Le Conseiller d'Etat UDC Oskar Freysinger sur le Forum de la RTS, à propos des mesures d'accompagnement qui n'existent que sur le papier, face à un François Chérix, "politologue", de gauche forcément, qui tente laborieusement de se convaincre que le salaire minimum peut être confondu avec une solution politique.
Selon le même, la libre circulation en Suisse peut marcher grâce au fait qu'elle ne participe pas de la "citoyenneté européenne"; sous-entendu, la libre circulation ne fonctionne que si l'on se tient en dehors de l'Europe. Vous ne comprenez rien ? C'est normal, vous n'êtes pas expert !
La solution de M. Chérix est la même que celle de sa coterie depuis plus de 40 ans, brandir la carte de crédit des générations futures... pour accuser le grand capital des nouveaux effets de paupérisation dans vingt ans ?
La bonne blague du jour, le journaliste de garde ne voit pas de "friction" conséquente à une immigration de masse. Chérix enquille sur l'air des lampions que la criminalité se moque des contrôles aux frontières. A quoi bon maintenir des forces de sécurité si elles ne servent à rien ? Une bonne pinte de logique socialiste.
http://download-audio.rts.ch/la-1ere/programmes/forum/2013/forum_20131229_standard_developpement-1_b0336670-b9f2-4ecf-9444-cc5ed61c35db-128k.mp
Il m’est extrêmement difficile de comprendre comment la Suisse ait pu faire venir plus de 300’000 Kosovars, et Albanais (musulmans), serbes (hors UE, pays agresseur et en guerre), tout frais et charges comprises, les loger, les former, leur trouver une place de travail, alors que cette première refuse d’accueillir des travailleurs Européens très proches culturellement et au niveau des moeurs, majoritairement déjà bien à très bien formés. Par ailleurs, sans rechigner d’accepter près de 50’000 demandeurs d’asiles par an (certaines années même plus de 100’000 dans le processus d’asile !), pour la plupart ne partageant même pas les valeurs “occidentales” et chrétiennes, vivant totalement des aides sociales et s’intégrant mal. Je préfèrerait, par contre, voir des “travailleurs” Allemands, Danois, même Polonais, etc. ; que des blacks et des arabes, éternellement insatisfaits, à l’assistance, d’autres moeurs et foi, bien connus pour dealer et agresser les passants dans les rues de nos ville, n’apportant que des problèmes au final (c’est là qu’il faut chercher les sources de l’augmentation de la criminalité). Je pense, qu’on devrait trouver un équilibre, puisque l’on a trop longtemps laisser rentrer le “tiers monde” en défaveur de personnes “blanches” proches de notre culture, ambitieuses et désireuses de travailler dur. Ces derniers devrait avoir une chance si elles en remplissent les critères et d’après les limites déjà en place, tout en contrôlant plus sévèrement le dumping salarial. Si le taux de natalité est négatif, je préférait que cette compensation migratoire soit proche de notre culture et SURTOUT venant de l’intérieur de notre continent qu’est l’Europe, non pas l’Afrique que certains tendent à confondre. Je soutiens par conséquence un “équilibre” démographique venant des Européens blancs et chrétiens en priorité. Par ailleurs, dans les pays de l’ex-Europe de l’Est, il y a beaucoup moins de non-Européens que chez nous et il est difficile de jouer la carte du racisme aussi facilement qu’en Suisse. Tout attaque faîtes contre les opposants à cet état de faits ne provient donc que du “politiquement correcte”. Je pense que la politique en faveur de l’immigration non-Européenne que nous pratiquons actuellement est bien plus néfaste à moyen et long terme (elle l’est déjà en plus, attendons qu’elle s’empire), que cette immigration Européenne tant décriée par certains, et qui est bien plus saine selon moi. Aux Suisses de décider l’avenir de leur pays…
Ah ces politologues, sociologues, psychologues et autres personnes dans les branches qui finissent par ogues, de gauche à 90%, tellement fins dans leurs analyses de la vie…. Ce qui m’impressionne chez eux, c’est que même s’ils se font cambrioler, leurs enfants tabasser pour une cigarette refusée, s’ils se font eux-même agresser, ils défendraient encore leurs agresseurs. Et ils font marrer quand ils parlent salaire, libre-circulation et minimisent l’effet sur le chômage: leurs branches ne sont nullement touchées par la venue de milliers de frontaliers. Ils ont leurs cabinets, pépères, et ne risquent donc pas de pénurie ou de se faire virer pour quelqu’un de moins cher. Ils ne sont en rien concernés mais viennent donner de leçon. Ah cette gauche caviar, fidèle à elle-même!
Cherix est à la politique ce que Bernard-Henri Lévy est à la philosophie…