Dixit Bachar Al-Assad, le président syrien, si l’Occident préfère soutenir le terrorisme il devra un jour en payer le prix.
“Si l’Europe livre des armes aux rebelles, elle en paiera le prix.”
C’est la dernière déclaration choc du président syrien Bachar el-Assad qui devrait aller droit au coeur de ses plus chauds partisans.
Dans une interview au quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung, le chef de l’Etat enfonce le clou. En armant les insurgés,
“l’Europe verra son arrière-cour devenir un terrain pour le terrorisme et ce terrorisme s’exportera en Europe”.
Bachar el-Assad rejette par ailleurs les accusations occidentales concernant l’usage de gaz sarin.
L'Europe s'apprête à fournir des armes à des hommes qui ont été filmés en train d'arracher le coeur de soldats de l'armée régulière pour le manger.
L'avertissement du président syrien résonne un peu comme la réponse du chef des milices chrétiennes libanaises, pendant la guerre, Samir Geagea, à l'officier français chargé de lui faire comprendre que la France n'interviendrai pas pour aider le Liban:
“Dans quinze ans ils seront chez vous.“
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