Cibles d’individus malintentionnés qui cherchent un toit sans rien débourser, des personnes fragilisées sont comme prises en otage chez elles.
On lui avait promis de faire des travaux de peinture dans son appartement. Abordée dans son quartier, aux Pâquis, une septuagénaire fragilisée psychiquement a accepté de faire entrer des inconnus dans son domicile. Petit à petit, trois hommes ont fini par occuper son logement. Ils l’ont harcelée pour obtenir de l’argent. Le cauchemar a duré deux mois, sans que la dame n’ose porter plainte. Acculée, la retraitée s’est défenestrée un jour de mai. Elle vient tout juste de sortir de l’hôpital.
Cette histoire n’est pas unique.
L’article est imprécis, mais çà s’appelle aussi Schengen ce nouveau style de délinquance ?
La sous kommandantur de Strasbourg peut-elle renseigner ?