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La question qui nous est posée se limite malheureusement au financement de l’avortement, ou interruption volontaire de grossesse, ou extraction du ventre de sa mêre d’un enfant en gestation, au nom de la liberté de cell-ci de disposer librément de son corp.
la question est malheureuse car j’aurai bien voulu m’exprimer sur la liberté de pouvoir disposer de son corp, notamment dès la concetpion jusqu’à après la mort (on nous demande encore notre avis sur l’utilisation de nos organes une fois trépassés, si je ne m’abuse).
Bin, non. La question, telle qu’elle est formulée me laisse entendre que ce point est déjà règlé, il s’agira plutôt de décider si une femme devra se poser la question si elle sera en mesure d’assumer les frais de donner la mort à son enfant en dévenir, aumoins aussi longtemps que pour décider si elle se fra arracher cette molaire qui lui fiche une telle rage de dents.