Par Maxime Lépante de Riposte Laïque

Ce vendredi 16 mai, les élèves de 27 lycées de la région Pays de la Loire, filles et garçons, étaient « invités » à porter une jupe en classe, à l’occasion d’une journée de lutte contre le sexisme intitulée « Ce que soulève la jupe », parrainée par l’Académie de Nantes et par le Ministère de l’Éducation Nationale. (1)

Interpellé en pleine Assemblée Nationale au sujet de cette initiative pour le moins particulière, Benoît Hamon, ministre de l’Éducation Nationale, n’hésita pas, devant les caméras, à qualifier de « mensonge » cette information, alors que les documents officiels prouvant sa véracité sont disponibles sur Internet. (2)

Quelques centaines de garçons, obéissant docilement à cette « invitation », vinrent en jupe dans leur lycée, telles de gentilles brebis de Panurge. (3)

Nantes, laboratoire des folies socialistes

De 1989 à 2012, Nantes eut pour maire Jean-Marc Ayrault, qui y autorisa la construction de trois méga-mosquées, et qui y favorisa l’implantation de l’islam. (4)

Faut-il s’étonner si ce socialiste extrémiste, premier ministre de la France de mai 2012 à mars 2014, grand destructeur de notre société et de notre économie, a transformé cette ville en un laboratoire à ciel ouvert, dans lequel est peu à peu instaurée la nouvelle anti-France que prônent les gens de gauche : une France islamisée, couverte de mosquées, mangeant halal, vivant sous la charia, remplie de femmes voilées et de musulmans barbus, qui règnent sur des Français travestis et castrés ? (5)

Évaporés, les rêves généreux de Jean Jaurès ! Aujourd’hui, être de gauche, cela ne consiste plus à prétendre qu’on défend le petit peuple, mais seulement à se travestir, au risque d’aguicher quelque barbu musulman ! (6)

Une vision délirante du monde

Voici donc les nouveaux humains décérébrés, que l’endoctrinement socialiste est en train de formater à la chaîne : féministes et féminisés, tiers-mondistes et anti-occidentaux, écologistes et décroissantistes, multiculturels et déculturés, vivant sur une planète transformée en une gigantesque foire où batifolent des travestis asexués, prêts à se laisser égorger par de gentils musulmans pacifiques. (7)

Car, dans cette vision délirante du monde qui est celle de la gauche contemporaine, tout n’est prétexte qu’à une énorme et vulgaire dérision, et rien n’est sérieux, pas même la vie humaine.

Les solutions magiques de la gauche

Pour les bobos simplets qui passent leur temps à jouer les donneurs de leçons, il suffit donc que les hommes portent des jupes pour mettre fin aux insultes et agressions des racailles musulmanes dont sont victimes les femmes dans les banlieues de nos villes.

En s’inspirant de cette brillante idée, digne d’un énarque socialiste transsexuel, il nous suffit, pour qu’il n’y ait plus d’attaques contre des personnes âgées, de nous faire arracher toutes les dents et de mettre un dentier… et ces attaques cesseront comme par magie !

Il nous suffit, pour lutter contre les infanticides, de porter des couches-culottes du matin au soir… et plus aucun enfant ne sera jamais assassiné !

Il nous suffit, pour protéger les handicapés, de devenir nous-mêmes tétraplégiques… et plus aucun criminel ne s’en prendra jamais à un handicapé !

Enfin, il suffit, bien évidemment, pour lutter contre les terroristes musulmans de Boko Haram, qui ont enlevé 250 collégiennes chrétiennes au Nigeria, que les soldats de ce pays décident de porter des jupes, et tout rentrera dans l’ordre !

Le refus infantile de croire à l’existence de la violence et du Mal

Par quelle confusion mentale faut-il être frappé, pour s’imaginer que le port de la jupe va faire disparaître le crime et les criminels ? A quel point faut-il être lobotomisé pour penser qu’on peut protéger les innocents et lutter contre la barbarie, en se contentant de s’enjuponner, sans jamais avoir à se battre ?

Cette croyance puérile qu’en ne se battant pas, la violence disparaîtra toute seule, comme par enchantement ; ce refus pathologique de reconnaître l’existence du Mal, et la nécessité de s’opposer à la violence du Mal par la violence du Bien, ne sont rien d’autre qu’un rejet de la réalité, et une négation de l’Histoire, dont toutes les pages nous rappellent que la Liberté s’acquiert et se défend les armes à la main ! (8)

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