Selon l'un de nos lecteurs, qui aurait surpris un exemplaire de l'hebdomadaire satirique au fond d'un café, M. Thierry de Barrique de Montvallon, rédacteur en chef de la publication, aurait fini par accéder à la demande du requérant.
Pour mémoire, les Observateurs s'étaient provisoirement substitués aux obligations du périodique vaudois, offrant à sa "victime" le simple droit de commentaire que Vigousse, peu vaillant et encore moins rieur en la matière, se refusait obstinément à lui concéder. Internet est certainement plus large en pareille matière.
La rédaction de la feuille satirique dit néanmoins s'en tenir à "sa version" (le seul commentaire autorisé par le code civil en l'occurrence); on se demande bien laquelle.
Et vous, qu'en pensez vous ?