Comme à la maison

Zurich: un ressortissant kosovar a été condamné pour avoir séquestré sa propre famille à demeure.

L'apport étranger ne cesse d'enrichir notre pays culturellement anémié. Un homme d'origine kosovare, naturalisé suisse, bénéficiant d'une haute conception du rôle masculin domestique, a bouclé sa mère, sa compagne et ses 4 enfants à demeure avec ordre de n'en point sortir. On le comprend aisément, ladite compagne ayant abusé de ce trop-plein de liberté concédé par la décadence occidentale pour se réfugier, en 2005, dans une maison pour femmes victimes de maltraitance.

Ce tyran avait installé une caméra dans l'appartement afin de pouvoir surveiller les faits et gestes de sa compagne, pendant qu'il était en vacances. La recluse ne pouvait sortir que pour faire avec lui des achats importants ou pour se rendre chez le médecin.

Aux moindres velléités d'indépendance, elle subissait des coups et des menaces. Le régime tyrannique n'avait pris fin qu'en 2008, après qu'une des filles eut appelé la police pour dénoncer les violences de son père.

Raciste et xénophobe, le tribunal de district lui en a mis pour onze ans, ramené à 7 en appel par le tribunal cantonal.

Quand cessera-t-on de vouloir absolument imposer notre vision exclusive aux populations résidant sur notre territoire ? La question mérite d'être posée.

 

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