"Le rapport du Giec soulève beaucoup de questions en relation notamment avec l'absence de corrélation entre le réchauffement climatique et les variations de concentrations du CO2.
Il y a tout de même quelques observations curieuses : la température a augmenté rapidement de 1970 à 2000 ; elle s'est tassée depuis et a baissé au cours de ces dernières quinze années (V.Courtillot). Logiquement, mais dubitatif, on imagine avec beaucoup d'ingénuité que les émissions de CO2 ont dû diminuer. La consultation du web apporte évidemment de nombreuses réponses. Retenons la récente étude du Global Carbon Project, ou le résumé qui en est fait ; on y lit notamment que les émissions de CO2 ont augmenté de 41 % entre 1990 et 2008, majoritairement en raison de la combustion du charbon (Un coup de chapeau, en passant, à l'Allemagne qui est entrain de passer à des centrales thermiques). Interrogé à ce sujet, J.Jouzel reconnait la stabilisation des températures et minimise l'impact du CO2 suite à une augmentation du stockage d'une part du CO2 anthropique dans les océans, les sols et la végétation ; curieux argument, peu en phase avec les enseignements de la physico chimie.
[...] La corrélation entre la concentration de CO2 et l'augmentation des températures semble donc soumise à caution."
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Mais parce que le climat change et se réchauffe. Cependant, la question est de savoir si c’est l’Homme qui en est responsable ou si c’est un cycle naturel. Le GIEC veut à tout prix faire porter l’entière responsabilité de ces changements à l’Homme. C’est ça l’arnaque.
Il ne faut pas oublier qu’il est scientifiquement établi que le modèle de réchauffement dont le GIEC et ses zélotes font leurs choux gras n’a pas de fondement physique (*). Ni le prof. Thomas Stocker de l’université de Berne, vice-président du GIEC en charge de l’analyse des bases physique des changements climatiques, ni le GIEC n’ont jamais demandé que cet article soit retiré pour imposture scientifique, en soumettant à cette revue la théorie qui vient prouver une fois pour toute l’effet qui les inquiète tant. Si cet article était un cas isolé, il aurait pu échapper à la sagacité du GIEC. Mais ce n’est pas le cas, car il fait couler beaucoup d’encre et grincer pas mal de dents. Il y a donc imposture scientifique et elle porte sur le noyau dur de la climatologie, sa clé de voute: l’effet de serre d’origine anthropique! Cela dit, les scientifiques sceptiques n’ont jamais nié que le climat puisse changer ni se réchauffer.
(*) Falsification of the atmospheric CO2 greenhouse effects in the frame of physics, G. Gerlich, R. Tscheuchner, Int. J. of Mod. Phys. B, vol. 23 no 3 (2009), pp 275 364.
“Il faut donc savoir raison garder, ne pas s’engager dans des actions imbéciles et urgentes car il n’y a pas de planète à sauver. […] mais pas à n’importe quel prix et par des subventions injustifiées”
Exactement !
Il faudrait remettre les lois de la physique en question pour nier le phénomène de l’absorption d’ondes électromagnétique (infrarouge) par un gaz comme le CO2 en fonction logarithmique de sa concentration. Or cette science n’est pas réfutée par d’autres et meilleures théories.
Ce qui fait problème c’est la réponse du système atmosphérique à cette augmentation de l’absorption d’énergie due à une plus haute concentration de CO2 (indéniable elle aussi), et à long terme celle d’un changement des conditions climatiques dans lesquelles nous vivons.
Trois questions restent ouvertes, malgré le biais confirmatoire du GIEC:
1.- Quel est l’évolution climatique réelle?
Le fait que depuis 15 ans les mesures de température ne montrent pas d’augmentation n’a pas été inclue dans les modèles prédictifs utilisés par le GIEC. Modèles réfutés par l’observation, invalides !
2.- Quelle est la part de la réponse du système qui est attribuable aux émissions de CO2, après y avoir inclus toutes les rétroactions (Planck, vapeur d’eau, gradient d’altitude, nuages)?
Certainement plus faible que ce qui a été prétendu jusqu’alors. Le GIEC dans son dernier rapport donne une bande de 1,5 à 4 °C pour chaque doublement de la concentration de CO2 (par rapport à l’ère préindustrielle on en est aujourd’hui à 400ppm/280ppm soit un facteur de 1,43). À mon avis (un peu éduqué) la limite inférieure est encore exagérée.
2.- Les changements constatés et prévisibles sont-ils forts ou faibles, dommageables ou bénéfiques.
À part la fonte des glaciers (mais il y en a en croissance aussi, très peu il est vrai) et la migration vers le nord de certaines espèces végétales et animales il n’y a pas grand-chose à constater. Il est clair et net que ni les ouragans ni les tornades n’ont changé de fréquence et d’intensité (leurs dégâts oui, car les victimes sont plus nombreuses et avec des biens de plus haute valeurs). Quant à l’avenir, les mêmes modèles invalides du GIEC ne permettent pas d’affirmer des catastrophes, ni d’ailleurs de bénéfices merveilleux.
Il faut donc savoir raison garder, ne pas s’engager dans des actions imbéciles et urgentes car il n’y a pas de planète à sauver. La décarbonisation à tout prix est l’une de ces imbécilités, même s’il est raisonnable d’utiliser les combustibles fossiles à d’autres fins que de se chauffer ou de faire de l’électricité, mais pas à n’importe quel prix et par des subventions injustifiées.