13.40h - Entendre l'éditorialiste d'un service public (la RSR) appeler les politiques romands à se mobiliser "pour empêcher que le Temps ne tombe dans de mauvaises mains" a constitué pour moi le moment le plus dadaïste de ces derniers jours.
En quoi les affaires de la presse privée intéressent-elles le Mammouth ?
En quoi le destin du Temps, entreprise privée de presse, doit-il être l'affaire des politiques ?
En quoi une belle âme du service public a-t-elle à nous dicter ce que sont les bonnes ou les mauvaises mains qui pourraient reprendre le Temps ?
Pascal Décaillet, 3 novembre 2013
Pourquoi Claude Askolovitch ? parce qu’il est de gauche ou parce qu’il est sioniste? ou les deux? Claude Askolovitch joue à se faire peur en diffamant tout ce qui n’est pas dans le droit fil de ses intérêts sectaire; lui et ses frères on envahit la sphère télévisuelle et radiophonique avec l’intention de phagocyter toute l’information politique pour ne distiller que l’idéologie sioniste de gauche; et là tout est bon y compris la défense de ces pauvres musulmans que leur religion oblige à voiler leurs femmes; depuis quand un sioniste prend fait et cause pour les musulmans purs et durs? Depuis que cela pèermet de conspuer l’ennemi commun, ce petit Européen qui voudrait qu’on le laisse chez lui avec ses coutumes, du moment qu’il na va pas chez les autres en imposant les siennes; et Claude Askolovitch a-t-il jamais parlé de l’partheid religieux en Israël ? Du massacre des chrétiens palestiniens en 1948 ? De la confiscation de leurs terres au prétexte qu’elles reviennent de droit immémorial et divin à la diaspora juive ? Pourquoi Claude Askolovitch ? C’est plus facile de vilipender ces pauvres Suisses, ils ne répondront jamais à la kalachnikov…
Comme je voudrais moi aussi que “Le Temps” soit en d’autres mains que celles des idéologues du “Monde”… Chacun ses amis, comme on dit à la RTS…
Cher Ueli Davel, je ne sais ce qui vous permet d’affirmer objectivement ou factuellement une quelconque sensibilité de ma part à la “chose gauchiste”… En revanche, une lecture attentive et récurrente de la prose Décaillesque m’a rendu réactif à la bêtise humaine et de la presse en général, et à celle du journaliste précité en particulier. Ce dernier n’a d’ailleurs rien du journaliste, mais tout au plus le profil d’un petit polémiste de province avant tout imbu de sa propre personne. Par ailleurs, on peut sans aucun doute placer Neyrinck et Sommaruga dans l’équivalent politique des égocentrés n’ayant pas (encore) compris que le silence est d’or, surtout lorsque l’on a rien, mais rien du tout à dire. D’ailleurs, la vaine inutilité ne connaît pas les clivages politiques.
Bien à vous.
Cher Nicolas, votre commentaire lui est irrésistiblement amusant et naif à la fois. Votre sensibilité et votre aveuglemnent à la chose gauchiste est attendrissant. Les commentateurs spontanés, tous spécialistes éclairés de la chose publique nous ensencent quasi journellement, déjà tôt le matin, de leurs infallibles commentaires . Un jour sans Neyrinck, Sommaruga, Andi Gross, Leuenberger est inconcevable, on est déja en état en manque, nos neurones sont pris de panique: que pensé? Cela me rappel un peu la main tendue.
Décaillet se plaint du “dadaïsme” de la RTS… Lui qui la ramène perpétuellement sur la liberté de la presse, ce commentaire est assez amusant. Comme quoi, pour lui, il y a deux sortes de libertés: la sienne, la plus importante bien entendu, et puis celle de ses confrères et consoeurs, qui devrait s’exercer à son bon vouloir. Hwureusement Décaillet n’est qu’un pa^le, très pâle reflet de la presse de ce pays.
03 11 2013 // Cher M. Pascal Décaillet – ce n’est pas d’aujourd’hui que notre chère ” Pravda ” RTS – se comporte en police de la pensée – en bobos gauchistes – petits staliniens – laquais de cette pensée unique. Pour preuve : au lendemain de la votation des Tessinois, sujet le voile islamiste – et sans contradiction ils donnèrent la parole à Claude Askolovitch – journaliste français, qui bien sûr confirma l’islamophobie de nos amis Tessinois… Mais que fait Gilles Marchand directeur de la TSR ? Complice ! B.Migy
Pour information, en Suisse il existe une Autorité indépendante d’examen des plaintes en matière de radio-télévision dont le président est le Prof. Dr. Roger Blum. Cette autorité n’intervient que sur plainte après une procédure de médiation.
Constatant de multiples écarts du mandat de service public octroyé à la SSR SRG, je m’attendrais un role beaucoup proactif de la part de cette entité.