L'organisation fête son lancement avec Blocher.Fondé en octobre par l'ancien conseiller national UDC zurichois Ulrich Schlüer, le comité "Non à l'adhésion insidieuse à l'UE" a fêté le lancement de ses activités hier soir à Vorderthal (SZ). Pour l'heure, il compte 2300 membres et 77 associations, principalement alémaniques et rattachées à l'UDC. Le comité vient de lancer ses activités en Suisse romande, comme l'indique Claude-Alain Voiblet, vice-président de l'UDC suisse et député vaudois.
Parviendrez-vous à réunir un comité interpartis, comme l'UDC le clame?
Il est vrai que cela s'annonce difficile, car beaucoup de personnes partagent notre analyse, mais subissent des pressions de leur environnement. De plus, de nombreux représentants du PDC et du PLR, en Suisse romande, avancent à visage couvert. Ils se cachent en affirmant
"pour le moment le peuple ne veut pas d'adhésion"
, mais il est clair qu'ils veulent davantage que les bilatérales.Pourquoi ne pas attendre les projets concrets du Conseil fédéral, notamment quant à un accord-cadre avec l'Union européenne?
Il nous faut une structure performante pour lutter contre les projets du Conseil fédéral. C'est un travail de longue haleine et nous voulons anticiper. Nous pouvons compter sur les compétences et sur l'influence de Christoph Blocher, qui a décidé d'y consacrer plus de temps en démissionnant du Parlement. En Suisse romande, nous commençons le travail. Une manifestation pourrait avoir lieu cet automne.
Pourquoi ne pas avoir confié cette campagne à l'Association pour une Suisse indépendante et neutre?
L'ASIN collabore évidemment au nouveau comité, mais c'est une association trop typée, qui se concentre sur certains dossiers, mais dans des combats plus distincts. Nous voulons découvrir d'autres pistes, trouver une nouvelle dynamique.
PROPOS RECUEILLIS PAR ARIANE GIGON, LA LIBERTE
Fondé en octobre par l'ancien conseiller national UDC zurichois Ulrich Schlüer, le comité "Non à l'adhésion insidieuse à l'UE" a fêté le lancement de ses activités hier soir à Vorderthal (SZ). Pour l'heure, il compte 2300 membres et 77 associations, principalement alémaniques et rattachées à l'UDC. Le comité vient de lancer ses activités en Suisse romande, comme l'indique Claude-Alain Voiblet, vice-président de l'UDC suisse et député vaudois.
Parviendrez-vous à réunir un comité interpartis, comme l'UDC le clame?
Il est vrai que cela s'annonce difficile, car beaucoup de personnes partagent notre analyse, mais subissent des pressions de leur environnement. De plus, de nombreux représentants du PDC et du PLR, en Suisse romande, avancent à visage couvert. Ils se cachent en affirmant
"pour le moment le peuple ne veut pas d'adhésion"
, mais il est clair qu'ils veulent davantage que les bilatérales.Pourquoi ne pas attendre les projets concrets du Conseil fédéral, notamment quant à un accord-cadre avec l'Union européenne?
Il nous faut une structure performante pour lutter contre les projets du Conseil fédéral. C'est un travail de longue haleine et nous voulons anticiper. Nous pouvons compter sur les compétences et sur l'influence de Christoph Blocher, qui a décidé d'y consacrer plus de temps en démissionnant du Parlement. En Suisse romande, nous commençons le travail. Une manifestation pourrait avoir lieu cet automne.
Pourquoi ne pas avoir confié cette campagne à l'Association pour une Suisse indépendante et neutre?
L'ASIN collabore évidemment au nouveau comité, mais c'est une association trop typée, qui se concentre sur certains dossiers, mais dans des combats plus distincts. Nous voulons découvrir d'autres pistes, trouver une nouvelle dynamique.
PROPOS RECUEILLIS PAR ARIANE GIGON, LA LIBERTE
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