Les conséquences logiques de l’ “effet Esseiva” ?
Dans un article du 25 mai dernier la NZZ s'interroge sur l'avenir de la section des femmes PLR après 64 ans d'existence.
Les femmes libérales-radicales se réuniront en septembre prochain pour une journée intitulée "Quelle suite ? Partir à la retraite ou continuer ?". La présidente Carmen Walker Späh a précisé que la rencontre n'était pas publique et avait pour but de discuter de la perception des femmes PLR dans l'environnement politique. "Peut-être arriverons-nous à la conclusion qu'il n'y a plus besoin des femmes PLR dans leur forme actuelle", explique-t-elle, "nos membres définissent l'orientation."
C’est surtout des radicaux en général dont nous n’avons pas besoin.