Quand la RTS découvre le droit du trust anglo-saxon et les innombrables exceptions territoriales à l’hégémonie de l’Union européenne. Autant de petites Suisses sauvages et clandestines cachées au plus profond de ce qui reste des Etats-nations.
Reste que le sujet est intéressant et bien fait, TTC forcément.
Mais alors si tout est permis, pourquoi cédons-nous ? Au bénéfice de qui ?
Ce reportage est choquant, car erroné ou manipulatoire.
En réalité, les vrais paradis fiscaux sont les gouvernements collectivistes d’Occident.
Clearstream à Luxembourg est la machine à blanchir l’argent de la police politique de l’Union Européenne, du fait des directives européennes qui accordent le monopole à cette société de clearing de fait, faussement privée.
Si les soit-disant paradis fiscaux, tels que Man ou la Suisse, qui ne sont aucunement des paradis fiscaux mais qui tendent eux-aussi à devenir des enfers fiscaux, sont ainsi accusés par Washington ou Bruxelles, c’est uniquement parce qu’ils interdisent le collectivisme des grandes puissances et d’autre part parce qu’ils refusent de mouiller dans les malversations des gouvernants collectivistes des grandes puissances occidentales.
Cela va même très loin, puisque la BNS vient de racheter pratiquement toutes les dettes de la France et de l’Allemagne, ainsi, lorsque l’euro tombera, la Suisse en sera la première victime, ce qui permettra une intégration rapide à l’empire du “New world order”, c’est à dire à l’empire en Europe de l’EURSS, de l’Union Européenne.
Pour cette raison, la Suisse doit lutter et devenir un paradis fiscal, un vrai, un instaurant les forfaits fiscaux pour tous, comme ils vont certainement les instaurer en Asie, cette Asie qui a moins de scrupules que l’Occident à promouvoir la libre entreprise contre les enfers fiscaux occidentaux.
Le principe est simple :
Chaque citoyen paie chaque mois le même forfait fixe d’impôt au national, ce qui permet de limiter au maximum les impôts du national, puis, chaque canton, chaque commune, peut décider d’y ajouter pour se financer, ses propres impôts.
On supprime donc tous les impôts du national, TVA, impôt sur le revenu, sur les sociétés etc. et à l’échelles nationale on ne garde que le forfait fiscal, par exemple un forfait de 300 francs par mois et par résident (citoyens et étrangers résidents), puis, les cantons et les communes sont libre d’y ajouter les impôts de leur choix, de l’impôt de le revenu, de la TVA ou d’autres impôts.
Cela permettrait de faire vraiment de la suisse un paradis fiscal, ce qui permettrait d’affronter le défis de l’effondrement de l’euro et cela permettrait de restaurer le principe de subsidiarité.
Nous devons préparer le débat pour une votation en ce sens à brève échéance.