L’armée contre les criminels : un scandale?

Uli Windisch
Rédacteur en chef
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Certains propos de responsables politiques montrent à quel point les dangers actuels et… à venir, sont fortement sous-estimés et que le fait de ne pas voir ce qui se passe réellement au niveau de la criminalité nous réservera encore des surprises particulièrement désagréables et cela malheureusement dans un temps pas nécessairement très lointain. Il est vrai qu’il faut souvent des événements très graves, des attentats, des braquages particulièrement spectaculaires, une criminalité d’une violence inouïe, pour que, petit à petit, on se rende compte que les choses vont en s’aggravant.Et si on se réveillait…

 

Un vent d’opposition a soufflé non seulement à Bâle  mais dans toute la Suisse parce que Bâle-Campagne a lancé pour un mois une vaste opération pour lutter contre criminalité et  cambriolages avec l’aide de la Police militaire.

Visiblement, bien des acteurs et même des « responsables » politiques n’ont pas encore compris l’ampleur des dangers qui nous menacent et que la situation va empirer, malgré la vision angélique qui persiste chez beaucoup et même à un haut niveau.

Nous avons écrit plusieurs articles pour montrer que les polices à elles seules ne peuvent arriver à bout de ces nouvelles formes de criminalité et que ces criminels savent qu’ils peuvent opérer dans notre pays sans trop de risques. Climat totalement inacceptable. On ne peut laisser l’exaspération populaire s’envenimer ainsi.

Il est vrai que ce sont une nouvelle fois surtout des politiques de gauche, socialistes et Verts surtout, et quelques naïfs PLR qui protestent. Mais que font-ils, eux, concrètement, pour enrayer ces phénomènes qui ne seront bientôt plus maîtrisables ?

Faut-il leur rappeler qu’à Marseille par exemple, c’est même une responsable socialiste qui a demandé l’intervention de l’armée, et pas seulement de la police militaire. Certes nous ne sommes pas à Marseille, nous dira-t-on, mais la situation s’aggrave de jour en jour et il ne devrait pas être nécessaire d’être UDC, un exalté, un extrémiste, etc., pour s’en rendre compte et, enfin, chercher à admettre ces  réalités nouvelles.

A l’intention de ceux qui continuent de minimiser ces réalités, j’avais même proposé de faire des visites guidées dans certains lieux en pleine ville de Genève, et cela dès la fin de l’après-midi et même de jour. Mais visiblement l’idéologie délétère de gauche et certains prêts-à-penser l’emportent toujours sur le réel chez beaucoup.

Citons quelques extraits des propos de ceux s’offusquent de l’appel à la police militaire à Bâle-Campagne, extraits tirés de la Tribune de Genève du11 octobre 2013.

Ces propos ont été tenus après le début de cette opération spéciale, d’une durée d’un mois, visant à frapper fort contre les voyous qui traversent la frontière pour perpétrer leurs méfaits dans le canton de Bâle. Les policiers entendent jouer la carte de l’intimidation, notamment en multipliant les contrôles routiers à la frontière.

Nouveauté : ces contrôles sont effectués par la police militaire, appelée en renfort pour cette chasse aux cambrioleurs frontaliers. Quelques exemples de réactions du côté des autorités policières et politiques :

« Grâce à cette aide, la police criminelle sera soulagée et disposera de davantage de ressources pour se concentrer sur ses actions clés », explique Nico Buschauer, porte-parole de la police cantonale. Il précise : « les militaires n’effectueront toutefois pas d’arrestations, cette compétence restant aux mains du commandement de la police ».

Une telle opération, qui devrait être évidente et approuvée par tous,  a cependant immédiatement  suscité des critiques.

Cette collaboration apparaît comme une hérésie aux yeux de certains élus, à l’instar de Jürg Wiedemann(Verts), Conseiller d’Etat de Bâle-Campagne, pour qui l’idée de confronter des civils à l’armée paraît inacceptable :

« C’est un non-sens total, l’armée à d’autres tâches à accomplir ! » S’emporte-t-il dans la presse alémanique.

Même son de cloche à Berne chez les parlementaires : « Ce n’est ni le rôle ni la compétence de l’armée ! s’indigne Eric Voruz (PS, Vaud), membre des Commissions de la politique de sécurité (CPS). Pour des grosses manifestations ou des urgences à la rigueur et encore… Mais si la police a besoin d’aide elle doit la demander aux gardes-frontières ».

Éric Voruz avertit : il demandera des explications à l’armée lors de la prochaine réunion de commission ! Bref, voilà un politique, socialiste, dont le parti, il faut le rappeler, a même inscrit la suppression de l’armée à son programme.

Autre critique, cette fois d’un PLR,  Hugues Hiltpold,  pour qui on sollicite l’armée pour des tâches qui ne sont pas les siennes. Il trouve la pratique d’autant plus étonnante que le Parlement vient de décider, à la fin d’août, d’une diminution des effectifs de l’armée, les faisant passer à 100’000 contre plus de 180’000 actuellement. À la suite de ce vote, le Conseil fédéral avait approuvé une ordonnance visant à limiter l’appui d’activités civiles et d’activités hors du service. Citation : « Il revient au canton de s’organiser en conséquence et de se pourvoir en effectifs suffisants ajoute le Genevois ».

Mais même les cantons n’y parviennent pas, Monsieur le parlementaire !

Notons que Bâle-Campagne n’est pas seul à s’être tourné vers l’armée. Les cantons des Grisons et de Saint-Gall ont aussi fait appel aux services de l’armée. Par contre,  ni Genève, ni le Tessin, pourtant particulièrement touchés par la problématique, n’ont jamais eu recours aux à ce genre de service et n’en prévoient pas (Tribune de Genève, op.cit). À propos de Genève, il faut tout de même rappeler que l’armée vient déjà en aide aux forces de police dans le domaine de la sécurité de l’Aéroport.

Ces quelques rapides citations de responsables politiques montrent déjà à quel point les dangers actuels et… à venir, sont très fortement sous-estimés et que le fait de ne pas voir ce qui se passe réellement au niveau de la criminalité nous réservera encore des surprises particulièrement désagréables et cela malheureusement dans un temps pas nécessairement très lointain. Il est vrai qu’il faut souvent des événements très graves, des attentats, des braquages particulièrement spectaculaires, une criminalité d’une violence inouïe, pour que, petit à petit, on se rende compte que les choses vont en s’aggravant. Qui a dit que le rôle des politiques était de prévoir ? Il y a certes des cas où cela est difficile mais en matière d’aggravation de la criminalité, cette sous-estimation, ce refus de voir et d’admettre la réalité, souvent par idéologie, est absolument inacceptable.

Je voudrais citer un cas qui devrait provoquer un tel réveil et entraîner la fin de cette inconscience et poser problème même à la gauche : la déclaration du 8 octobre 2013 du chef des services britanniques de renseignements Andrew Parker. Il a averti publiquement que des milliers d’islamistes extrémistes se trouvaient au Royaume Uni et que ces derniers considèrent les habitants comme des cibles légitimes. Le chef du M15 a indiqué que ses services  « faisaient face à des menaces venant de fronts toujours plus nombreux ». Il a affirmé cela dans son premier discours à Londres après son entrée en fonction en avril 2013 (AFP, Londres, 8 octobre 2013). Selon ses dires, il faut s’attendre à une ou deux tentatives d’actes terroristes majeurs en Grande-Bretagne chaque année.

Andrew Parker a fait cette déclaration également afin de justifier le recours aux écoutes pour mieux lutter contre ces menaces, rejetant les allégations d’espionnage tout azimut et critiquant les fuites dans la presse sur les méthodes en matière d’écoutes, fuites qui provoquent « d’énormes dommages » et offrent un « avantage aux terroristes ».

Je cite aussi ce dernier exemple pour indiquer d’une autre manière encore comment, le fait d’être naïf, de sous-estimer les dangers liés aux potentialités criminelles, terroristes et autres, et cela dans le pays qui a revendiqué et pratiqué pendant des décennies un multiculturalisme débridé et qui se voulait même exemplaire, pouvait, subitement et brutalement , après  une longue période d’euphorie, laisser entrevoir les dangers que pouvait comporter un tel multiculturalisme inconditionnel et le désastre qu’il pouvait entraîner.

Précisons qu’un multiculturalisme intégral, et même vanté, comme il a été pratiqué en Grande-Bretagne n’a rien à voir avec le pluriculturalisme tel qu’il est pratiqué et prôné en Suisse, même si nous sommes maintenant aussi arrivés à un stade où certaines limites devront être fixées à ce pluralisme culturel. Il faudra notamment, comme je l’ai dit maintes fois, fixer des critères et des limites à la diversité culturelle que la Suisse peut admettre, afin d’éviter que cet avantage culturel et politique soit retourné contre la Suisse et finisse par détruire ce dernier. C’est la première fois que ce genre question se pose à nous et nous devons avoir le courage de la poser et de l’affronter  clairement. Ce sera aussi l’occasion de définir précisément nos valeurs essentielles et l’obligation « pour tous » de les respecter, et cela en sachant ne pas se laisser intimider par les différentes formes de la bien-pensance, dont les effets pervers se font de plus en plus sentir. Cela vaut bien sûr aussi en matière de politique d’immigration.

Pour revenir au point central de la lutte contre les nouvelles formes de la criminalité et de l’explosion de cette dernière, et au fait qu’il ne sera pas possible d’éviter l’appel à l’armée, malgré certaines oppositions de principe encore fortes et déterminées, de la part de la gauche notamment, je rappelle ci-dessous les différents articles déjà publiés sur ce thème.

Il peut paraître étonnant que beaucoup ignorent, même parmi les responsables politiques que l’article 58 de la Constitution fédérale permet déjà l’appel à l’armée dans certaines circonstances et ses circonstances sont bel et bien réunies devant nous.

Il est urgent de prendre acte de ces situations nouvelles qui ne peuvent aller qu’en s’aggravant, comme cherche à nous le faire comprendre par exemple Andrew Parker, lorsqu’il pointe l’irresponsabilité de certains. Ce qui est aussi le cas chez nous de ceux qui pense que la collaboration entre police, gardes-frontières et armée, bref entre tous les corps s’occupant de la sécurité, n’est pas d’actualité et que telle n’est pas la mission de l’armée.

Il en va de la sécurité de notre pays, de notre population en sachant que le droit à la sécurité est un des premiers droits auxquels la population a droit.

Uli Windisch, 17 octobre 2013

Autres articles sur le sujet :

a ) http://www.lesobservateurs.ch/2012/04/29/geneve-insecurite-et-criminalite-il-faut-larmee/

b) Rondes citoyennes http://www.lesobservateurs.ch/2012/12/13/insecuritecriminalite-oui-aux-rondes-citoyennes/

c) http://www.lesobservateurs.ch/2012/09/28/criminalite-niveau-2-les-contre-societes/

d)     Nouvelles menaces : en Allemagne, Centre pour préparer des guerres civiles  http://www.lesobservateurs.ch/2013/09/04/armee-2/

 

 

 

 

8 commentaires

  1. Posté par Fleury Huguette-Camille le

    Voilà un bien triste anniversaire. Ce jour, il y a une année exactement, je me faisais sauvagement agressée sur une place publique de Lausanne. Multiples cassures de l’humerus et paralysie du nerf radial du bras gauche. Ils n’ont pas trouvé l’agresseur qui est partie tranquillement en bus 5mn avant l’arrivée de la police. Mais au surprise, durant une année, mon dossier a-t-il dormi dans les locaux de la police judiciaire? Ils n’ ont en leur possession que le nom de la personne qui m’a secourue, ni relevé d’adresse ni même son no de tél. Hors, il se trouve que c’est le seul témoin oculaire de mon l’agresseur….Ce dossier est désespérement vide… Un sentiment tenace..insoutenable ..m’habite ce jour…être une victime abandonnée…dans cette détestable insécurité ambiante.

  2. Posté par Le pragmatique le

    La participation de l’armée au maintien de l’ordre public n’est pas choquante. Il est fort bien connu que la police est dépassée par le foutoire Schengen.
    Et je préfère de loin croiser des militaires dans la rue que des ntm et autres bonobos.

    Il est grand temps de mettre un terme à cette liberticidité noseabonde. A droite toute.

  3. Posté par Jacqouille le

    A MARSEILLE effectivement la délinquance est très violente comparée à la SUISSE, et vu la situation certains responsables politiques ont émis l’hypothèse d’une intervention de l’armée. Cela parait complètement stupide. D’abord la Gendarmerie Nationale qui fait partie des forces de Police en France, est une composante de l’armée qui dispos de véhicules blindés, de parachutistes et d’hélicoptères entre autres, donc on peut dire qu’en France l’armée est déjà présente dans les forces de Police. Deuxièmement, si l’on imagine qu’il n’y ait plus que l’armée à la place de la Police cela ferait penser à un régime totalitaire. Troisièmement, l’armée n’est pas la solution pour lutter contre la délinquance, car pour lutter contre les malfrats et notamment les réseaux de dealers, il faut des enquêteurs de police et des moyens d’écoutes et de filatures, et ce n’est pas le boulot de l’armée. La réalité du problème en France c’est une question de laxisme: d’abord le laxisme de la justice qui laisse les malfrats en liberté, et du pouvoir politique qui laisse les policiers sans moyens. (voir l’article en ligne sur le web LA DERIVE DE
    L ADMINSTRATION POLICE A MARSEILLE….

  4. Posté par Emanuel Müller le

    Les solutions à la criminalité ne viennent pas forcément de la culture européenne, et c’est possiblement une occasion de pratiquer un multi-culturalisme utile plutôt que décoratif. Par exemple en Chine, si quelqu’un se fait prendre avec plus que x grammes d’héroine et autres drogues illicites: peine de mort (un british d’origine pakistanaise en a fait l’expérience), en Arabie Saoudite, au bout de x récidive de vol: séparation mains-corps, au Japon, si quelqu’un n’a pas de papier en règles, ou ne plaît pas pour raison x aux douaniers: pas d’entrée (évidemment c’est facile sur une île dotée d’une culture multi-millénaire, résultat un des taux de criminalité les plus bas au monde et surtout une atmosphère de vie incroyablement sûre et confiante, en Suisse par rapport au Japon je me sens dans une zone barbare, ayant remplacé le respect par le mépris, la confiance par la peur).

  5. Posté par herbert le

    Donc en gros, si on respecte l’initiative des renvois (et pas en 2035), qu’on sort de Schengen, et des peines plus fermes, plus besoin d’appui de l’armée, cela va de soi.

  6. Posté par herbert le

    1. Remettre les contrôles aux frontières (la gauche n’en veut pas) 2. des peines un peu plus dissuasives sans tomber dans le liberticide sauce USA ou Chine ( la gauche n’en veut pas) 3. Ne pas attendre que cela empire (la gauche ne le veut pas).4. Pas d’expulsions. En gros je demande ceci: est-ce qu’il faut attendre de se retrouver dans la même situation que certaines grandes villes de France avant de bouger, prétextant toujours comme le dit si bien la gauche “aujourd’hui, il n’y a rien d’alarmant”. Et quand il sera trop tard, remettre la faute sur la droite ou la société en général (chômage, pauvreté, excuses habituelles) ? La droite aussi doit se bouger, mis à part l’initiative des renvois (merci Mme Summaruga du PS de faire traîner les choses), elle doit agir aussi au niveau national en lançant des initiatives dans ce sens. Mais on peut se rendre compte que les grandes villes dirigées par la droite,, en France, on peut noter la différence avec les villes dirigées par le camp opposé. C’est flagrant. En Espagne aussi.

  7. Posté par Pascal Tendon le

    Il y a une solution qui n’est certes de nos jours pas politiquement correct que l’on peut appliquer de suite… Elle ne coute rien, elle permet une diminution de la criminalité a coup sûr. Ce n’est pas de la théorie, c’et expérimenté. Tous les états US qui ont instauré le permis de port d’arme ont vu leur taux de criminalité chuter et il suffit de 7% de la population pour que cela soit efficace. Pour la Suisse, c’est encore plus simple, jusqu’en 1990, les permis de port d’arme était libre dans la plupart des cantons et on ne constatait pas de dérives. Il a fallu que nos politiciens pour être compatible avec Schengen revoit la loi et en profite pour vider de son sens ce droit ancestral en instaurant la clause de la nécessité. Ce qui fait que seul les agents de sécurité et les passes droit peuvent en bénéficier. Vu leur formation, c’est d’ailleurs pour le moins choquant de les distribuer ainsi vu certains cas.
    Il suffit donc de faire sauter cette clause de nécessité dans la loi… et de faire un peu de pub puisque la police vu ses moyens est incapable d’assurer la sécurité de chacun, c’est un scandale de refuser un permis a par exemple “un bijoutier cambriolé pour la troisième fois”, c’est une injure au bon sens. On lui a dis d’engager un garde du corps…ca montre le degré d’humour de certain si le débat n’était pas si sérieux. Les moyens , on les a chiche…, on ne risque qu’une chose que ca marche puisque ca ne coute pas un centime

  8. Posté par Andrea le

    Je ne sais pas si la solution est de mettre l’armée en renfort de la police, les gardes-frontières en renfort de l’armée ou les pompiers en support des gardes frontières.
    Ce qu’il se passe est une réèlle augmentation des infrations, vols et autres actes délictueux. Ceci, commence par une dégradation du respect de la chose publique, le non respect de l’autorité et un laxisme ambiant que fait paraître toute attente envers quelquonque limite comme un acte fasciste et barbare.
    Entre mai 2012 et mai 2013, j’ai subi 2 vols à l’arrachée (ordinateur à la gare et téléphione en centre ville à 22h30!), une effraction à la voiture (bris de vitre et vol des documents plus effets personnels dans le coffre) et me suis retrouvé nez-à-nez dans ma cave avec un inconnu entré par effraction, un dimanche matin à 7h30!
    Parlez-moi de subjectivité.
    Un garde frontière doit garder des frontières, qui doivent exister!
    Un policier doit assurer la sécurité intérieure en agissant de concert avec des professionnels de différents niveau de prévention et de répression.
    Les militaires doivent protéger la population d’une menace extérieure sur la sécurité debiens et des personnes résidant dans le Pays.
    Les polititiens à identifier les problématiques auquelles est confrontée la population et élaborer des solutions efficaces sur le plan national et international afin de garantir de conditions de vie dans lequelles la liberté de chacun puisse être exprimé sans entraver celle du prochain.
    Je constate que ce modèle n’est plus en vigueur et je crains VRAIMENT qu’un jour le citoyen ne s’y retrouvant plus, trouve que l’on n’est pas mieux servi que par soi-même…
    A bon entendeur!!!

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