En page 5 du Matin dimanche du 1er juin on trouve un article qui nous apprend que le « département » de la formation et de la sécurité (DFS) du canton du Valais aurait proféré des menaces ORALES.
Tiens, comme c’est pratique, les menaces orales à 2500 enseignants. Ça s’est fait avec un gros mégaphone ? Quoi qu’il en soit, le « département » aurait menacé les enseignants ayant l’outrecuidance de boycotter les examens oraux de « mille francs de retenue salariale ». On nage en plein délire, car aux dires des représentants du dit département, jamais une telle chose n’a été imaginée.
Le pompon, c’est lorsque l’excellent journaliste parle d’une menace de couper les subventions cantonales pour les COLLEGES qui soutiendraient le boycott. Là, c’est carrément du surréalisme, car le boycott avorté concernait uniquement les classes de 4ème primaire et non pas les collèges !
Pour corser le tout, l’article, citant comme unique source Didier Jacquier, seul détenteur de toute la vérité, rien que la vérité, décèle dans le comportement récent du chef du département une volonté de lâcher son chef de service à qui il aurait « refilé la patate chaude du boycott ».
Et si c’était une preuve de confiance de sa part ?
Confiance dont l’intéressé semble d’ailleurs se montrer parfaitement digne depuis son entrée en fonctions.
Pas de doute : Péclet (le prétendu journaliste) péclote …et le Matin dimanche continue d’évoluer au ras des pâquerettes.
Et vous, qu'en pensez vous ?