12 commentaires

  1. Posté par dominique degoumois le

    Et si on arrêtait d’avoir peur d’hypothétiques conséquences, Là, bruxelles jubile en voyant la Suisse divisée en deux camps, elle espère une réaction bolcheviste, dont elle a le secret! A bruxelles on a surtout très peur des conséquences de ce OUI suisse, sur les prochaines votations! En tout cas sur le site “Le Point.fr” 98% des commentaires d’un article sur la votation sont très défavorables au OUI! Alors que l’article va dans l’autre sens avec des arguments complètements éculés! Les français en ont marre de cette l’Europe là , elle n’est pas le reflet de ce qu’ils espéraient! Lires aussi sur le site du “Nouvel Obs.” (le traité de libre échange Europe USA est il mort né?) Là a mon avis des choses importantes se précisent! Et que penser de la UNE de *l’Hebdo*, (Jusqu’où ira la génération du 9 février! Je leur propose pour commencer d’enlever leurs oeilleurs, et de jeter un coup d’oeil sur la politique environnementale de l’Europe de bruxelles! 1000 cancers sont diagnostiqués tous les jours en France, l’un des pays qui utilise le plus de pesticide, et juste devant, donc en premier, les Antilles, où on en utilise encore plus pour la culture des bananes( France Culture 14-15h. La Marche des sciences, ce 27 02! Je croyais que les jeunes étaient très intéressés par l’écologie?

  2. Posté par Economico le

    Nous devons concentrer nos ressources pour que les jeunes de ce pays soient compétitifs. Pour Erasmus, dommage mais il n’est pas indispensable d’aller à l’étranger prendre l’air un semestre. Il vaut mieux s’en priver et avoir travail à la fin des études, que le contraire.

  3. Posté par Pierre le

    Pas eu besoin d’Erasmus pour passer 2 ans à l’Imperial College de Londres !

  4. Posté par Titus le

    Il ne faut pas oublier que l’université qui accueille un étudiant du programme Erasmus en tire des bénéfices au niveau fiscalité… D’ou une légitime question : Est ce que ce programme ne profite pas aux universités plutôt qu’aux étudiants ?

  5. Posté par Michel de Rougemont le

    Suite qu’il fallait attendre après le vote du 9 février, logiquement argumentée dans le communiqué de l’UE.
    50,3% l’ont voulu, tous l’ont eu!

    On se rappelle le sourire ironiquement moqueur des caciques UDC/SVP ASIN/AUNS lorsque ils prétendaient que l’UE ne réagirait pas. Comme si, pour eux donc pour tous, les traités n’avaient aucune force de loi.

    Qui proteste aujourd’hui?
    Les personnes concernées, étudiants et universitaires, c’est bien naturel.
    Il en ira de même avec TOUS les groupes qui seront l’objet de contraintes par contingents, ça promet une belle foire d’empoigne.

    Que faire?
    Immédiatement mettre en place un Helvéto-Erasmus qui va, enfin, inciter à faire des échanges d’étudiants entre les universités et hautes écoles du pays. Aller à Bâle, Lugano, St Gall ou Zurich est très attractif pour un jeune Tchèque ou Espagnol, pourquoi pas pour un romand.
    C’est au moins aussi exotique que Dublin ou Sofia, c’est une aubaine confédérale !

  6. Posté par Anne Lauwaert le

    nos universités et nos étudiants doivent se préparer non seulement à l’écroulement de Erasmus mais surtout à l’écroulement de l’UE
    Erasmus et UE passeront, les universités survivront

  7. Posté par dominique degoumois le

    Cette histoire de votation aura au moins eu le mérite de nous montrer que l’Europe de bruxelles est dirigée par des ploucs! Mais des ploucs qui sont dangereux, au delà de cette affaire plutôt anecdotique, il y a tout le reste, l’inavouable, les manigances, les basses oeuvres! Ces gens ne sont pas là pour le bien publique, mais pour leurs privilèges, il sont donc prêt au pire! Comment ont ils réagit au début de la crise de 2008, ils ont été incapables de la prévoir, alors que pleins de signes avant coureur la signalait! Voir sur youtube *les dessous de la crise économique mondiale*

  8. Posté par M.T le

    Et alors ?! Salut Erasmus, tu ne vas pas nous manquer. Ciiiiiiiaaaaooooo

  9. Posté par JeanDa le

    Alors exigeons que la Suisse STOPPE à la même échéance tous ses paiements dans le cadre d’Erasmus et renvoie également les étudiants étrangers participant à ce programme !
    L’argent économisé et les places libérées dans nos universités devraient permettre :
    – de financer à la fois l’envoi de nos étudiants dans des pays moins hostiles à la Suisse que ceux de l’UE,
    – d’accueillir de nouveaux étudiants en provenance de ces pays et
    – de financer de nouvelles collaborations scientifiques avec ces même pays.
    Et si certains de nos voisins, bien que faisant partie de l’UE, sont intéressés à poursuivre la collaboration sur de nouvelles bases, ils sont les bienvenus, mais qu’ils ne se sentent pas obligés.
    La Suisse n’est pas raciste ni sectaire, ni même rancunière.

  10. Posté par adimante le

    Voici un article paru sur la page facebook Editions Adimante :

    Erasmus. Un exemple d’instrumentalisation.

    Suite au rejet de la libre-circulation le 9 février, l’UE a décidé de geler le programme Erasmus avec la Suisse soit le programme d’échanges d’étudiants avec l’Union européenne. Ce gel a fait la une de tous les médias comme si une tempête terrible venait de s’abattre sur le monde estudiantin. Une page facebook s’est ouverte pour protéger les étudiants contre cette atteinte à une condition essentielle de leur développement académique. Que n’a-t-on entendu ? Aussi est-il bon de ramener la raison aux faits.

    Erasmus ce n’est même pas un épiphénomène. Savez-vous en moyenne dans l’UE combien d’étudiants bénéficient d’un programme de mobilité Erasmus ? 0.95 %. Seuls 0.95 % de la population estudiantine européenne a bénéficié d’un programme de mobilité Erasmus en 2011 (A Statistical Overview of the ERASMUS Programme in 2011-12. European Commission, p.13). Et la raison en est assez simple, les étudiants touchant en moyenne 250 euros par mois de subvention pour aller étudier et s’installer dans un autre pays, autant dire qu’il faut avoir des moyens financiers personnels et que ce n’est pas accessible à la majeure partie des étudiants… (Id. p.18).

    La situation en Suisse n’est guère différente. Dans notre pays 2’612 étudiants ont profités en 2011 d’un programme Erasmus, soit sur un total de 270’550 étudiants inscrits en niveau tertiaire environ 0.96 % de la population estudiantine… (Erasmus mobilität in der Schweiz, statistik 2011-2012, Oktober 2013, p.4). Dont près des trois quarts [de ces 0.96%] dans des branches dont on peut douter (éducation 5.9 %, sciences humaines et arts 25.7 %, sciences sociales, économie et droit 39.6 %), qu’un semestre à l’étranger soit absolument décisif dans l’acquisition et la compréhension d’un savoir académique, contrairement peut-être et par exemple au petit 8.4 % (sciences, mathématiques et informatique) ou l’acquisition de bases expérimentales et méthodologiques différentes peuvent clairement être un atout (Id. p.10).
    Sur ces 0.96 % d’étudiants ayant profité d’un court séjour dans une université européenne les deux tiers possédaient juste un niveau de Bachelor… (Id. p.3) qui rappelons-le pour les anciens n’est même pas un niveau de licence et où l’âge moyen au moment de l’échange se situait dans l’UE à 22.5 ans…
    On est donc très loin d’une mise en péril du niveau académique de la Suisse et du drame que l’on a voulu présenter aux étudiants, et la disproportion de l’interprétation du gel de ce programme est plus proche d’un phénomène de propagande…
    Puisque l’on est dans le sujet parlons encore de cette information intéressante. Alors que le Conseil fédéral adressait au parlement le 23 février 2013 son Message relatif au financement de la participation de la Suisse au programme d’éducation, de formation, de jeunesse et de sport de l’Union européenne 2014–2020 (Erasmus) (13.023) et proposait à cette fin d’ouvrir un crédit de financement de 305.5 millions, il ne contenait aucune étude ou expertise ayant évalué, mesuré ou identifié les retombées concrètes de ce programme tel qu’expérimenté jusqu’à ce jour. Autant dire que les parlementaires l’avaient voté les yeux bandés sur la seule foi d’abstractions sans ne rien connaître du rendement effectif d’un tel programme. Et ce sont ces mêmes parlementaires qui expliquent aujourd’hui au peuple qu’il ne comprend rien.
    Je trouve tout cela effrayant. D’autant plus que cela concerne des milieux, universités, hautes-écoles et parlement, dont le statut institutionnel est d’avoir en principe une conscience critique plus élevée au sein de la société.

    Editions Adimante / Michel Piccand

  11. Posté par A. Vonlanthen le

    La Suisse doit rapidement prendre des mesures similaires vis à vis des étudiants étrangers. Ne pas baisser les pantalons devant la dictature de l’EU

  12. Posté par Le pragmatique le

    Si la Kommandantur n’a rien trouvé de mieux que de pénaliser les étudiants pour faire monter la pression ; qu’ils les pénalisent, on fera avec.
    Si j’ai bien compris, le programme Erasmus n’est pas lié aux accords bilatéraux, dont la libre circulation, puisque des pays hors UE sont inclus dans ledit programme (à tout le moins à ce que j’ai lu ces derniers jours, La Syrie, la Turquie, le Brésil et j’en passe…).

    Qu’on aie conclure des accords dans les universités en Europe au coup par coup; ça fera le bonheur d’une horde de nouveau fonctionnaires mais bien de chez nous; avec l’arrogance de Bruxelles en moins.

    Je me réjouis de plus en plus des élections au politburo de Bruxelles en mai. Un détracteur de la secte nous est présenté ce jour sur 24 heures, ya bon :
    http://www.24heures.ch/suisse/Un-elu-brandit-le-drapeau-suisse-et-se-fait-sortir/story/30551161
    Et quant à Dany le p*** il est grand temps qu’il prenne sa retraite aux frais de l’Empire; nous ne suivrons pas le module de formation de Bruxelles sur la “bienvotance”.

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