Où François Cherix parle de Goebbels dans un article sur les Jeunes UDC !

L'Hebdo nouveau est arrivé

francois-cherixExtraits de l'article de François Cherix (parti socialiste) :

Le climat totalitaire dans laquelle s’enfonce doucement la Suisse commence à faire froid dans le dos. Au plan politique, la radicalisation blochérienne ne connaît plus de limite, ni de contre-attaque. Au plan sociétal, les stigmatisations nauséeuses se succèdent, sans révolter les consciences.

(...) la jeunesse de l’UDC suisse a mis en ligne un site permettant aux élèves de dénoncer les enseignants « gauchistes ».

(...)

C’est cette connivence immédiate avec le manipulateur, cette validation automatique de son inquisition qui fait froid dans le dos.

Expliquant son travail abominable, Goebbels a montré de manière limpide comment l’agression disparaît, aussitôt qu’elle est retournée en défense d’une victime. Si l’Allemagne a dû se débarrasser physiquement des juifs, alors qu’elle aurait eu tellement mieux à faire, c’est que leur oppression devenait intolérable.

(...)

Article complet

 

 

2 commentaires

  1. Posté par G. Vuilliomenet le

    Encore un imposteur de l’antifascisme que Churchill décrivait en ces termes:

    “Les fascistes de demain s’appelleront eux-mêmes antifascistes.”

    Et lorsque nous observons les actualités, c’est bien la gauche pourrie (un euphémisme) qui se montre totalitaire. C’est bien elle qui tente par tous les moyens de faire passer ceux qui n’adhèrent pas à leur dogmes pour des fascistes.

    PETIT RAPPEL:

    Le nazisme est un socialisme national.

    Pour ceux qui ne l’ont pas encore lu, je conseille cet ouvrage, “Le socialisme en chemise brune” de Benoît Malbranque:

    http://ben.lp.free.fr/lesocialismeenchemisebrune/Benoit%20Malbranque%20-%20Le%20Socialisme%20en%20Chemise%20Brune.pdf

  2. Posté par Economico le

    Disons que les profs sont surtout socialistes lorsqu’il s’agit de leurs intérêts. Le social a tendance à prendre un tout autre caractère, lorsqu’il faut s’occuper d’élève plus difficiles. La neutralité est essentielle dans l’enseignement et la ligne rouge est trop fréquemment franchie. Lorsque l’on est un enseignement socialisme, il ne faut pas oublier que l’employeur est avant tout la population Suisse. Il n’y a pas de place dans les salles de classes pour une quelconque propagande politique. D’ailleurs, le système éducatif Suisse n’a rien de socialiste au sens idéologique du terme.

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