Ci-dessous les députés socialistes Salima Moyard et Cyril Mizrahi, respectivement enseignante et avocat
Un couple de députés PS a sollicité la prise en charge des frais de garde de leur bébé. La réponse du bureau du Grand Conseil équivaut à un refus.
Dans la nature on appelle des parasites
Quoi! Ca vous étonne? Mais c’est le crédo des jeunes socialistes! Affiche à l’appui, j’ai la photo sur mon portable. “faites l’amour, nous nous occupons du reste!” Maintenant la démonstration est faite que “nous”, c’est les autres! Love life?
Tout-à-fait Danielle. Il va falloir poutzer tout ça aux Fédérales l’année prochaine.
Quel culot ! Voila ce qu’est devenue la gauche. Lui avocat et elle enseignante à Genève, ils doivent bien gagner AU MINIMUM 15’000 frs /mois !!! Qu’en pensent les ouvriers qui eux travaillent dur, doivent trouver des solutions pour leurs enfants et ont parfois de la peine à nouer les deux bouts ? Qu’en pensent certains retraités qui vivent avec 1000 frs / mois (oui, oui, ça existe). Cette gauche me fais vomir. J’espère que les gens ouvriront les yeux avant de voter pour des individus pareils.
Ca louche…..grave..(vue?) sur le budget de l’Etat… L’URSS c’est du passé …..les cocos… et en Suisse ça n’a jamais existé..Il est temps de mettre des double-foyers
Le culot! Si tu veux un enfant tu t’en occupes, tu mets ta carrière politique de côté ou tu ne fais pas de gosse. Ah cette gauche-caviar: “J’exige mes privilèges!”…
Un socialiste se reconnait à une chose: cela ose tout…
Comment font les couples dont les deux parents travaillent, et dans bien des cas par nécessité ?
Répone : Ils paient eux-mêmes.
Dans le cas de ces deux politiciens, leur “travail” hors heures de bureau est le résultat d’un choix volontaire, qui leur incombent d’assumer.
En résumé (1) – il faut apprendre à faire des choix, et ne pas refiler vos désirs sur le dos des autres.
En résumé (2) – je n’aurai qu’un mot : assistés
Deux belles têtes, bébé va bien il est déjà inscrit au parti et unia est en train de lui tricoter une barbotière rouge. Genève, va mal, on comprend de mieux en mieux.