Le Vilain Petit Qatar (Fayard), Qatar, les nouveaux maîtres du jeu (Démopolis), l’Énigme du Qatar (Armand Colin), Qatar, les secrets du coffre-fort (Michel Lafon), etc. Depuis quelques années, les ouvrages ou les articles de presse consacrés à ce petit pays à peine plus grand que la Corse se sont multipliés. En cause, une « politique frénétique d’investissements » et un « activisme diplomatique débridé », selon les mots de certains observateurs, lancés en 1995 par l’émir Hamad ben Khalifa al-Thani, et poursuivis par son fils Tamim, au pouvoir depuis juin 2013.
Avec un excédent budgétaire annuel de 50 milliards de dollars, dû à l’exploitation d’un immense gisement de gaz naturel qui fait du pays le deuxième exportateur mondial, le Qatar a de quoi jouer les poids lourds sur la scène de l’investissement mondial, au même titre que ses voisins, Émirats arabes unis, Arabie Saoudite ou Koweït.
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Ce qui me saute aux yeux immédiatement c’est le geste de Hollande! Un geste familier, et déplacé. Comme avec le Pape avec lequel il avait tenté une telle approche. Il se croit dans les salons de Bruxelles?