Oui, il faut maintenant se battre contre cette UE-là mais ce combat doit être original et positif en ce sens qu’il doit donc déjà laisser entrevoir, dans son contenu même, la Nouvelle Europe à construire, une Europe fédéraliste, démocratique, décentralisée et participative, construite par tous et pour tous.
Les élections européennes doivent être davantage qu’un avertissement vite récupéré.
L’UE dans ce qu’elle est devenue, tout particulièrement au niveau de ses plus hauts responsables politiques, est en totale contradiction avec les valeurs historiques et traditionnelles européennes, et suisses aussi !
La plus grande erreur serait de nous gêner parce que nous sommes un petit pays et que nous ne sommes même pas membre de ce qui est devenu un « Machin ». Beaucoup de nos responsables politiques, des médias et de très nombreux professeurs et intellectuels sont dans la crainte, et tout le temps en train de regretter ou de s’excuser pour les votes du peuple, et parce que nous ne voulons pas entrer dans cette UE-là.
Pour nous Suisses, l’Europe signifie autre chose et d’autres valeurs et contrairement à ce que l’on pourrait penser, je suis sûr qu’une grande majorité de Suisses seraient prêts à participer à une grande Europe Confédérale, à savoir une Confédération de pays gardant leur souveraineté leurs spécificités sociales, culturelles, politiques et fonctionnant de manière démocratique, décentralisée, fédéraliste, pragmatique, avec des autorités élues et représentatives de leurs populations ; à une Europe avec des compétences spécifique et limitées, mais susceptibles de s’étendre progressivement en cas d’accord général. Cette Europe-là avancerait lentement mais sûrement, englobant progressivement des domaines d’activités nouveaux que les différents pays seraient d’accord ou non de confier à cet ensemble plus vaste, un peu comme les choses se passent en Suisse dans les rapports évolutifs entre communes, cantons et Confédération. Même si en Suisse aussi il faut déjà veiller à une centralisation excessive.
Eh oui ! Nous n’avons pas à nous gêner de nos réussites.
Avancer dans un tel sens, mais sans que jamais cet ensemble plus vaste n’agisse de manière autoritaire, technocratique, à sens unique, en signifiant aux pays que leurs lois ne comptent plus car seules s’imposent, inconditionnellement, les lois du Centre et que ces dernières doivent être appliquées de manière unilatérale, sans exception, ni aménagement ou adaptation pragmatique aux cas et demandes particulières. Ce qui permettrait pourtant à des politiciens encore susceptibles de le comprendre d’éviter nombre d’effets pervers, voire des mouvements de révolte massifs exigeant carrément la dissolution de cet ensemble devenu monstrueux et de plus en plus rejeté.
D’un tel Monstre, assoiffé de pouvoir, devenu inquiétant et dangereux, nous n’en voulant pas, et c’est avec une grande satisfaction que nous voyons de vaste mouvements de fronde contre cette UE-là se développer depuis un certain temps et de manière encore plus massive à l’approche des élections européennes de mai 2014. C’est une des plus fantastiques nouvelles de ces derniers temps de voir que de très larges couches de la population de nombreux pays sont devenues anti-UE et de manière déterminée.
Il faut le dire clairement : un projet qui aurait pu être enthousiasmant est devenu un repoussoir et une monstruosité politique, technocratique et bureaucratique dont bientôt plus personne ne voudra, sauf les fonctionnaires gavés qui en profitent directement et de manière scandaleusement abusive, sans gêne aucune, même par rapport à des populations entières dont le seul bénéfice retiré consiste en une misère, une pauvreté, et une exclusion que peu de régimes politiques ont fait subir à leurs membres.
Malgré cela, bien des politiciens, des médias et des intellectuels suisses, envoûtés par la bien-pensance, un socialisme en faillite, et peut-être aussi par une soif de pouvoir plus grand, tentent, par tous les moyens, de nous faire rejoindre ce Monstre politique, quitte à sacrifier certaines de nos composantes politiques les plus essentielles, les plus recherchées et enviées même par les pays membres de l’UE, comme par exemple la démocratie directe.
Oui, l’heure est venue de développer, d’étendre et de mieux organiser la Résistance à ce monstre tentaculaire et autoritaire et de se battre par tous les moyens pour le remettre en cause, afin de l’obliger à se reconstruire sur la base des valeurs susmentionnées et désirées par toutes les populations concernées, et pas seulement par la Suisse.
Oui, il faut cesser de vouloir plaire à cette monstruosité politique, dirigée par des politiques sans grandeur ni envergure, mus surtout par la volonté d’imposer arbitrairement et autoritairement un pouvoir usurpé.
Il ne s’agit nullement de détruire pour détruire cette excroissance politique et bureaucratique, mais de la changer radicalement, pour la reconstruire complètement et de manière démocratique et participative. Cela prendra le temps qu’il faudra, car l’essentiel consiste à construire un ensemble politique qui doit devenir une référence, largement souhaitée, enviée et surtout partagée.
Les critiques fondées et radicales, de plus en plus fréquentes, doivent être étoffées, tout en sachant que ce courant de remise en cause fondamentale sera lui-même critiqué, moqué, dénigré, sali et diffamé avec la vigueur d’un pouvoir qui est en train de le perdre.
Il faut changer complètement de paradigme : ne plus se faire petit, toujours plus petit, mendier, s’excuser, se renier, jusqu’à trahir son pays, ce que d’aucuns et d’aucunes ont déjà fait et continuent à faire. C’est une vraie guerre symbolique, politique et médiatique qu’il faut développer, sans gêne, en étant imperméables aux dénigrements prévisibles de toutes sortes.
Il faut entrer en résistance contre ce déni de démocratie envers de très nombreux pays qui sont depuis longtemps démocratiques et qui ont créé une vraie civilisation de référence, dans la durée, avec patience, énergie et détermination. L’Europe n’est à vendre ni aux marchands ni aux politiciens de l’UE, ni surtout aux USA.
On qualifiera bien sûr aussi de tels propos d’extrémistes, de populistes, de réactionnaires et de bien d’autres termes dégradants. Il n’en est rien. Tout le monde peut comprendre notre proposition en connaissant ce qu’a été, ce qu’est devenu, ce que peut et doit redevenir l’Europe, une Europe évidemment reconstruite également en tenant compte des nouvelles données de nos sociétés actuelles. Aucun pays d’Europe ne doit souffrir pour le bien des autres et chacun doit retrouver sa dignité et ses singularités au sein d’un grand Tout conciliant véritablement Unité et Diversités.
Les élections européennes de mai 2014 peuvent représenter la première étape de cette vaste Déconstruction dont la spécificité doit résider dans le fait que la future Reconstruction doit déjà comprendre en elle-même les principales composantes et lignes directrices de cette Reconstruction, une Reconstruction acceptable par tous, au profit de tous et non de quelques-uns.
Aux urnes citoyens européens ! Et pour ceux qui ne peuvent pas voter il y a bien d’autres moyens de participer à la préparation de la Reconstruction d’une nouvelle civilisation européenne qui remplacera ce Monstre hideux, avant qu’il n’étende encore davantage ses tentacules, ses dégâts et ses « armes » de destructions massives.
Affirmer aujourd’hui encore et constamment que c’est grâce à l’UE qu’il n’y a plus eu de guerres en Europe, n’est plus recevable. Cette affirmation sert souvent à cacher les nouveaux dégâts engendrés. Faut-il rappeler qu’en plus l’UE européenne suit souvent de manière quasi systématique les USA du point de vue à la fois économique, politique et militaire.
Oui, il faut maintenant se battre contre cette UE-là mais ce combat doit être original et positif en ce sens qu’il doit donc déjà laisser entrevoir, dans son contenu même, la Nouvelle Europe à construire, une Europe fédéraliste, démocratique, décentralisée et participative, construite par tous et pour tous.
Les élections européennes doivent être davantage qu’un avertissement vite récupéré.
Uli Windisch, 9 avril 2014
Si l’UE met tous ses pays européen sous tutelle économique et qu’après ils ont plus qu’à les acheté au niveau à les rendre comme des États nations comme aux USA ; la Suisse son indépendance de démocratie directe se perdu. Sous peine d’isolement par la force de grandeur de l’UE. Donc, cela nous concerne aussi la Suisse de pouvoir aider les pays voisins à ce qu’ils quittent cette UE dictature et qu’ils deviennent ou qui reprennent leur indépendance.
Le 25 mai si la France ne vote pas pour le parti populiste FN (front national) qui eux est un parti souverain voulant avoir une démocratie par le peuple, c’est fichu pour la France. Elle sera sous Tutelle et il y a plus qu’à craindre à l’avenir pour eux et pour nous qui se suivra petit à petit. Ce sera nos petits enfants qui en subira…
De plus le président de l’UE c’est qui ? Son nom ? On le connait pas il a été élu entres eux. Il y a depuis 2010 des gens au pouvoir à l’UE qui n’ont jamais été à quoi que se soit en niveau politique, c’est une dictature qui essaient déjà de nous isoler sur des sanctions à leur manière.
Nous espérons que la guerre civile n’aurait pas lieu et que cette UE se dissoute de leur pouvoir inconnu des pays de l’Europe.
Ne restons pas dans notre nombril, soyez vigilent et aidez les pays voisin à s’en défaire.
Je reste volontiers en contact étant très actif pour la France, même si j’habite en Suisse. Car je suis moitié français et le peuple de France souffre de cette UE tellement grave ! Je suis attristé pour eux.
Il faut d’abord comprendre que l’UE est véritablement dirigée par la même hyper-classe que feu l’URSS, et avec les mêmes objectifs, notamment : destruction des nations, des peuples et de la chrétienté, avec une dictature (“gouvernement”) mondial. Puis en tirer les conséquences…
“Affirmer aujourd’hui encore et constamment que c’est grâce à l’UE qu’il n’y a plus eu de guerres en Europe, n’est plus recevable.”
Et n’aurait jamais du être recevable, car l’U.E n’a jamais été la fraternisation des peuples comme on voudrait nous le faire croire.
Quel peuple européen se soucie du drame social qui se passe en Grèce actuellement, à part se plaindre de toujours être obligé de payer pour qu’elle ne s’écroule pas?
Quel peuple européen se soucie des problèmes engendrés en Italie par l’immigration de masse provenant de Lampedusa, à part l’inquiétude de voir ces nouveaux migrants débarqués chez eux par la suite ?
Quel peuple est heureux de savoir que des millions de roms peuvent désormais s’établir dans son pays?
Ce n’est pas l’U.E qui a favorisé la paix, c’est cette fausse prospérité financée par la dette qui a permis aux peuples de vivre confortablement et un peuple qui a tout ce qu’il veut ou presque ne fait pas la guerre.
Mais l’illusion est terminée, les pays sont endettés au delà du raisonnable et les populations vont devoir payer la facture. L’U.E tout comme l’URSS s’écroulera en laissant un goût amer de rancœur et de rancune aux peuples appauvris.
Ne faisant pas partie de l’UE nous n’avons pas à nous demander s’il faut la combattre ou s’y soumettre, ce n’est pas un dilemme.
Ce qu’il nous faut c’est au mieux faire valoir nos intérêts face à ces voisins inévitables, états membres (28 décideurs, à l’unanimité pour les sujets importants) et UE (exécutante des décisions prises par les membres).
Et bien sûr on ne la joindra pas tant que le déficit démocratique y est si crasse.