8 millions d’habitants mais une pyramide des âges cul par-dessus tête et une démographie en berne. L’avenir de la Suisse semble voir le jour dans les maternités de l’étranger.
La Suisse vient de passer les 8 millions d'habitants. Le constat est cependant sans appel, 40 années de libération sexuelle semblent avoir suffi pour faire oublier aux Suisses la façon dont on faisait les bébés. Population vieillissante, renouvellement insuffisant, l'Occident du XXIe siècle semble avoir sous-traité sa démographie aux ressortissants des pays émergents.
« Depuis le début des années 2000, le solde migratoire est le principal facteur de l’évolution démographique de notre pays » reconnaît l'Office fédéral de la Statistique dans son communiqué daté du 2 août. « Actuellement, près de 80% de la croissance démographique résulte du solde migratoire », ajoute-t-il encore.
La population des moins de 20 ans a diminué de moitié en un siècle. Celle des plus de 64 ans a triplé, progrès sanitaire oblige, et presque décuplé pour les personnes de plus de 80 ans. La part des seniors pourrait encore doubler pour atteindre les 30% en 2060. On sait faire des vieux mais l'on ne sait plus faire de jeunes.
Démographie
L'indicateur du nombre d'enfant par femme a baissé l'an dernier pour la première fois depuis 2001. Le nombre moyen d’enfants par femme de nationalité suisse pointe à 1,42 contre 1,84 pour les femmes de nationalité étrangère. Ce qui porte, pour 2011, à 59'043 (73%) le nombre d'enfants de nationalité suisse, binationaux compris, et à 21'765 (27%) le nombre d'enfants étrangers.
La naissance d'enfants suisses suffit à peine à compenser les 56'760 décès de leurs concitoyens, alors qu'en revanche, les 21'765 bébés étrangers comblent largement le fossé des 5'331 décès de ressortissants étrangers.
Les Suisses affichent donc un bonus démographique de 4% (+ 2'283 personnes) contre 308% (+ 16'434 personnes) pour les étrangers.
Renouvellement complet
Sachant que, pour 2010 par exemple, 4'028 suisses (solde migratoire = immigration - émigration) ont quitté le pays, le taux de renouvellement des citoyens suisses résidents est par conséquent négatif (de - 2'239 citoyens en 2010). Or, en 2010 cependant, la population de nationalité suisse a crû de plus de 30'000 personnes. Ce chiffre n'est dû qu'aux 39'300 nouvelles naturalisations de cette même année. Par conséquent, plus du 100% du renouvellement de la population suisse résidente relève de la naturalisation, et, donc, de l'immigration.
Les 22,8% d'étrangers résidents permanents connaissent une croissance bien plus florissante due à l'action conjuguée d'une forte natalité jointe à un solde migratoire hautement positif, 68'967 nouveaux résidents en 2010, soit 0,87% de la population résidente totale.
Problème de robinet
Sachant que les 6'103'857 de résidents suisses perdent environ 2'239 citoyens (soit 0,036%) par an, que, dans le même temps, le 1'814'755 d'étrangers croît de 85'401 nouveaux-nés et nouveaux arrivants, soit 4,7%. Considérant, en outre, que 39'300 personnes, soit 2,25% de la population étrangère (0,64% de la population suisse), sont naturalisées annuellement. Dans combien de temps la population résidente d'origine étrangère aura-t-elle remplacé la population d'origine suisse ?
« Sachant que les 6’103’857 de résidents suisses perdent environ 2’239 citoyens (soit 0,036%) par an, que, dans le même temps, le 1’814’755 d’étrangers croît de 85’401 nouveaux-nés et nouveaux arrivants, soit 4,7%. Considérant, en outre, que 39’300 personnes, soit 2,25% de la population étrangère (0,64% de la population suisse), sont naturalisées annuellement, dans combien de temps la population résidente d’origine étrangère aura-t-elle remplacé la population d’origine suisse ? »
Si, pour simplifier le problème, nous ne considérons que la diminution de la population de résidents suisses et l’augmentation de la population étrangère, et que nous considérons par ailleurs que les taux de variations resteront les mêmes, nous devons donc trouver l’intersection des deux fonctions affines
y = –2’239 x + 6’103’857 et y’ = 85’401 x + 1’814’755.
La solution de l’équation y = y’ nous donne les coordonnées du point d’intersection I (48.9 ; 5’994’405).
Cela signifie que dans 50 ans environ les deux communautés compteront chacune 6′ 000’000 individus et que la population suisse comptera environ 12’000’000 individus. Au delà de cette date, la population résidente d’origine étrangère sera plus élevée que la population résidente d’origine suisse.
http://www.fdesouche.com/585265-generation-identitaire-devant-la-caf-moins-dallocations-plus-de-remigration
« AME, RMI, allocations familiales … Stop aux pompes à immigration!
Ce matin les militants de Génération Identitaire Paris se sont rendus devant la CAF d’Olympiades (Paris 13), déjà très fréquentée pour l’ouverture, afin de dénoncer le système d’allocations favorisant les immigrés extra-européens et créant de ce fait des pompes aspirantes pour l’immigration massive.
Derrière le slogan « – d’allocations, + de remigration », Génération Identitaire Paris appelle à une politique responsable en terme de prestations sociales ainsi qu’en terme d’immigration et demande l’application des 26 points pour la remigration proposés par le Bloc Identitaire.
En supprimant les avantages sociaux déraisonnables en faveur des immigrés extra-européens, nous renforcerons le système social français et la qualité des prestations envers les nationaux et ressortissants européens, et nous couperons ainsi les pompes aspirantes de l’immigration massive. Une fois ces pompes fermées, la remigration deviendra un choix rationnel et inévitable.
Moins d’allocations, plus de remigration !
Et, plus que jamais, les nôtres avant les autres ! »
Actuellement, près de 80% de la croissance démographique résulte du solde migratoire »,
Avec les parents naturalisés, ou sans?
Avec les suisses « secundos », ou sans?
Peut-être que si nous les soustrayons, il n’en reste plus grand’chose!
Bien que n’étant plus en âge de faire des enfants (j’en ai eu deux), je m’imagine que si j’avais la trentaine aujourd’hui, avant de faire un gosse, je me demanderai quel avenir mon enfant aurait :
– dans un monde bientôt dominé par l’islam (grâce à nos frontières qui ne sont même plus des passoires, mais des aspirateurs – merci à la gôche qui cherche plus d’électeurs, merci à la droite qui cherche plus de consommateurs, merci aux bien-pensants – quand on est con c’est pour la vie)
– dans un monde d’assistés où entreprendre et se défendre sont interdits (merci les SSocialos)
– dans un monde où l’on clame la « liberté d’expression » mais où l’on censure tout ce qui n’est pas « conforme » (merci aux merdias et merci encore aux SSocialos)
– dans un monde de violence grâce à la racaille qu’on importe en masse, et grâce aux bâtons dans les roues que l’on met aux forces de l’ordre (merci à la droite qui laisse faire et merci toujours aux SSocialos)
– dans un monde où les lois et traités ne sont plus que du papier puisque la gôche ne les respecte plus (voir St-Laurent et le grand conseil vaudois) et que la droite reste molle.
– enfin dans un monde où ce sont des juges « hors-sol » étrangers qui fixent les lois dans mon pays (merci au conseil fédéral et aux députés/partis qui ne bronchent pas).
Et je pense que ma conclusion pourrait être de continuer à jouir de mon petit confort sans les tracas supplémentaires d’un rejeton.
Mes amis, la situation est grave. Si l’on continue à détruire tout ce qui fait la force, la richesse (pas seulement économique), la beauté, etc, bref : l’attrait de notre pays, l’intérêt à le choisir comme patrie pour un enfant poursuivra sa chute.
Que faire alors ?
Défendons notre pays contre nos ennemis intérieurs d’abord !
Commençons par ne plus accepter les diktats des SSocialos et autres gôchistes.
Arrêtons de voter comme eux, arrêtons de les élire. Ils ne sont pas la seule source de nos problèmes, mais ils en sont une importante.
« Aucun sentiment de nationalisme de ce coté la. »
Et il n’y a pas que du côté de ces communautés que le sentiment de patriotisme est absent. J’avais affronté, sur FB, un salopard qui crachait sur notre pays, au vu de son nom, c’était un ibérique, photographe, entre autres, pour Le Courrier. Il n’avait pas caché qu’il avait demandé la nationalité suisse pour ne plus avoir à aller à la Police des Habitants pour débourser et faire renouveler son titre de séjour.
Cela mis à part, oui, il y a des communautés qui ne cherchent qu’à nous pomper le sang comme des sangsues, ce sont les nouvelles méthodes de rezzou.
Très intérressant cet article. D’autant plus que je suis souvent en ville et en effet la constatation est sans appel. Les étrangers se baladent poussette au bras, parfois avec deux gamins par poussette.
Le problème est que nombre d’étrangers évoluent dans des sphère d’appartenance et ne veulent rien savoir des Suisses.
Ils vivent persuadés que leur communauté est la meilleure. Les femmes paraissent avoir reçu des règles très strictes concernant la mixité d’un couple tandis que les hommes peuvent « se tromper » de partenaire plusieurs fois avant de rapatrier ou d’en choisir une de la même nationalité.
Il faut dire que ces gens ne se posent en aucun cas la question si il est raisonnable d’avoir un enfant. Tant qu’il y a des aides sociales, de la place ils sont la pour l’exploiter.
Par la suite si l’argent vient à manquer ils se détourneront sûrement de ce Pays et ce même Pays obtiendra mauvaise réputation pour les autres prétendants. Aucun sentiment de nationalisme de ce coté la.
Français, je constate avec amertume que nos voisins européens ne font plus d’enfant. En France, même les jeunes ménages « de souche » en font au moins deux (ou presque). Cela assure une stabilité démographique au pays et évite de dépendre de l’immigration qui n’est pas toujours simple à gérer.
les Suisses , comme la majorité des occidentaux, font moins d’enfants qu »autrefois.
Autrefois, il fallait faire des enfants, beaucoup d’enfants pour plusieurs raisons.
La première est qu’ils étaient une sorte d’AVS pour leurs vieux parents.
La deuxième c’est que la mortalité enfantine était telle qu’il fallait en faire assez pour qu’il en reste quelques uns.
La troisième c’est que l’économie tournait autour de l’agriculture et que la technologie n’étant pas ce qu’elle est aujourd’hui, il fallait des bras..
La quatrième c’est qu’il n’y avait pas la pilule .
La cinquième c’est que l’Eglise proclamait : « multipliez-vous..
Ca fait beaucoup de raisons.
Aujourd’hui, les femmes sont « libérées » -les femmes occidentales en tout cas- et donc « travaillent ». Avec une marmaille de gamins , je ne crois pas qu’elles le pourraient avec autant de facilité que si elles n’en ont qu’un ou deux. Il faudrait encore et encore plus de cr^ches, ou il faudrait qu’elles restent à la maison. Et ça, les femmes ne le veulent plus. Mon propos n’est pas de savoir si c’est bien ou pas, c’est dire les faits.
De plus , le s occidentaux- en tout cas dans certains pays , dont le nôtre- , on n’aime pas être assisté.; alors que ceux qui viennent avec leur ribambelle de gamins, la femme peut bien rester à la maison, les alloc remplacent avantageusement son éventuel salaire….
De plus, il est clair que plus une communauté est « civilisée », éduquée, instruite, financièrement un peu à l’aise ,elle fait moins d’enfants.
Aujourd’hui , ceux qui font des enfants en nombre sont des communautés qui viennent d’ailleurs , de pays où la démographie est galopante… et où il n’y a pas de place de travail pour leurs jeunes qui sont majoritaires. Il est donc inutile de nous donner ces pays à forte démographie en exemple !
Ce n’est donc pas dans les pays où l’on fait le plus d’enfants que l’économie est le plus développée et le pouvoir d’achat plus élevé.. Au contraire, ce sont ces pays -là qui sont les plus pauvres..
Leur éducation est au niveau de la nôtre il y a une soixantaine d’années.
Après un séjour en Occident, la génération qui les suit et qui se sera « occidentalisée » fera elle aussi moins d’enfants…On n’en sort donc pas! On ne peut pas toujours croître et croître encore.
Ceci dit, si la population suisse est remplacée par une population étrangère qui aime notre pays avec ses lois, ses us et coutumes et le défendent mieux que ne le font certains suisses « de souche » ,je ne vois pas où est le problème; j’aime autant. Et je peux dire sans me tromper , qu’il y a des étrangers bien plus « suisses » que certains suisses autochtones (voir dans certains partis politiques »progressistes » et surtout dans les médias tout aussi progressistes qui n’ont de cesse de dénigrer notre pays.)Alors, des étrangers qui aiment et défendent les valeurs, les institutions de la Suisse en remplacement de ces suisses -là, je suis preneur (preneuse ? )
maintenant, a-t-on réellement besoin d’autant d’immigrés ? On le dit pour faire tourner noptre économie qui manquerait de bras ou de cerveaux .. Peut-être que si l’on formait et payait à leur juste de prix les salaires des autochtones, n’aurions-nous pas besoin d’aller chercher des travailleurs ailleurs.
Je pense notamment au canton de Fribourg dont on apprend qu’il doit aller chercher des enseignants jusqu’en France .. Pourquoi ne pas inciter nos jeunes , par une politique moins restrictive à devenir enseignant… (idem d’ailleurs pour ce qui est de la formation de nos médecins.
Quand on sait que les Français trouvent leurs diplômes ( à commencer par le BAC qui ouvre la porte à l’Université) dans des pochettes-surprise*, il y a de quoi s’inquiéter quant à ce qu’ils enseigneront à nos enfants….
Ce n’est pas parce que nous faisons moins d’enfants qu’on fait entrer des étrangers chez nous , c’est par idéologie , celle de l’esprit « d’ouverture » , du « multiculturalisme » et de la haine de soi.
* Prière de ne pas m’accuser de racisme envers les Français : je suis d’origine française et ai enseigné en France …mas mon diplôme date d’ avant 68 !!!