La libre circulation des personnes est centrale pour l'économie helvétique, estime le président de la Commission européenne José Manuel Barroso. Sans libre circulation des personnes, la Suisse n'aurait pas un accès...
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La libre circulation des personnes est centrale pour l'économie helvétique, estime le président de la Commission européenne José Manuel Barroso. Sans libre circulation des personnes, la Suisse n'aurait pas un accès...
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Antonio : on ne peut mieux dire! On a juste l’impression que l’on va se diluer, nous la CHuisse romande…
«…La libre circulation des personnes est centrale pour l’économie helvétique.. La Suisse jouit d’avantages dont aucun autre Etat tiers n’a jamais bénéficié .. l’accès à ce marché est central pour la Suisse et un “non” à la libre circulation des personnes serait “un accident”» Barroso a fait une partie de ses études en Suisse ; j’espère qu’il y apprécié aussi l’esprit de négociation des Suisses, c’est pourquoi je m’étonne qu’il opine savoir mieux qu’eux ce qui est bon pour le pays. Ces phrases sonnent comme une nouvelle menace européenne d’une communauté qui non content de mettre le couteau sous la gorge d’un petit pays, lui pose carrément le pistolet sur la tempe ; de cette Europe on comprendrait qu’aucun Suisse ne voudra jamais. Si la libre circulation des personnes doit permettre d’expédier en Suisse tous les Européens dont leur gouvernement ne veut pas, évidemment on doit dire non ; et je ne pense pas que la Suisse bénéficie tant que cela d’avantages refusés aux Européens : lesquels M. Barroso ? Entendu et compris ? Encore faudrait-il que Barroso approfondît sa délicate rhétorique et pose moins en donneur de leçons…