Et le reste…
Yaël Hayat, avocate, présidente du comité de l'Association la Pâquerette des Champs, Genève:
"[Il faut] qu'ils s'inscrivent dans une communauté thérapeutique pour au fond, que ces gens, avant de rentrer complètement dans la vie, apprennent déjà, en étant ensemble, en vivant dans cette communauté-là, à gérer leurs émotions, à apprendre à réfléchir sur leurs actes."
Quand on sait que Fabrice A. a profité de son séjour, de son "vivre ensemble", pour prendre la leçon du sadique de Romont, l'on est comme pris d'un doute léger quant à l'opportunité de la démarche
Panteleimon Giannakopoulos, chef du département de santé mentale et de psychiatrie des HUG, Hôpitaux universitaires genevois:
"Par rapport aux thérapies qui peuvent faire sourire et vous apparaître baba-cool, typiquement la zoo thérapie, c'est utilisé à d'autres endroits psychiatrique, typiquement, ce sont des thérapies qui ont été utilisé pour des patients autistes.
[...] Cela veut dire aussi qu'elles peuvent être utilisées pour des personnes qui ont des problèmes par rapport au lien avec l'autre, avec l'autre être humain, c'est une première étape, donc ce n'est pas totalement fantasque."
[...]
"La question d'une escorte policière invaliderait en soi le principe de la sociothérapie.
[...] Ou vous considérez que la personne est dangereuse, et, dans ce cas, il ne faut pas tenter ça, ou alors vous pensez, après une évaluation, que ça peut être fait, et vous entrez dans une logique de travail sociothérapeutique. Allez commencer à faire une escorte, c'est recréer un monde pénitentiaire à l'extérieur."
Nous sommes d'accord, la sociothérapie doit s'appliquer à l'intérieur, en milieu fermé quoique pas strictement pénitentiaire.
Esther Mamarbachi, animatrice:
"Est-ce que vous ne surfez pas un peu sur cette vague populiste ?"
Jean-Luc Addor, avocat et député UDC au Grand-Conseil valaisan:
"C'est une vue de l'esprit d'imaginer un jour qu'on pourra les réinsérer. Et il faut un jour qu'on arrête de mettre le criminel au centre de tous nos efforts et puis qu'on remette la victime, le lésé et la victime, qui, elle, doit être le centre de nos préoccupations. La victime et les victimes potentielles, parce que ça c'est le problème de la sécurité publique."
[...]
"Les condamnés exécutés ne récidivent jamais."
L'émission aura au moins eu l'avantage de nous apprendre que la commission de dangerosité ne s'est pas exprimée comme elle l'aurait dû sur le cas de Fabrice et que la Pâquerette, mais nous le savions déjà, n'a jamais fait l'objet d'une enquête extérieure.
“Retrouvez un pas dans la vie”….. Les victimes elles ne retrouveront pas la vie, leurs familles et amis eux ne retrouveront personnes, rien, le néant. Comment peu ton dire de telles crétineries!
Madame Yenamarbachi elle, elle surf sur la vague gauchopopuliste de notre radio d’état monopolistes. Il est temps de la mettre aux archives.
…et si les plus dangereux était ces bobo-psychopathes, pardon, psy-tout-genre ou politiciens sans scrupules ou cervelle à la bonne place qui imposes à la société leurs rêveries sur réinsertions des pires criminels?
Bonjour, en regardant Zone d’ombre sur tsr1, emmission sur le tarré de Romond. Les victimes survivante, ou meme leur famille n’ont eu droit a AUCUNE aide, pas de suivi medicale, pas d’assistance juridique, pas d’indemnité pour tord moral, pas de prise en charge des frais médicaux, pas de confort, pas d’assistance psychologique, pas d’aide de notre gouvernent, pas d’aide a payer les avocats; c’est juste x-files;; alors qu’on peut lire que ces tueurs ont droit a des thérapie et toutes ces conneries… bref tout va bien. Est ce que quelqu’un pourrait contacter une société pharmaceutique pour créer une pilule anti-diahree cérébrale pour ceux qui prennent des décisions? ? ?Viteeeee
Être ensemble et bien c’est juste il était avec Adeline et les gochos de service n’oubliez pas le joker de la diversité et de la multiculturalité.
Tout s’éclaircit et finalement qu’ils prennent ces bêtes furieuses chez eux. Ils leurs feront faire une thérapie avec leurs canaris et poissons rouges.