C’est simple, il suffit d’écrire dans leur langue.
"CarPostal a traduit son règlement en arabe sur une de ses courses, pour lutter contre les fauteurs de troubles parmi les requérants", écrit le site 20min.ch
"On m’a insulté et tabassé", raconte un chauffeur de car postal. Les problèmes commencent lorsque son bus s’arrête à Balmberg, lieu du centre pour demandeurs d’asile. Souvent, ils écoutent de la musique trop fort, boivent de l’alcool et insultent les chauffeurs.
Conscient du problème, CarPostal a fait traduire le règlement en arabe sur cette course. Une première suisse. "On veut s’adresser de manière ciblée aux clients", explique Katharina Merkle, porte-parole de CarPostal. Une façon polie de dire que l'on veut s'adresser à des clients ciblés.
"Afficher un texte en arabe ne suffit pas pour régler le problème", estime pour sa part Claudia Hänzi, responsable du Département de la sécurité sociale du canton de Soleure. Pour cette raison, les requérants sont également accompagnés par des personnes suivant un programme d’emploi temporaire. Histoire qu'ils aient toujours quelqu'un sous la main en cas de forte envie de tabasser ? Ceux qui ne respectent pas le règlement se font supprimer leur argent de poche ou ne se font plus payer leur billet de bus. Dans les centres de requérants, on tremble déjà devant l'implacabilité de la mesure.
Encore un petit effort et la Suisse sera bientôt intégrée...
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En Suisse nous parlons Allemand, Français, Italien ou Romanche, mais pas arabe, albanais ou d’autres langues. Alors qu’ils apprennent une langue nationale ou ils mettent (on leur fait mettre) les baskets.
Pour ce qui est de débroussailler la forêt, les syndicats et les gauchistes s’offusqueraient, car d’un: ils prendraient du travail aux chômeurs et de deux cela stigmatiseraient ces “pauvres gens” de les faire travailler. Regarder ce que les gauchistes ont dit des Polonais qui ont creusé des canaux en Valais par exemple, alors qu’ils étaient tout heureux d’avoir une occupation et de ne pas aller se faire massacrer à la guerre, et de ne pas cogiter à longueur de journée.
Bien sûr que le travail est une bénédiction, je crois que j’ai entendu cette formule dans un film sur Alcatraz quand le directeur a dit à un nouveau venu le travail n’est pas un droit, mais se gagne, si mes souvenirs sont bons!
Combien d’incidents de ce type Notre Peuple doit-il encore supporter avant que la police ne leur fasse passer l’envie de ces incivilités ? Évidemment que les pleureuses gauchistes monteraient aux créneaux pour dénoncer l’atteinte aux droits de l’homme, mais où sont-elles pour défendre les victimes de ces malfaisants ?????
un peu reducteur comme article.
nos petites frappe suisse, souvent assistée par les services sociaux, ne sont pas en reste quand il s’agit de commettre ces incivilités.
si nous faisions travailler cette frange de population, ils seraient moins encline a “traîner” dans les rues.
Après un journée a faire des débrosses dans les forêts par exemple, croyez vous qu’ils auraient encore assez d’energie pour se comporter ainsi?
je salue ce chauffeur, en esperant qu’il ne cedera pas a la peur de reprendre du service.
serge