Criminalité: Marie-Hélène Miauton au 12h30 de la RTS

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“J’aimerais qu’on me dise où j’ai tort”

Fondatrice de l'institut M.I.S.Trend, aujourd'hui chroniqueuse hebdomadaire au quotidien Le Temps, Marie-Hélène Miauton publie "Criminalité en Suisse, la vérité en face", qui sort ce mardi aux éditions Favre. Des drames comme ceux de Lucie, Marie ou Adeline ont secoué la société civile et judiciaire suisse. Marie-Hélène Miauton dresse un état des lieux de ce qui pourrait être amélioré pour renforcer la sécurité en Suisse alors les brigandages ont doublé en 30 ans, que les lésions corporelles ont triplé de 2009 à 2012, et que les infractions au code pénal ont augmenté de 10%. Révision du code pénal, manque de moyens et d'effectifs, accords Schengen, elle tente de dresser le constat de l'évolution de la criminalité.

2 commentaires

  1. Posté par norbert-daniel guillod le

    Bonsoir Madame Miauton, J aime bien votre formule!!! J AIMERAIS QU ON ME DISE OU
    J AI TORT !!! Je suis actuellement ….en brousse…et en bord de mer…au Senegal… tres occupe …..mais je saisirai cette ouverture …pour vous informer des dysfonctionnements des diverses instutions ….Procureurs…Polices…Avocats…Presidents tes de tribunal et meme Malley-Prairie,cette institution par ailleurs si necessaire.
    Je vous transmettrez ses elements par courrier…car au Senegal il y a entre autre de tres beaux timbres. A tres bientot !! norbert-daniel guillod architecte…cultivateur…eleveur..et ambulancier…( ambulancier seulement pour le village des pecheurs ou j habite.)

  2. Posté par Pierre-Henri Reymond le

    Le Temps de ce 2 octobre ouvre ses colonnes à un psychiatre dont j’ai oublié le nom. Lequel s’exprime à propos de la récente et dramatique affaire. Je survole ses propos et n’y voit rien à redire à première vue. Ils sont marqués du sceau de BIEN. Toutefois je reproduis le paragraphe que voici, à propos de la possible implantation d’une puce électronique:
    ” – Un tel procédé pourrait éventuellement dissuader un bandit qui pille des coffres mais n’empêchera jamais un raptus* psychotique ou l’expression violente d’un désordre de la personnalité. On peut même imaginer que certains criminels ont le besoin d’habiter leur identité de monstre sexuel et ne reculeront certainement pas à l’idée d’être arrêtés.”

    Remarquons que cette “autorité en la matière” peut “même imaginer”! De plus il nous délègue une certaine compétence en disant “on” peut même imaginer! Une certitude est toutefois exprimée, quant à “certains criminels dont on peut imaginer”, dans l’affirmation selon laquelle “ils ne reculeront CERTAINEMENTpas à l’idée d’être arrêtés.

    Le taux de réussite de la “bellis perennis” ne concerne donc que “certains autres criminels”, triés sur le volet bien entendu. Par Timothy Harding?

    * une incursion sauvage dans un Petit Robert sans défense m’apprend que le raptus est “une impulsion violente et soudaine”! Ce qui me renvoie illico dans mes lectures d’adolescent! Était-ce Ellery Queen qui a écrit un roman articulé sur l’impulsion irrésistible? Dans lequel il y avait deux victimes. L’une morte et l’autre acquittée.

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