Les très nombreux cas rapportés par les médias suisses et internationaux ne laissent plus de place au doute : l’immigration de masse nuit gravement à la santé mentale des élites. Concentrés dans un premier temps aux abords immédiats du foyer endémique du virus suisse de la démocratie directe, avec lequel il aurait un lien avéré, les cas de délires publics lié à la pandémie née le 9 février 2014 se sont répandus dès cette date comme une trainée de poudre à travers l’Europe. Les symptômes sont variés. Ils vont de la paranoïa constitutionnelle, à l’exemple du président du parti socialiste suisse, Christian Levrat, rêvant à haute voix d’une Constitution dont les articles s’appliqueraient différemment selon les communes, à la carte et en suivant celle du vote qui les a institués. Une paranoïa qui a séduit instantanément les valaisans aux prises avec la Lex Weber, mais aussi le GSSA pour l’obligation de servir et dont on craint qu’elle ne contamine rapidement les esprits à travers tout le pays. Jusqu’à l’autisme sociophobe, à l’exemple du président de la Fédération des entreprises romandes, Nicolas Brunschwig, incitant publiquement sur le plateau d’Infrarouge à nier l’existence de la sous-enchère salariale. En passant par la schizophrénie ordinaire d’un Daniel Cohn Bendit, incitant à la haine publique du Suisse au nom de l’idéologie antiraciste. La maladie est pour l’heure sans traitement.
Yves Nidegger, 13,février 2014
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