Quelque 8200 frontaliers autrichiens travaillent en Suisse. Les conséquences de l'initiative sur l’immigration de masse inquiètent le ministre autrichien du travail.
Introduire des contingents pour les frontaliers autrichiens n'est pas dans l'intérêt de la Suisse, estime le ministre autrichien du travail Rudolf Hundstorfer. Si la Suisse limitait le nombre de travailleurs étrangers, cela poserait vraiment des problèmes à l'Autriche, selon lui.
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Je crois que M Faneco n’est pas au courant que le secret bancaire est mort. Ceci dit, votre plaidoyer pour la libre circulation laisse songeur. Je ne suis pas sûr que vous en ayez saisi l’esprit puisque le oui du 9.2. ne se limite pas à des considérations économiques mais bien à l’excédent migratoire qui sature le pays. De ne pas mettre l’économie au permier plan est un choix.
“n’est pas dans l’intérêt de la Suisse, estime le ministre autrichien du travail Rudolf Hundstorfer. Si la Suisse limitait le nombre de travailleurs étrangers, cela poserait vraiment des problèmes à l’Autriche, selon lui.” C’est donc plutôt les intérêts autrichiens qu’il défend, on non ceux de la Suisse. Mais en tournant la phrase de cette manière, on peut tout dire sans dire ce qu’on veut dire.
Les Frontaliers ainsi que la massa migratoire est nécessaire en Suisse, les postes disponibles restent vacantes sans cette main d’oeuvre étrangère.
C’est un fausse débat vouloir faire croire qui ces travailleurs prennent le travail des suisses.
La Suisse malgré sont état de jouissance vis à vis de l’Europe soit dans les exportations que des importations avec des pays voisins (Tous dans l’Europe) est sans doute à l’avantage de notre pays, les contingents serais une erreur, qui détermine s’il y a du travail ou non ce sont les employeurs et ce ceux-ci respectent les lois du travail en place, soit par le nombre d’heures soit par le respect des salaires pratiqués en Suisse, personne n’a rien na craindre, car la différence se fera par la compétence de toute un chacun.
Obligés des patron à avoir un cota de travailleurs suisses et vice-versa des étrangers cela ne apportera rien à personne ni non plus à l’économie.
Si les accords bilatéraux sont respectés, la Suisse va vers un avenir conjoint à nos voisins européens dans le cas contraire, si des pays très proches de la Suisse comme l’Autriche, l’Allemagne et la France et l’Italie se mettent d’accord sur la libre circulation des biens et des personnes, la Suisse est vraiment dans un embarras du jamais vu.
Il faut rappeler qui ce qui maintien encore la discussion et la tolerance des ces pays en vers la Suisse c’est bien la plateforme financière et le secret bancaire suisse que permet aux messieurs de l’Europe de placer sont argent sans devoir indiquer la provenance. Mais le jour que cela ne sera plus possible la Suisse en soufrera des énormes conséquences.
J. Faneco/ 2014