C’est l’avis du CN Thomas Aeschi (UDC/ZG) qui vient de déposer une motion pour une réévaluation du taux de la dette selon des critères précis.
« La Suisse se flatte souvent d'avoir un des taux d'endettement les plus bas (endettement par rapport au PIB). Malheureusement, le compte n'y est pas, du fait que l'endettement implicite (engagements et promesses non couverts) de l'AVS et des autres éléments de la protection sociale (y compris le système de santé) n'est pas inclus.
C'est pourquoi la Confédération devrait développer un modèle dans lequel l'endettement implicite de la Suisse serait dûment pris en compte sur la base d'hypothèses réalistes (concernant la démographie, l'espérance de vie, le taux d'escompte, etc.). »
PS: Mais attention, ça va faire mal aux yeux …
Bonjour,
Ce n’est que logique et parfaitement comparable à ce que l’on attend des entreprises, soit sous la forme de provisions, soit sous celle d’informations à publier dans leur annexe aux comptes.