La lutte contre le VIH semble être devenue, depuis dix ans, le prétexte à tout un étalage de chair sur la place publique. Comme si l'invitation à la prudence ne pouvait s'accompagner que d'une succession d'incitations à la débauche... Multipliez les situations à risque mais continuez à vous comporter comme de bons petits Suisses triplement assurés. Une campagne de prévention digne de ce nom porterait le message préventif bien en amont. Bref, ca coûte cher et on se demande à quoi ça sert, sinon à mettre en scène toute une galerie de comportements sexuels plus divergents les uns que les autres à rang d'égalité avec ce que jadis on appelait... l'amour.
Heureusement, la tête du responsable vient très vite faire tomber la pression...
Où l'on s'aperçoit que ces campagnes n'ont rien fait contre les infections, qui doivent tout aux progrès de la médecine. Le message de prévention serait bien plus efficace dans les cabinets de médecins. 10 millions à économiser !
Sensibles s'abstenir.
La campagne contre le sel
La campagne contre obésité
La campagne contre le sucre
La compagne contre la fumée passive
La campagne contre l’alcool
La campagne contre le Sida
Il y en a des millions à dépenser. Les effets ne sont guère mesurables et encore moins chiffrable.
Du gros n’importe quoi, de la débauche quoi…
Et il va y avoir des affiches dans les villes?
Au secours, mais ou est la censure là?
Super le message et la banalisation des comportements déviants et homosexuels