Encore

Stéphane Montabert
Suisse naturalisé, Conseiller communal UDC, Renens

et toujours…

Après l'affaire Lucie, l'affaire Marie, l'affaire Carlos, l'affaire Jean-Louis B., c'est aujourd'hui le jour de l'affaire Anthamatten, du nom de Fabrice Anthamatten, violeur dangereux et toujours en fuite.

Faisons rapidement le portrait du jeune homme:

Fabrice Anthamatten est un dangereux violeur et hier matin, ce détenu s’est évaporé dans la nature. L’homme de 39 ans (...) avait été condamné à 10 ans de prison pour viol aggravé avec violences voici quelques années pour des faits s’étant déroulés non loin de l’aéroport de Cointrin et au cours desquels il avait notamment enfermé une femme dans son coffre.

Il était enfermé dans un centre réservé aux détenus dangereux. Ce qui ne l'a pas empêché de s'échapper, très facilement, en profitant d'une... Thérapie équestre. Oui, vous avez bien lu, le violeur dangereux - loin d'avoir purgé l'entier de sa peine - avait droit à des sorties à cheval accompagné d'une jeune femme, et c'est tout. Celle-ci, Adeline M., mère d'un enfant de huit mois, vient de payer de sa vie l'inconscience générale.

On attend avec impatience le rapport d'enquête qui confirmera que toutes les procédures ont été convenablement suivies et que, ma foi, comme partout en matière de réinsertion, on ne fait pas d'omelette sans casser quelques œufs. Le procureur spécial du moment, dédouanant tout le monde entre deux sages "recommandations", osera-t-il encore faire un parallèle avec la manutention d'explosifs?

Pour couronner le tout, Fabrice Anthamatten se livrait à ses sympathiques activités d'extérieur à proximité de la frontière française, à travers laquelle il s'est vraisemblablement enfui. La France n'extradant pas ses ressortissants, on ne le reverra pas faire du cheval de ce côté de la frontière.

Il y a quelque chose de pourri en Suisse. La justice, pour être précis.

Alors que, hasard de l'actualité, on explique dans le 20 minutes d'aujourd'hui que "l'efficacité de la police fait déborder les pénitenciers", la réponse du porte-parole de la police cantonale au manque de place dans les prisons est claire: c'est un choix politique. Le choix politique de ne pas expulser les criminels étrangers. Le choix politique d'effectuer sur place les peines des criminels étrangers plutôt que dans leur pays d'origine.

C'est aussi un choix politique qui a mené à la remise en liberté de ces criminels bien avant qu'ils aient cessé de représenter un danger pour la société. Le choix de privilégier la réinsertion sur la sécurité des civils, les droits des criminels sur ceux des victimes, l'incarnation d'une vision naïve de l'humanité par ceux-là même dont on espérait le regard le plus juste.

Plus loin, c'est aussi la responsabilité de tous ceux qui ont mis ces gens et ses procédures en place. Un choix politique encore.

Que valent les juges condamnant péniblement, après d'innombrables récidives, des individus à des peines dont ils font les deux-tiers? Que valent les psychiatres sempiternellement bienveillant sur la dangerosité des cas qui leur sont soumis? Que vaut ce système pénitentiaire fournissant à la lie de la société un confort et des loisirs inaccessibles au plus grand nombre?

Lorsque Carlos a été remis en prison suite à la polémique, l'administration argumenta que la mesure avait été prise pour le protéger des conséquences du scandale - le protéger, lui. Alors que c'était bien la société, et non lui, qui était en danger de par sa présence.

Lorsque Marie a été tuée, c'était un dysfonctionnement de plus ; mais finalement, la faute à personne. Un coup de malchance, à la limite.

Si Marie ne savait probablement pas que l'individu qu'elle côtoyait était un dangereux criminel coupable de meurtre, Adeline M., elle, faisait partie du système. La sociothérapeute retrouvée sans vie dans un sac, dans les bois de Versoix, était membre de cette pléthore d'accompagnants, d'encadrants, de psychologues-éducateurs, d'animateurs sociaux et autres semi-fonctionnaires grouillant dans les méandres de la douce application des peines et de la bienheureuse réinsertion. Elle faisait du cheval, c'était probablement un très bon job, paisible, en contact avec la nature.

Mais face à des criminels récidivistes, elle était en première ligne.

Stéphane Montabert

 

http://stephanemontabert.blog.24heures.ch

27 commentaires

  1. Posté par Ueli Davel le

    Reflection sur les psys de tous bords et “médecin passager”.
    TOINETTE: “Je suis médecin passager, qui vais de ville en ville, de province en province, de royaume en royaume, pour chercher d’illustres matières à ma capacité, pour trouver des malades dignes de m’occuper, capables d’exercer les grands et beaux secrets que j’ai trouvés dans la médecine. Je dédaigne de m’amuser à ce menu fatras de maladies ordinaires, à ces bagatelles de rhumatismes et de fluxions, à ces fiévrottes, à ces vapeurs, et à ces migraines. Je veux des maladies d’importance: de bonnes fièvres continues avec des transports au cerveau, de bonnes fièvres pourprées, de bonnes pestes, de bonnes hydropisies formées, de bonnes pleurésies avec des inflammations de poitrine: c’est là que je me plais, c’est là que je triomphe; et je voudrais, Monsieur, que vous eussiez toutes les maladies que je viens de dire, que vous fussiez abandonné de tous les médecins, désespéré, à l’agonie, pour vous montrer l’excellence de mes remèdes, et l’envie que j’aurais de vous rendre service.”

    Molière, le malade imaginaire, acte X

    Un jeune après plus de deux ans d’étude en psychologie:”j’arrête, c’est à devenir dingue, je ne dors plus la nuit”.

  2. Posté par unesuissidéaletranger le

    De loin de mon pays, depuis longtemps loin du nid de coucous. Sortez du milieu d )elle ! Je connais la pâquerette et des champs aussi. Et Marie-jeanne je la fume ici. Mon coeur bat la chamade de ce qu’ il ne peut révéler. Je suis révulsée de ce qui c est passé tout était bien programméi vous saviez frères et soeurs de mon pays…vous ne resteriez pas… quitte à perdre le confort de mon cher pays. Ce que nous avons vécu…vos enfants sacrifiés à cette bande mafieuse ce n est pas fini la grande messe ne fait que commencer. D autres sacrifices car c est bien de cela qu il s agit. D expérience je peut vous dire que ce sont des protecteurs de psychopathes car ils le sont eux même tout le système. Trop grave. Et même la “protection” de la jeunesse est une couverture qui protège le pédophile… Grave, grave, grave…nous mourrons tous un jour eux ils ont déjà perdu leurs âmes mais ne le savent pas. Le retour du boomerang leur sera fatal pour de bon! Sortez du milieu d elle! Moi

  3. Posté par David Laufer le

    Vous vous définissez vous-même comme “Suisse naturalisé”. C’est là une forme particulièrement perverse d’auto-flagellation. Savez-vous que cette distinction n’existe pas, ni dans la loi, ni dans la vie de tous les jours? On ne vous demande pas de préciser quoi que ce soit: soit vous êtes Suisse, soit vous ne l’êtes pas. Il n’existe pas (en tout cas Oskar Freysinger n’y est pas encore parvenu) de citoyenneté à deux vitesses. Vous définir vous-même comme un “citoyen suisse, MAIS” en dit long sur les diverses vexations que vous avez endurées de la part des crétins locaux, parce que vous êtiez français, pendant suffisamment de temps pour finir par les intérioriser et avoir enfin d’être né français, sans avoir eu l’honneur insigne d’être né suisse. Je suis entièrement opposé à vos idées politiques que je tiens pour destructrices, mais vous n’êtes pas pour moi un Suisse naturalisé: vous êtes Suisse. C’est tout.

  4. Posté par Quitestoi le

    Bravo à Stéphane Montabert pour son article, il est cîblé et courageux.
    M. Jacot

  5. Posté par Pierre-Henri Reymond le

    Une chose que je n’ai pas dite! A la lecture de la première information reçue des Observateurs je fus, en une fraction de seconde, assailli d’un florilège de pensées vengeresses, haineuses. Puis, l’instant d’après, une évidence. La jeune femme avait confiance. Assurément elle ne voyait pas l’image du visage qui nous a été montré. Elle ne voyait pas cette sale gueule. Car il faut bien l’admettre, la question se pose, cette tronche est-elle celle de mon prochain? En l’occurence c’était celle du prochain meurtrier. Bref, il a été capable de blouser cette jeune femme! Je demande pourquoi! Comment est-ce possible? L’accumulation d’un savoir, assorti de la foultitude d’étiquettes proposées par la dernière mouture du DSM aurait-elle pour effet d’atrophier les facultés de perception élémentaires?

  6. Posté par Eddie Mabillard le

    @ Lars Brouwer, quand vous dites: “L’eau et du Pain Dur, donné par les touristes!”. Mais attention quand l’esprit gauchiste aura disparu il va sécher!

  7. Posté par bret le

    Une balle dans la tête.

  8. Posté par Eddie Mabillard le

    @ Lars Brouwer, les fourmis carnivores sont aussi une excellente chose, bon il faudrait lui payer un voyage en Afrique équatoriale!

  9. Posté par Eddie Mabillard le

    Oui à l’époque il n’était pas difficile de trouver quatre chevaux pour “amuser la galerie”, mais avec les finances genevoises actuelles, cela aurait créé un scandale!

  10. Posté par Dalla Dorta D le

    Tous ces gens qui font des études , qui analysent les gens qui se permettent de donner des jugement et qui coutent eux aussi cher sont tous des naïfs et réveillez vous ces gens sont des animaux et non des malades , pour les malades ils y des médics mais la peine de mort devraient peut être en calmer plus d’un vous ne croyez pas? mais pas assez regardez de l’autre côté des frontières
    Les gens qui donnent les peines sont naïfs car ces animaux sont des manipulateurs
    et en plus on les loges
    dans la foret et les faire sécher

  11. Posté par Nicolet Jean-Claude le

    Mettez la responsable des Pâquerettes une nuit dans une cellule d’un violeur,
    après ???

  12. Posté par Taca le

    Excellent article! Combien de temps jusqu’à ce que le système judiciaire s’adapte? Et si l’indulgence. envers les psychopathes venait du fait que leurs empreintes sociales sont de plus en plus globale : système économique chacun pour soi, obsolescence programmée, atteinte générale à l’environnement, courses où presque tous les coups sont permis pour accéder aux postes les plus importants etc. Et s’il fallait revoir le fonctionnement de l’ensemble de notre société pour revenir à un niveau de sécurité raisonnable ?

  13. Posté par JeanDa le

    Je cauchemarde : on envoie un violeur violent se promener seul avec une jeune femme ?????
    POUQUOI VOULAIT-ON TANT QU’IL RÉCIDIVE ?????

  14. Posté par John Simpson le

    N’y a-t-il pas un réel problème avec l’idéologie néfaste de la théorie du genre? A force de renier les différences biologiques entre hommes et femmes sous couvert d’égalitarisme on en arrive à des situations pareilles. Si on avait tout simplement décidé que les sorties accompagnées d’hommes ne pouvaient se dérouler qu’avec un homme, Adeline serait encore en vie à l’heure qu’il est. Aucun politicien n’a le courage d’aborder cette question…

  15. Posté par Michel de Rougemont le

    Merci à Henry pour son commentaire réaliste.
    Tous nous savons qu’à moins de les tuer, les criminels se retrouveront un jour en liberté, plus ou moins surveillée.
    Il faut aussi noter qu’aucun des récidivistes cités ici n’aurait fait l’objet d’une peine d’internement à vie à la suite de leur(s) premier(s) crime(s) si telle mesure avait déjà été en place lors de leurs condamnations.
    Et comme je suis tout à fait opposé à la peine de mort, je dois m’attendre à ce que de tels drames se produisent, top ou tard, ici ou là.
    Néanmoins il me semble que les “experts” en place (juges, psy et administration) ont de la peine à justifier leurs décisions si ce n’est que par rapport à des normes qu’ils se sont eux-mêmes données. Et comme ils sont tous les jours exposés à ce milieu ils finissent par trouver normal ce qui ne l’est pas et d’accepter des risques qu’ils n’ont peut-être plus la sensibilité de percevoir. Le “système” porte son propre risque.

  16. Posté par J.-J. Langendorf le

    On aurait bien tort de se moquer de la thérapie équestre à laquelle Anthamatten était soumis. Dans le cas de Ravaillac, qui a tué le roi Henri IV en 1610, elle a donné d’excellents résultats. Il n’a plus jamais récidivé…

  17. Posté par Lars Brouwer le

    Lars Brouwer. Trop facile la peine de mort! avec ce genre d’individu! Faut les mettre aux “Oubliettes” De l’eau et du pain dur, ne coute rien! Il reste une place au Château de Chillon! et OUI ! a la Construction des Cavités au fin fond de la montagne! Creuse a la Dynamite! par eux mêmes, ne coute pas Cher non plus! et je répète, de L’eau et du Pain Dur, donné par les touristes! …mais aussi Qui a trouvé Ca une bonne thérapie! et une bonne Idée! Il est temps d’apprendre! Pourquoi pas un accompagnement par un Gars! Un de plus, c’est trop chère? La vie n’a pas de Prix!
    Photo de Lars Brouwer.

    Lars.

  18. Posté par Henri le

    L’histoire se répète et le problème de fond reste le même: mettre en balance la liberté individuelle des coupables avec la sécurité des innocents.

    Marie est morte parce que son tueur a été libéré un peu en avance. Mais s’il avait sagement attendu d’avoir purgé sa peine, il aurait eu tout loisir de trouver une autre victime, une autre Marie.

    Adeline est morte parce qu’un violeur multi-récidiviste et attesté dangereux bénéficiait, encore une fois au nom de sa liberté individuelle, d’un programme de réinsertion. Même shéma: s’il était resté enfermé, une autre victime attendait son tour, quasi inéluctablement, au terme de la peine du tueur.

    Anthamatten, à l’heure qu’il est, court toujours, et une nouvelle victime, innocente, encore anonyme, attend peut être de rencontrer le destin que notre société lui a choisi.

    Avec ou sans programme de réinsertion, avec ou sans liberté conditionnelle, la majorité des individus dangereux et irrécupérables finissent fatalement par retrouver leur capacité de nuire, et c’est pas près de changer.

  19. Posté par Le pragmatique le

    Comme le releve trop bien M Montabert, les criminels sont privilégiés par rapport aux victimes. La bien séante gauche marque une fois de plus ds points avec ses largesses à ces bêtes furieuses qu’on devrait faire amener chez le veto par un mercenaire et certainement pas par une jeune maman.

    Un scandale de plus. Suspension des sorties pour 600 détenus pour que les politiciens responsables de la débâcle du système judiciaires rachètent tant bien que mal l’opinion publique.

    Et si on négociait la construction d’un bagne dans le Sahara avec des geôliers salafistes; qu’on en finisse une fois pour toutes avec ces raclures.

  20. Posté par abbassi nasreddine le

    Je ne suis pas Suisse mais père et grand-père et cette jeune ravie atrocement à la vie aurait pu être ma fille.A Constantine(Algérie),il y a trois mois,deux gamins ont été enlevés,violés et après les pires sévices ont été étranglés.La population est descendue dans la rue et la peine de mort qui n’était plus appliquée depuis 1992 a été rétablie,en Inde les violeurs de la jeune étudiante ont été condamnés à mort et en Suisse en envoie un prédateur faire de l’équitation accompagné d’une jeune et jolie femme.Je m’arrête là.

  21. Posté par Pierre-Henri Reymond le

    La justice? Il y a trente ans le ravisseur de Joséphine Dard a été condamné à 18 ans de prison! Vous souvenez-vous de cette affaire? Qui tenait du rocambolesque! Oui, pas de violence et 18 ans, et personne n’a bronché! La justice était aveugle, mais le poids de l’inventeur du cigare à moustache pesait lourd dans sa balance.

  22. Posté par herrmann claude le

    désolé pour les fautes d orthographe. la rage n aidant pas

  23. Posté par Blu le

    Il y a vraiment quelque chose qui cloche dans ce pays. Je ne peux pas m’empêcher de penser à Skander Vogt, petit délinquant, tête dure mais qui n’avait ôté la vie à personne a fini asphyxié dans sa cellule de Bochuz. Il devait purger une peine de 20 mois mais 10 ans plus tard il croupissait encore au quartier de haute sécurité de la prison qui l’a vu mourir. Un violeur, récidiviste peut lui sortir avec la bénédiction de la justice. D’autre part tous les détenus ne vont pas de leur plein gré dans cette structure, certains doivent passer par la pâquerette pour espérer sortir de prison.

  24. Posté par G. Vuilliomenet le

    Oui! Des juges en Suisse, sont des ASSASSINS PAR PROCURATION.

    Notre justice a oublié que sa mission première est de punir les criminels, n’en déplaise aux bobos-gauchos!

  25. Posté par herrmann claude le

    une fois de plus un justice trop laxiste est en responsable, cette “justice” qui veut dans tous les domaine remettre dans le droit chemin des criminels que je nommerai des irrécupérable, ces intouchables passeront de toute façon entre les gouttes . Psy juges experts au revoir et à jamais, MAIS qui pourrait déclencher cette épuration au sain de l’absurde.

  26. Posté par Noël Cramer le

    Il y a quelque chose de pourri dans la justice Suisse – vous l’avez bien dit. Que ce soit méconnaissance de la nature humaine, naïveté, angélisme, paresse, déni, insouciance, ou je ne sais quoi d’autre, l’incompétence de notre “justice” face à la réalité est flagrante et est démontrée jour après jour.
    Un code juridique n’a de sens que pour ceux qui en sont conscients et qui le respectent.
    Ce n’est pas l’avis d’un psychiatre qui va changer le comportement d’un psychopathe qui est suffisamment malin pour dissimuler la force de ses pulsions. Ce ne sont pas des jours amende avec sursis qui vont dissuader un délinquant insolvable de récidiver.
    Il reste beaucoup à faire pour adapter la réaction de notre société pour contrer la criminalité.
    Et tous oublient bien vite le sort des victimes…

  27. Posté par Géo le

    On apprend à la radio que ce type, hyper-violent, à peine au tiers de sa peine, avait le droit de sortir 4h seul et d’aller au restaurant…
    Quel respect pour l’intégrité physique des femmes de ce pays ! Tous les juges et tous les psys sont-ils fous ?

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