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Les gouvernements français, depuis trois décennies, ont régulièrement accru la dépense d’État sous formes diverses, dont le “social”, et l’ont financée par la dette. Celle-ci ayant atteint aujourd’hui un niveau colossal, les socialistes (et avant eux Sarkozy en fin de mandat) ont imaginé de la réduire… sans réduire proportionnellement la dépense d’État. La solution de facilité était donc : l’impôt, au delà de toute mesure, c’est à dire la spoliation. Ainsi, depuis mai 2012, le canon fiscal tire-t-il sur tout ce qui bouge. Mais comme le montre l’expérience, trop d’impôt tuant l’impôt, la gêne économique a réduit les rentrées fiscales. Alors les socialistes s’ingénient à trouver encore et toujours plus d’impôts et de taxes. Nous mesurons aujourd’hui les effet destructeurs de la spoliation d’État : plus de réserves de capital, plus d’investissements, donc un chômage grandissant et ipso facto un nouvel appel à la dépense étatique et par conséquent à l’impôt. C’est la spirale infernale.
Économiquement, c’est ruineux. Moralement, la spoliation est plus que condamnable, en cela qu’elle porte atteinte aux personnes, et ceux qui en sont responsables devraient être châtiés. Mais jamais l’on ne demande aux gouvernants de rendre des comptes ; au pire les scrutins les envoient dans une retraite confortable. Cela aussi, n’est pas moral.