De même que nous nous étions émus, à Slate, de voir que Gabriel Matzneff, qui affiche clairement ses rapports sexuels avec des mineurs, parfois des enfants de moins de 10 ans, puisse recevoir le prix Renaudot essai (essai, pas roman), des pétitions se sont élevées pour lui voir retirer ce prix.
L’écrivain en est mécontent. Il l’écrit dans Le Point – dont il est le collaborateur régulier, et dont le directeur, Franz-Olivier Giesbert, fait partie des jurés du prix Renaudot: «Juger un livre, un tableau, une sculpture, un film non sur sa beauté, sa force d'expression, mais sur sa moralité ou sa prétendue immoralité est déjà une spectaculaire connerie, nos amis italiens diraient una stronzata megagalattica, mais avoir en outre l'idée malsaine de rédiger ou de signer une pétition s'indignant du bel accueil que des gens de goût font à cette oeuvre, une pétition dont l'unique but est de faire du tort à l'écrivain, au peintre, au sculpteur, au cinéaste, est une pure dégueulasserie.»
Il poursuit: «Les délateurs ont toujours existé, et sous l'occupation allemande les lettres de dénonciation s'entassaient sur les bureaux de la Gestapo ou de la Milice.»
Lire la suite
Voir encore
Tout d’abord les sycophantes ont un autre nom et ce cri que vous niez est bien celui de la Conscience qui devrait être la votre.
En effet le moins possible de vos ouvrages s’échange notamment du fait de l’odieuserie dont vous faîtes preuve. Exprimez vous donc sur une autre plateforme que celle de vos amis et voyons si vos mots trouveront le même écho.
Pasolini s est fait assassiner pour avoir dénoncé les pratiques pédophiles de la caste au pouvoir en Italie, tout comme la caste de pouvoir et d influence à laquelle vous appartenez vous a jusque là sauvé de la prison,
Encore que pour soutenir vos propos vous abordez des rivages sur lesquels vous vous échouez dans vos essais indigestes de pompe et de subterfuges de style à la vérité, celle votre oeuvre et de vous :
votre oeuvre est votre personne sont des insultes à tout âme éclairée, la noirceur de la votre dont vous vous galvaudez n’est qu’à l’image du pathos que vous dégagez, on voudrait vous oublier mais vous agissez tel un herpès.
Votre maladie, l’ephebophilie, n’est pas curable nous le savons tous, votre indignité à vous en clamer sous couvert de fiction est indisposante mais pas dangereuse,
le public est averti quant à votre oeuvre, et nous ne souhaitons tous vous ayant lu que l’au delà existe bien, car ce que vous méritez relève certainement de là, de l’au-delà. A bon entendeur.
“Ainsi, lecteur, je suis moi-même la matière de mon livre.”
Michel Eyquem de Montaigne
C’est une honte ! Cette pseudo élite médiatique et artistique détruit notre société, met à mal le lien social, notre cohésion au nom de leur plaisir. S’il n’y a plus de limite, si tout est permis, alors, le peuple doit faire ses valeurs par la violence.