Après la fuite en 2003 d’un délinquant sexuel, l’ancien procureur général, Daniel Zappelli, avait interdit les sorties sans présence policière.
Comme le révélait à l’époque le quotidien «Le Temps», la direction de la Pâquerette avait dans un premier temps suspendu les programmes de sorties,
«s’accommodant mal d’une présence policière constante et devenant de toute manière irréalisables en raisons du sous-effectif chronique des forces de l’ordre».
Suite
Qui protégé-t-on ? La société ou les criminels ?
Je n’ai jamais rechigné a payer de copieux impôts mais on se demande bien ce qu’il en est fait. Ras le bol de toute cette racaille et bandits de haut vol.
Avant c’était le bagne pour avoir volé une pomme, maintenant c’est “la Pâquerette” pour les violeurs en série. Décidément, rien ne nous sera épargné. Je n’imaginais pas que les inévitables les tribulations de l’occident se dérouleraient sous cet angle.
Je comprends parfaitement. Il ne faudrait surtout pas stigmatiser ces pauvres criminels par une présence policière oppressante.
Merci les angéliques !
Et une victime du laxisme de plus, une !