulaire de la structure, Antonella Ribuoli, a expliqué que, à la base, cette décision dépend exclusivement de sa situation économique : des impôts trop élevés et la diminution du nombre de touristes ont eu raison de la gestion de l'hôtel; c'est pour cette raison qu'elle a décidé de confier l'auberge à cette société qui vient de prendre possession de la structure. Elle est en train de finaliser les préparatifs en attendant l'arrivée des migrants.
Les hôtes qui seront logés dans cet auberge sont principalement Nigérians et Sénégalais, des clandestins qui, de toute évidence, ne viennent pas de nations en guerre.
Mais on ne refuse à personne la qualité de réfugié puisque le business créé autour du phénomène est très lucratif.
La responsable de la société qui a converti son hôtel de de vacance en structure d'accueil pour réfugiés et qui gère aussi 4 autres structures (celle de Temoli comprise). Celle-ci n'a aucun doute sur la question :"Il ne faut pas faire les hypocrites. C'est une façon de combattre la grande crise qui pèse sur le secteur hôtelier." (...)
L'objectif de Mare Nostrum est désormais devenu très clair aux yeux de tous : on fait venir en Italie des clandestins pour satisfaire les exigences des aubergistes en crise. Tout cela se passe en utilisant l'argent public et en soustrayant des ressources à la collectivité pour enrichir des privés. Cela est très grave.
Source en italien (trad. pour lesobservateurs.ch par D. Borer)
Le président Italien qui veut tout change en une année va avoir du boulot sur la planche surtout quand on sait de nombreux Italiens victimes d’un séisme qui vivent encore sous tentes ou dans des baraquements aussi avant d’accueillir des migrants on commence par faire de l’ordre chez soi sinon c’est les anarchistes qui réclameront ou Berlusconi ou la fermeture complète des frontières