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[Extraits de Huffington Post Québec, article signé Claude Aubin, policier et enquêteur à la ville de Montréal pendant 32 ans. Titre de l'article d'origine : "Mon expérience déroutante avec l'islam" ]
Au cours de ma carrière, j’ai eu à faire face à plusieurs cas criminels impliquant des musulmans de toutes ethnies. J’ai été à même de constater que nous ne jouions pas avec le même jeu de cartes.
Pour eux, il semble que mentir, exagérer, enjoliver, faire semblant, ne soient pas spécialement des fautes graves (voir note de bas de page).
Dans les années 80, je travaillais sur un groupe iranien vendeur d’héroïne, pratiquant tout autant, le vol qualifié et le vol à l’étalage. Venant d’arrêter un membre du groupe et détenant une preuve pour d’autres crimes, j’allai rencontrer un complice. L’homme jura sur la tête de son fils de quelques mois, en prenant »Allah » comme témoin, qu’il ne savait rien de l’affaire.
Devant la preuve, il me dit tout simplement : « Je devais mentir, ça ne compte pas, tu es un infidèle ».
Un autre Iranien, qui « éduquait » sa femme selon le Coran vint me jurer sur »Allah » que sa compagne mentait. Il eut même l’audace de me demander de la retrouver, pour l’empêcher de témoigner contre lui. « Tu es un homme, tu vas comprendre ça ».
Un Algérien, selon lui très croyant, disciplinait sa femme au bâton de base-ball.
Lui aussi jura, mais je connaissais la chanson, « Je suis un infidèle ». Il se mura dans un silence complet.
En 1988, j’étudiais à l’Université du Québec :
Dans une de mes classes se trouvaient cinq étudiants algériens. Ces jeunes hommes criaient haut et fort qu’ils allaient « foutre la merde dans le monde et nous niquer. » C’était leur but avoué.
En 1990, lors d’une affaire de viol, un Bosniaque est venu mettre à témoin son Dieu »Allah », disant ne jamais avoir touché la jeune femme qui l’accusait de viol. Au procès, changement de version, c’est elle qui lui avait sauté dessus. Le pauvre n’avait pu résister.
En 1993, un autre Algérien vint encore une fois me jurer, en prenant »Allah » comme témoin. Il s’écria : « Si je mens, arrache-moi les yeux! » Il venait de violer une jeune femme à la pointe d’un couteau.
La même année, je donnais du temps à une organisation caritative qui s’occupait des enfants. L’association avait quelques immigrants payés en partie par un programme gouvernemental.
Un Algérien et son épouse voilée obtinrent un poste. L’homme, d’une incompétence crasse, avait menti sur ses capacités. Dès le 2e jour de travail, il exigea de toutes les employées d’être décentes, donc plus de bermudas ou de blouses décolletées, car ils étaient sources de désir.
En 1996, lors d’une fraude téléphonique, je fis l’arrestation d’un groupe de 13 musulmans de plusieurs ethnies. Ceux qui ont bien voulu m’adresser la parole le firent pour jurer sur qui ? »Allah ».
En 2000, lors de l’affaire Ressam, tous les gens rencontrés nous ont menti avec grande conviction, même après leur avoir montré des preuves accablantes. Tous sans exception, venaient de nous parler d »Allah ».
Huffington Post – Voir aussi page de l’auteur
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Note : Selon plusieurs articles non scientifiques sur le Coran, la taqiya (qui signifie « dissimulation ») est un devoir des musulmans quand ils sont en situation d’infériorité, de minorité.
Il y a deux formes de mensonges autorisées à dire aux mécréants (non-croyants en Allah) dans certaines circonstances, la taqiya et le kirman. Ces circonstances sont typiquement celles qui servent la cause de l’islam, dans certains cas dans le but de gagner la confiance des mécréants afin de les laisser exposer leur vulnérabilité et de les vaincre.
Cet article Témoignage d’un policier québecois : «pour les musulmans, mentir n’est pas une faute. En particulier mentir aux ‘infidèles’ » est apparu en premier sur Fdesouche.com.
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