Quand les stèles commémoratives disent tout haut ce que le monde actuel ne sait plus voir.
Un petit brin de mémoire au hasard de l'histoire, quand la question de la nécessité d'une armée ne se posait pas, et un très bel article du Temps:
"En fin de journée, à Saint-Gingolph, nous avons encore lu, près du Monument des fusillés: «Reconnaissance à nos amis de l’armée suisse et à Chaperon.» André Chaperon, le président suisse de la commune en 44, qui avait tenté de parlementer avec le capitaine Hartmann, chef de la patrouille allemande. En vain."
Lire l'interview d'André Cuendet, garde-frontière à Saint-Gingolph pendant la seconde guerre.
Et vous, qu'en pensez vous ?