Dixit Maria (Roth-) Bernasconi dans Le Temps du jour. En clair, si tous les hommes sont égaux, mais les filles le sont plus que les garçons…
« Nous avions initié des programmes pour encourager les femmes et notamment les jeunes filles à se lancer. Mais ce projet a été abandonné. Tout comme la Journée des filles inventée par 16+ pour favoriser la mixité dans les métiers en Suisse, mais qui a dû s’ouvrir aux garçons de crainte de favoriser les filles. Un comble ! » (Le Temps, 11.03.2013).
A noter en passant qu'il y a à peine plus d'un mois, la conseillère nationale socialiste appelait l'attention des médias sur sa petite personne en claironnant partout qu'elle renonçait au nom de son mari pour celui de son père, soit son nom de jeune fille. Tout cela pour parapher ses philippiques féministes de son nom de femme injustement oppressée « à la remorque de son mari ». On ne se défait pas si facilement d'un nom de scène.
On pourra parler d’égalité ou vouloir l’égalité en politique le jour qu’il y aura une loi obligeant les femmes à créer autant d’entreprises que les hommes, d’autre part qui empêche les femmes à créer des entreprises pour engager que des femmes?
Je pense que vouloir garder son nom de jeune fille -donc celui de son père- est illogique de la part d’une féministe intégriste telle Mme Bernasconi. En effet, cette dernière devrait aller jusqu’au bout de sa logique et prendre le nom de jeune fille de sa mère..au nom du matriarcat …